Génocide Ex Yougoslavie

implications, les impuissances avérées, les manques qui empêchent que des mesures efficaces soient prises au moment opportun dans certaines situations de crise. L'ONU, nous le savons tous, n'a pas réussi à stopper bon nombre de massacres, dont les génocides de Bosnie, du Rwanda, du Darfour, etc. Entre bons coups et échecs médiatisés, l'Organisation des Nations Unies navigue bon gré, mal gré, gérant des milliards d'euros et des centaines de milliers d'effectifs à travers le monde entier pour venir à

protéger efficacement le droit des individus. Dans des monarchies comme les empires allemands & austro-hongrois, les princes ont accepté une représentation parlementaire mais les parlements ne peuvent véritablement contrôler le pouvoir exécutif. (ex : Le Reichstag n'a aucun moyen d'empêcher le Chancelier d'agir). Les monarchies autoritaires. On appelle monarchie autoritaire un régime dans lequel les empereurs ont la totalité et la réalité du pouvoir. En Russie le tsar est un empereur

américain de science politique), est l'auteur d'un livre célèbre Le choc des civilisations, dans lequel il explique que c'est le début d'une autre phase qui verra d'autres guerres mais pour des raisons culturelles et religieuses. C'est le cas en Yougoslavie, fédération composée de plusieurs peuples (Serbes, Croates et Bosniaques) et dirigée par un gouvernement fédéral dont le nationaliste serbe Milosevic a pris la direction en 1989. La Slovénie et la Croatie proclament leur indépendance en 1991 (ce

(apparemment) réalisé des « miracles » économiques. Si les USA avaient été une catastrophe économique, on ne retiendrait de ce pays que le génocide amérindien et l’esclavage. La prospérité des USA permet à beaucoup de dire que ces méfaits sont de l’histoire ancienne. Aujourd’hui l’URSS, et ses satellites de Mongolie et d’Europe centrale, plus l’Albanie et la Yougoslavie (même si le cas de cette dernière est assez particulier pour ce qui est des raisons ethniques de son éclatement) ont disparu. Mais nous

développement d'une solidarité nationale (Suisse). Au demeurant, s'appuyant essentiellement sur le facteur racial, la conception objective de la nation a été poussée jusqu'à ses conséquences les plus perverses par le IIIe Reich qui avait légitimé le génocide du peuple juif en se fondant sur des critères raciaux, en particulier sur la prétendue supériorité de la race aryenne, de définition de la nation .De nos jours, la politique de purification ethnique entreprise par les serbes à l'endroit des bosniaques

populaires d'Europe de l'Est (l'IDH de la Hongrie est de 0,837 en 2004, celui de la République tchèque, de 0,867) faisant partie des nord dans la limite nord-sud séparant le monde en un nord dit « développé » et des sud dit « en voie de développement », des ex-Républiques asiatiques de l'URSS (l'IDH du Tadjikistan est de 0,677), ces dernières étant désormais considérées comme faisant partie des Sud. Nous constatons également que les infrastructures ne sont pas du même types du coté anciennement communiste

[2] ; – Les guerres civiles ou les génocides, comme au Rwanda (1994) ou en ex-Yougoslavie (1995) [7] ; – « L’assistance aux victimes en cas de catastrophes naturelles », comme pour le séisme en Indonésie en 2004 ou en Haïti en 2010 [2, 3]. QUESTION 2 : Les formes de l’ingérence [2, 3, 4, 7] ■ Les formes de l’ingérence peuvent être : – la sécurisation des populations menacées en les regroupant dans des camps ou des zones démilitarisées, comme pendant le génocide rwandais en 1994 ; – la distribution

sauvegarde d’intérêts fondamentaux de la communauté internationale que cette violation est reconnue comme un crime par la communauté dans son ensemble ». Définition vague. Dans le § 3 se trouvait une liste : agression, domination coloniale génocide apartheid pollution de l’atmosphère ou des mers Tout ce qui n’est pas un crime est un délit : définition négative. Le concept de crime international s’inspirait du jus cogens. Les deux concepts intéressent le droit international dans son ensemble

tribunal administratif des Nations Unis, le tribunal de l’organisation internationale du travail. Et les juridictions spécialisées dans le domaine pénal. Deux de ces juridictions ont été créées par le Conseil de sécurité : Le tribunal pénal pour l’ex-Yougoslavie créé le 22 février 1992 pour juger les criminels de guerre et ce tribunal pénal a ensuite été doublé du tribunal pénal pour Rouanda créé le 8 décembre 1994 sur la base des pouvoirs pour le maintien de la paix. En revanche la cour pénale internationale

Développé entre les 2 guerres mondiales : les rapports internationaux se caractérisent par des échanges qui sont de plus en plus techniques. La nécessité de ce courant est d'instituer des coopérations entre des spécialités de diverses nationalités (ex: coopération existante relative » aux transports internationaux qui exige une harmonisation des règles de circulation, de financement commun). Des solidarités se créent dans certains domaines entre les États / La santé OMS ou encore OIT pour le travail)