Généalogie Phèdre

Théramène son intention de quitter Trézène pour fuir sa belle mère Phèdre qu'il n'aime pas et surtout pour fuir son amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi. Phèdre, épouse de Thésée, avoue à Œnone, sa nourrice et confidente, la passion qu’elle ressent pour son beau-fils Hippolyte. On annonce la mort de Thésée. Acte II (6 scènes) Aricie avoue qu’elle aime aussi Hippolyte. Il lui propose de prendre le trône d’Attique. Phèdre supplie Hippolyte de s’occuper de son fils, mais elle finit par

montrer le monde tel qu'il est, il convient de persuader le lecteur en l'amusant et en l'intéressant à une histoire riches en rebondissements, plutôt qu'en lui tenant des discours sérieux (thèse qu'il défend dans le « Pouvoir des fables »). Ésope, Phèdre ou La Fontaine sont donc passés maîtres dans l'art de la mise en scène du monde animal, dans l'art de composer des fables. Leur talent a permis de faire parler les animaux tout en inculquant à l'homme de grandes leçons moralisatrices qui depuis lors

jansénistes, ce qui lui donna le goût pour la langue et la littérature grecques. Durant les années 1667 à 1677, racine s'imposa comme un maître. Ses sept tragédies devinrent toutes de véritables chefs-d'œuvre comme par exemple la tragédie intitulée Phèdre. Cette pièce de théâtre fut écrite en 1677, inspirée par le dramaturge grec Euripide. Elle met en scène des héros de la mythologie grecque. Dans la plupart de ses pièces, Racine montre l'impuissance, le désarroi criminel, l'aveuglement ainsi que les

Lire La Fontaine, c'est découvrir un univers toujours divers, toujours nouveau, celui qu'à créer il y a plus de trois siècles un poète qui a modestement prétendu traduire en vers les maigres récits d'Esope, de Phèdre ou encore d'Absténius; et qui emporté par son élan de génie a donné naissance à un genre littéraire unanime : la fable lyrique. Une comédie oscillant entre sourire et tragédie. D'ailleurs, pour un fabuliste de l'envergure de La Fontaine, son oeuvre ne se résume pas à une simple succession

amours, Ce héros n'attend point qu'une amante abusée... HIPPOLYTE Cher Théramène, arrête, et respecte Thésée. De ses jeunes erreurs désormais revenu, Par un indigne obstacle il n'est point retenu ; Et fixant de ses voeux l'inconstance fatale, Phèdre depuis longtemps ne craint plus de rivale. Enfin en le cherchant je suivrai mon devoir, Et je fuirai ces lieux que je n'ose plus voir. THERAMENE Hé ! depuis quand, Seigneur, craignez−vous la présence De ces paisibles lieux si chers à votre

Phèdre Préface Voici encore une tragédie dont le sujet est pris d'Euripide. Quoique j'aie suivi une route un peu différente de celle de cet auteur pour la conduite de l'action, je n'ai pas laissé d'enrichir ma pièce de tout ce qui m'a paru le plus éclatant dans la sienne. Quand je ne lui devrais que la seule idée du caractère de Phèdre, je pourrais dire que je lui dois ce que j'ai peut−être mis de plus raisonnable sur le théâtre. Je ne suis point étonné que ce caractère ait eu un succès si heureux

Commentaire sur Phèdre V, 6 Introduction : Le passage que nous allons étudié est tiré de la tragédie Phèdre de Racine créée en 1977. Dans cet extrait la malédiction formulée par Thésée se voit réalisée : alors qu’Hippolyte s’apprêtait à quitter Trézène, il en est empêché par un monstre marin qui finit par le tuer. Dans la structure de la tragédie, c’est le moment de la catastrophe. Cette scène, est racontée à Thésée par un messager qui en a été le témoin : Théramène. On se demande en quoi le

Discours de Phèdre va être un mélange d'hallucinations et de lucidité car dans un premier temps l'amour que Phèdre ressent pour Hippolyte semble démend et dominant toute sa vie. Mais en réalité cette amour est interdit et maudit des Dieux. Justement le champ lexical des Dieux est repris plusieurs fois dans la scène car ces derniers veulent la punir de cette fautes très grave qu'elles a commise, etre amoureuse de son beau fils. Elle idéalise Hippolyte et va le décrire et le comparer a son maris Thésée

Mireille Armisen-Marchetti La passion de Phèdre In: Vita Latina, N°117, 1990. pp. 26-36. Citer ce document / Cite this document : Armisen-Marchetti Mireille. La passion de Phèdre. In: Vita Latina, N°117, 1990. pp. 26-36. doi : 10.3406/vita.1990.1598 http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/vita_0042-7306_1990_num_117_1_1598 La passion de Phèdre Une fois admise (Je façon à peu près unanime l'identité de Sénèque le et de Sénèque le Tragique, il était tentant et aussi

Racine dit de Phèdre qu'elle « n'est ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocente. » Tout d'abord nous verrons que Phedre est coupable puis nous essayerons de prouver son innocence. Certe Phèdre est coupable. Elle est coupable d'un amour incestueux envers Hippolyte qui est le fils de Thésée, donc son beau fils. Elle est coupable d'avoir parler à Oenone de cet amour, qu'elle qualifie elle même de « coupable », qui la fait tant souffrir : «  Je te laisse trop voir mes honteuse douleurs »