Gérard Cornu

Viendront, pour contempler cette ruine austère, Rêveurs, et relisant le livre de Victor : - Alors ils croiront voir la vieille basilique, Toute ainsi qu'elle était, puissante et magnifique, Se lever devant eux comme l'ombre d'un mort ! Gérard de Nerval Paris Paris n'a de beauté qu'en son histoire, Mais cette histoire est belle tellement ! La Seine est encaissée absurdement, Mais son vert clair à lui seul vaut la gloire. Paris n'a de gaîté que son bagout, Mais ce bagout, encor

ainsi d’espérances trompées/ de tristesse et d’oubli, d’amour et de malheur » - on peut évoquer la détresse du poète des Méditations poétiques dans « le Lac » de Lamartine ; on peut penser à la poésie plus ésotérique, mais non moins élégiaque, de Gérard de Nerval, « El desdischado » ou extrait de ses odelettes, « une allée du Luxembourg » ; on peut se référer aussi aux poèmes de V. Hugo qui évoquent les enfants morts trop tôt ou trop tôt broyés par la vie ; enfin on peut se référer aux poèmes de

Émile Nelligan est poète le plus aimé et le plus admiré du canada français. Figure romantique à la carrière littéraire tragiquement écourtée, c'est lui qui a fait passer la poésie canadienne-française dans l'ère moderne. Il est né en 1879 et décédé le en 1941 à Montréal. Il était disciple du symbolisme et il était profondément influencé par Charles Baudelaire, comme nous le remarquons dans ce poème. Parmi les thèmes de ce poème, on voit le deuil, la mort, la tristesse et la souffrance. l’article

Les grands arbres aux rameaux noirs ! Ce beau temps me pèse et m’ennuie. - Ce n’est qu’après des jours de pluie Que doit surgir, en un tableau, Le printemps verdissant et rose, Comme une nymphe fraîche éclose Qui, souriante, sort de l’eau. Gérard de Nerval, Odelettes Les lilas et les roses O mois des floraisons mois des métamorphoses Mai qui fut sans nuage et Juin poignardé Je n’oublierai jamais les lilas ni les roses Ni ceux que le printemps dans les plis a gardés Je n’oublierai

d'une représentation d'Hamlet, non seulement il découvre Shakespeare, mais il tombe amoureux de l'actrice irlandaise de la pièce, Harriet Smithson, qu'il épousera en 1833. Il découvre aussi Goethe et son Faust : il va écrire sur la traduction de Gérard de Nerval tout d'abord Huit scènes de Faust (1828) et puis en 1846 la légende dramatique La Damnation de Faust. L'exécution en 1828 des symphonies de Beethoven par François-Antoine Habeneck va l'impressionner. La Symphonie fantastique Dès 1830

« El Desdichado », Gérard de Nerval Pbq : comment le poète part-il en quête de son identité dans un poème qui dévoile son univers imaginaire ? I/ Un poème lyrique qui exprime le tourment du poète A) un poète mélancolique qui fait l’expérience de la perte - « je » → Nerval qui exprime sa souffrance « Je suis le Ténébreux, le Veuf, l’Inconsolé, / Le Prince d’Aquitaine à la Tour abolie » → périphrases → se représente lui-même comme quelqu’un qui a fait l’expérience de la perte : • « Ténébreux

l'étendue de ses lectures et semble consacrer son abandon à la littérature seule. Cette même année, il écrit le roman Tous les matins du monde, qui sera adapté au cinéma par Alain Corneau avec son film Tous les matins du monde avec Jean-Pierre Marielle et Gérard Depardieu, et dont il cosigne le scénario. Cette œuvre assoit la réputation de Quignard comme un des auteurs importants de l'époque. Elle suscite de plus l'attrait du public pour la musique de Marin Marais et celle de Sainte-Colombe.de Sainte Colombe

Paul Verlaine (1844-1896) naît à Metz. Sa famille s’installe à Paris en 1851. Il se marie en 1870. L’année suivante, il rencontre Arthur Rimbaud et s’enfuie avec lui vivre une liaison passionnée. Elle s’achève dramatiquement lorsqu’en juillet 1873 Nerval tire sur son ami. Il séjourne quelques temps en prison. Il revient à la vie sociale par le métier de professeur et achève son existence assis sur son nom devenu célèbre depuis la fin des années 1880. Paul Verlaine, incontestablement marque l’histoire

à la douleur, et de désigner indirectement le coupable. 3- Un personnage sacrifié- Par MM :il prend tout à Madeleine , mais ,dans le mouvement de la cour , il a vu « d’autres visages » , rêve de gloire , non de retraite , pour sa « honte » dit Gérard Depardieu dans le prologue du film . Il l’abandonne. La scène où ils sont tous deux sous la cabane exprime bien l’ambiguïté de leur relation ; Madeleine caresse Marin tandis qu’il se laisse faire ou répond mollement à ses avances , tout à l’écoute

avec Adèle Foucher son amie d’enfance en 1822, il rencontre l’actrice Juliette Drouet en 1833 avec qui il eut une liaison, il lui consacra le reste de sa vie, et il lui écrivit de nombreux poèmes. Il rencontra aussi des artistes littéraires comme Gérard de Nerval et Théophile Gauthier. Parmi les rencontres importantes de V. Hugo, il y eut aussi Madame de Staël, une écrivaine romantique, à Paris. SES ŒUVRES : • Dans les journaux : Le conservateur littéraire essentiellement écrit par lui