Haberler

mentation et son utilisation fréquente par les économistes du déve loppement et du commerce international ont peut-être empêché l'e xploration rigoureuse et systématique d'autres types de politique à l'égard des industries naissantes. Le professeur Haberler indique simplement qu'une subvention pro portionnelle à la production d'une industrie naissante peut être uti lisée dans le même but qu'un tarif protectionniste *, et le professeur Kindleberger 2 estime qu'une subvention pourrait se révéler plus

efecto como lo hace Rosa Montero en su título hubiera podido valerse de la palabra “Abuelo” que resulta más afectiva, y por cierto, hubiera podido interrogarle a propósito de su apellido. Su tosquedad también se comprueba cuando después de haberle dado el bote al viejo, exige en seguida lo debido (“son 125 pesetas”) y no toma tiempo para charlar un ratito como lo haría cualquiera persona educada y civilizada. Mariano va a reiterar su exigencia a propósito de lo debido varias veces (Tres

des répercussions sur le niveau des salaires et la valeur du capital (valeurs boursières), provoque des faillites et du chômage, accroît les tensions sociales, et peut même avoir des répercussions sanitaires. La crise, pour certains comme Gottfried Haberler, est le moment de retournement d'un cycle économique1. Dans la théorie marxiste, si la crise est entendue comme entraînant la chute du capitalisme, les crises sont interprétées comme le moyen par lequel le capitalisme se réorganise2. Usuellement

culture juridique transalpine a été marquée par les « envahisseurs culturels » étrangers 21 ; elle est donc plus sensible aux influences étrangères que les cultures allemande et française plus fortement nationales, voire nationalistes. Cependant, Peter Häberle a été le premier à soutenir l'incorporation de la comparaison des droits parmi les méthodes d'interprétation de la Loi Fondamentale allemande 22 (preuve s'il en était encore nécessaire que le contexte n'est pas unifié). La comparaison des droits est

des répercussions sur le niveau des salaires et la valeur du capital (valeurs boursières), provoque des faillites et du chômage, accroît les tensions sociales, et peut même avoir des répercussions sanitaires. La crise, pour certains comme Gottfried Haberler, est le moment de retournement d'un cycle économique[2]. Dans la théorie marxiste, si la crise est entendue comme entraînant la chute du capitalisme, les crises sont interprétées comme le moyen par lequel le capitalisme se réorganise[3]. Usuellement

des répercussions sur le niveau des salaires et la valeur du capital (valeurs boursières), provoque des faillites et du chômage, accroît les tensions sociales, et peut même avoir des répercussions sanitaires. La crise, pour certains comme Gottfried Haberler, est le moment de retournement d'un cycle économique. Dans la théorie marxiste, si la crise est entendue comme entraînant la chute du capitalisme, les crises sont interprétées comme le moyen par lequel le capitalisme se réorganise. Usuellement, en

profonde, aux conséquences lourdes et dont l’Europe tarde à sortir. D’une manière générale la crise définit une situation économique qui subit une dégradation brutale et qui présente des perspectives d’évolution défavorables. Pour certains comme Haberler la crise est le moment de retournement d’un cycle économique. Dans la théorie marxiste celle-ci est interprétée comme le moyen par lequel le capitalisme se réorganise. Dans ce contexte là, la crise est parfois vue comme un phénomène qui ne se termine

moros. Estamos ya en el segundo acto, en la cámara de Jimena, en el alcázar. Llega Constanza agotada y le cuenta todo lo que ha pasado durante el día. Lo más importante es que el rey ha estado deliberando. Entonces Jimena se lamenta porque, tras haberle sido fiel a su marido y que este halla muerto, lo único que pide es ser feliz lo poco que le queda de vida, y todo el mundo se opone a esto. También se lamenta por estar recluida en su propio reino. Entonces entra Maria y le dice a su madre que no

no me tenga en su opinión por un hombre disparatado y loco? Y no será mucho que así fuese, porque mis obras no pueden dar testimonio de otra cosa. Pero con todo eso, quiero que vuestra merced advierta que no soy tan loco ni tan menguado como debo haberle parecido… » (II, 17) ; y más adelante: « pero yo no debo estar en mi juicio, pues tales disparates digo y pienso… » (II, 47). Esta confusión conviene a la « intención cervantina ». El lector avisado intuye el carácter pretextivo de la locura del

comme celui de Paul Leroy-Beaulieu, on parle de "monnaies dépréciées au change erratique" pour les monnaies sans rattachement à l'or et donc "flottantes" dans les conditions de l'époque où l'étalon-or était "le système des pays civilisés". Gottfried Haberler dans son magistral ouvrage (Prospérité et dépression - Société des Nations - Genève 1943) évoque les "changes libres" comme une curiosité, "un cas extrême dans notre échelle des relations possibles entre les monnaies des différents pays". "Nous n'entendons