Habit de lumières

Supplément au voyage de Bougainville 3-A et B sont aussi tous deux des hommes des Lumières: - ils lisent et aiment à discuter de leurs lectures ; - ils s’intéressent aux grandes questions qui animent les débats des salons :le rapport entre le sauvage et le civilisé, la propagation des espèces d’un continent à l’autre (p. 29). Ils sont capables d’un recul philosophique et quasiment ethnologique par rapport à la « cruauté » de certaines coutumes, ainsi que d’une vision synthétique de l’évolution

Sur le cadre original, vingt-six médaillons peints représentent en haut le Christ et quatre anges, puis des saints et des prophètes. Ici CIMADUE, commence par les fonds en Or ou en argent doré car rien n’est assez beau pour Dieu. Cette lumière évoque la lumière divine pour les gens du Moyen Age. Sur le fond on applique de la feuille d’or avant de réaliser le motif: superposition des anges autour de la vierge assise sur un trône. Le peintre est représenté comme un minuscule petit microbe face a

vénérable maitre lorsqu’il donne les 3 coups de maillet sur l’épée, sur la tête : je te crée, sur l'épaule gauche : je te constitue, sur l’épaule droite : je te reçois. Le nombre trois répétés en Loge, 3 coup de maillet, les trois pas, les 3 grandes Lumières, les 3 piliers ; on indique ainsi à l’Apprenti qu’il doit s’affranchir de la pensée; choisir entre une chose et son contraire, binaire mais avoir une pensée ternaire, produire un mouvement de conscience entre une chose et son contraire et provoquer

attentivement. Il semble droit, sans émotion, il paraît sage et proche de la nourrice dans la vie mais aussi physiquement. Dans la seconde, son costume ressemble à celui de la nourrice, il est aussi de couleur rouge, pourpre et blanc. Cependant, cet habit nous semble loufoque, à tendance féminine. Il a des grandes manches tout comme la plupart des personnages féminins. Il porte aussi une grande coiffe et arrive, lui aussi, en chantant. Nous remarquons les mêmes différences concernant ces costumes

Emmanuel Kant est un philosophe allemand ayant vécut pendant la periode des Lumières et du Romantisme ( 1724 – 1804 ). En 1784, lors de la redaction de son ouvrage qu'il a consacré au Lumières, intitulé « Qu'est-ce que les Lumières ? », il énonca la devise suivante: « Aie le courage de te servir de ton propre entendement ». Nous pouvons nous demander pourquoi la citation de Kant est-elle paradoxale ? Il utilise une tournure imperative marqué par le verbe « Aie » pour exiger l'émancipation des individus

le blanc, étant la synthèse des couleurs de l'arc en ciel, évoque la lumière spirituelle. Le blanc, couleur initiatique, devient la couleur de la grâce de la transfiguration qui éblouit, éveillant l'entendement. Aux premiers temps du christianisme le baptême se nommait illumination. Et c'était après qu'il eut prononcé ses vœux que le nouveau chrétien, né à la vie véritable, endossait, selon les termes du Pseudo-Denys, des habits d'une éclatante blancheur, car, ajoute l'Aréopagite, échappant par une

soulignée à l'image : Katrina est " entourée " des couleurs très claires, elle possède un cheval blanc, la majorité du temps elle porte des habits de couleurs claires ; elle est blonde et d'un teint pâle - ce qui renforce l'aspect féerique du personnage qui est tourné vers la magie- quant à Ichabod, il est " entouré " de couleurs sombres, tristes : il porte des habits noirs, il a les cheveux noirs ; à l'inverse de Katrina, il a un cheval noir. Tout semble opposer ces deux personnages pourtant l'amour

trempacier = attaque 62 : une épée large d'acier, deux minerai de fer, une flamme d'Héphaïstos. -Fleuret antimagie = attaque 67 : une rapière, trois purpourra, un minerai de mithril. -Lame de l'aurore = attaque 70 : une épée ardente, trois pierres de lumière, une eau sacrée. -Epée de platine = attaque 51 : une épée large de fer, un minerai de platine, une flamme d'Héphaïstos. -Tueuse de dragon = attaque 88 : un fléau des dragons, un brassard de choc. -Pure lame du faucon = attaque 26 : une lame du faucon

captifs et un peloton d’exécution. Au centre de la toile se trouve des condamnés se tenant en ligne dans l’attente d’une exécution. Une lanterne carrée, située entre les deux groupes est la seule source de lumière. La figure centrale de la toile est l’homme à genoux qui est brillamment éclairé. Ses habits jaunes et blancs répètent les couleurs de la lanterne. Sur la droite se tient les soldats français. Leurs visages ne peuvent être vus. On peut apercevoir en arrière plan un village et un clocher dans

-Retranscription des techniques picturales Ces deux œuvres traduisent une connaissance et une culture artistique et picturale. Ainsi, notamment dans le film de Corneau, on constate un travail soigné sur le chromatisme des couleurs, les effets de lumière et de nombreuses références à des peintures et à certains de leurs tableaux. Commençons par le chromatisme des couleurs. A. Chromatisme des couleurs Cette partie s’appuie uniquement sur le film. Il y a de nombreux jeux de couleurs qui apparaissent