Habitat Insalubre

Le secteur immobilier au Maroc a connu récemment une montée spectaculaire après une période de stagnation prolongée due entre autres à la méfiance des investisseurs vis à vis de l’économie interne, à la propagation du phénomène de l’habitat insalubre et irrégulier et également à l’absence d’actions de maintenance et d’entretien du parc de logement. En effet, cette ascension marquée par une augmentation générale du prix de l’immobilier s’est manifestée d’une part, par l’élévation de la consommation

même façon ? Il semblerait qu’il existe aussi diverses disparités concernant l’habitation et les moyens de transports. En effet il y aurait à la Réunion différent type d’habitation, des belles et grandes maisons aisées, des habitats a loyer modéré « HLM », des habitats insalubres « bidonvilles » et des habitations collectives. Quant aux moyens de transport certains individus possèdent des voitures de luxe de type américain alors que les autres empruntent souvent les transports en commun ou marchent

¼ DE MILLIARD DE PERSONNES HABITERONT DANS DES BIDONVILLES EN 2020 Le programme des Nations Unies pour les Etablissements humains (ONU-habitat) dresse un constat inquiétant dans son rapport sur l’état des villes du monde 2006-2007. A l’heure actuelle, la terre compte près d’un milliard d’êtres humains entasses dans des bidonvilles, soit près d’un urbain sur trois, souligne le rapport publie tous les deux ans. La population de ces zones urbaines déshéritées augmente de 2,2% par an. Et le rythme

Institut d’Urbanisme de Paris MASTER «URBANISME ET TERRITOIRES» Mention «URBANISME» Mémoire de Stage 2ème année Pauline EMILE-GEAY Parcours « Villes et Projets » L’accompagnement social dans la résorption de l’habitat insalubre au Maroc : État des lieux, mise en œuvre et suivi de projets, participation à l’institutionnalisation du dispositif dans le cadre du Projet de Gouvernance Locale de l’USAID. Directeur de mémoire : Mme Michèle JOLE Septembre 2006 Dates de stage : 17 Avril

bidonvilles, constructions anarchiques d’habitats insalubres et précaires, où la pauvreté urbaine se concentre. La croissance urbaine mondiale est concentrée à 95 % dans les pays en voie de développement : 5 millions de nouveaux habitants viennent s’installer chaque mois dans les villes. En 2008, un milliard de personnes vivent dans les bidonvilles, soit 1 personne sur 6 dans le monde, et ce chiffre est en constante augmentation. Les bidonvilles sont des habitats bâtis avec des matériaux de récupération

affermage des terrains pour se constituer des espaces insalubres où les logements sont de bas standard, sans hygiène et surpeuplés. La plupart des familles habitant dans ces bidonvilles, vivent dans une pièce.Ces modes d'occupation des terrains encouragent également les modes déréglés de construction. Aujourd'hui, assistons-nous à l'expansion anarchique de l'aire métropolitaine de Port-au-Prince qui est devenue un ensemble de bidonvilles très insalubres. Presque tous les beaux quartiers sont couronnés

mesures en faveurs logement. Ces mesures sont remarquées par une approche « hygiénique » mis en avant dès le début du XIXè siècle par les scientifiques et pers intellectuels. Cette théorie lie les conditions d’hygiène et de logement; les logements insalubres favorisant le développement et la diffusion des maladies. De plus, si les problèmes sociaux et plus particulièrement de logement touchent de manière ciblée certaines catégories de la population, les maladies elles, ne distinguent pas l’origine

investissant les segments et territoires en déficit et en stimulant la promotion privée et la qualité. • Consolider le positionnement d’AL OMRANE comme opérateur technique privilégié de l’Etat et des Collectivités locales pour la résorption de l’habitat insalubre. • Affirmer sa vocation d’aménageur de référence à l'échelle nationale, à travers la valorisation du foncier public et la promotion du partenariat public/privé. • Accompagner le développement des villes, en impulsant de grands projets urbains

mesures en faveur du logement. Ces mesures sont marquées par une approche « hygiénique » mis en avant dès le début du XIXe par les scientifiques et les intellectuels. Cette théorie lie les conditions d’hygiène et de logement ; les logements insalubres favorisant le développement et la diffusion des maladies. De plus, si les problèmes sociaux et plus particulièrement de logement touchent de manière ciblée certaines catégories de la population, les maladies elles, ne distingue pas l’origine sociale

jour. Tous les segments du secteur sont concernés: haut et moyen standing, économique et habitat social. De fait, à elle seule, la société Al Omrane doit mettre sur le marché de l'immobilier une assiette foncière de plus de 1.500 ha entre 2008 et 2009. «Notre plan d'action prévoit la délocalisation du quartier industriel Doukkarat (20 ha) vers la zone de Ras El Ma (150 ha), la lutte contre l'habitat insalubre, l'achèvement du programme Ville sans bidonvilles (VSB), et l'aménagement de la pénétrante