Hachemi Rafsandjani

L’Iran de l’après Khomeyni (1989-2005) Mots clés : Ali Khamenei ; Hachemi Rafsandjani ; Mohammad Khatami ; Mahmoud Ahmadinejad Conclusion permettant d’aborder la période qui suit la mort de Khomeyni en 1989, puis l’ensemble des présidences marquantes de 1989 jusqu’à l’avènement de Mahmoud Ahmadinejad concernant l’actuelle présidence de Hassan Rohani élu en 2013, présidence laissant des espérances et des questions. 1989 : année marquée par la dégradation de la santé de l’imam et la rivalité entre

Le nombre des véhicules immatriculés et réimmatriculés durant le 2ème semestre 2011, est dominé par les constructeurs français qui représentent 31,38% soit 167.942 unités, viennent ensuite les japonaises 14,56% soit 7.938 unités et les voitures allemandes avec 8,41% soit 45.023 véhicules. Les véhicules de Corée de Sud représentent 6,57% soit 35.162 unités, celles des Etats-Unis 4,26% soit 22.803 unités et enfin les italiennes avec 1,28% ce qui représente 6.855 véhicules. Le rapport de l'ONS souligne

s'oppose aux résolutions de l'assemblée. Il existe également un conseil de discernement, composé des chefs des trois pouvoirs, des 6 clercs du Conseil des Gardiens et de 25 membres désignés par le Guide à la tête duquel se trouve actuellement Hachemi Rafsandjani, renommé pour 5 ans en mars 2002. Le Conseil de Discernement est chargé de ratifier, lors d'une opposition irrévocable du Conseil des Gardiens au Parlement, l'application des lois qu'il juge indispensables, et dorénavant, d'assister le Guide

de la République islamique d'Iran, au-dessus de la charge officielle de Président de la République, qu'il occupa lui-même de 1981 à 1989. À la mort de Khomeini, Khamenei est élu guide suprême par l'Assemblée des experts, sous l'influence de Hachemi Rafsandjani, 4 juin 1989. À son poste, la plupart des observateurs le considèrent comme un "dur" du régime, gardien intransigeant des principes et des valeurs de la révolution islamique de 1979. Désigné par un collège de 80 religieux, après un changement

tombe, ainsi que ses proches, dans une disgrâce qui profite à l'hojjatol-eslam Rafsandjani, président du Madjlis. Bien que l'imam Khomeyni ait à nouveau condamné tout rapprochement avec les États-Unis, on apprend, à la fin du mois de novembre, que des ventes secrètes d'armes américaines ont eu lieu, ce qui provoque aux États-Unis l'éclatement du scandale appelé « Irangate », et en Iran des critiques sévères contre Rafsandjani, accusé d'avoir cherché une amélioration des relations avec les Américains

s'oppose aux résolutions de l'assemblée. Il existe également un conseil de discernement, composé des chefs des trois pouvoirs, des 6 clercs du Conseil des Gardiens et de 25 membres désignés par le Guide à la tête duquel se trouve actuellement Hachemi Rafsandjani, renommé pour 5 ans en mars 2002. Le Conseil de Discernement est chargé de ratifier, lors d'une opposition irrévocable du Conseil des Gardiens au Parlement, l'application des lois qu'il juge indispensables, et dorénavant, d'assister le Guide

Le projet fut vite abandonné mais d’autres monuments n’échappèrent pas à la fureur iconoclaste des komiteh (formation spontanée et civile partisan de la Révolution), par exemple à Tabriz, à Ispahan ou à Téhéran. Puis en 1991, le président Hachemi Rafsandjani a effectué une visite remarquée à Persépolis. La reconstruction a d’abord été nationale et est allée de pair avec une redécouverte du patrimoine préislamique dans le domaine de l’urbanisme, de la restauration des monuments, de la réhabilitation

la justice suisse, dans le cadre d'une enquête pour blanchiment, de 60 millions d'euros sur deux comptes qui pourraient avoir transité vers l'Iran via un intermédiaire. Une partie serait revenue à l'un des fils de l'ancien président iranien Hachemi Rafsandjani[23]. Christophe de Margerie a été mis en examen le 22 mars 2007 et laissé en liberté sous contrôle judiciaire[24]. Certaines perquisitions n'ont pu avoir lieu du fait de la « protection des intérêts fondamentaux de la nation ». Sud-Est asiatique[modifier]

besoin. Selon la presse iranienne, 60 des 75 millions d’Iraniens vont recevoir 40 dollars par mois [30 euros] le temps de la transition. Ces mesures pèsent sur la croissance, qui n’est que de 1,8 % cette année. En septembre 2010, Ali Akbar Hachemi Rafsandjani, ancien président, a estimé que la façon dont Ahmadinejad s’occupait de l’économie était “une plaisanterie”. Reza Aslan* * Ecrivain irano-américain, auteur de Beyond Fundamentalism (Au-delà du fondamentalisme), éd. Random House, non traduit