Haine

Par ailleurs, j'ai beaucoup été étonné par certains passages au sujet de la relation avec son ravisseur, cette relation est très troublante car elle ne sait pas si elle doit aimer son agresseur pour survivre ou le détester. Elle ressent de la haine et à la fois de l'amour pour la seule personne qu'elle voit. Lorsqu'elle à réussit à s'échapper, son ravisseur s'est suicidé dans l'heure suivante, elle nous raconte qu'elle ressent un deuil et qu'elle triste de cette nouvelle. Les scientifiques appellent

dees lumiere. Comment cette lettre invite à une réflexion ( inhabituelle ) sur l’asservissement ? 1) 1) Défense des peuples Manque d’argent « Vous n’avez pas de quoi soudoyer les avocats » (l15-16)  Le lecteur éprouve de la peine et de la haine face à l’impuissance des noirs et leur maltraitance. Opposition avec la liberté d’autres pays : « la défense de la liberté des hommes » (l26)  Hommes ne sont pas tous égaux dans le monde. Champ lexical de la vertu/ sentiments : • « Les mêmes

pas prés de s'arrété car cela dure depuis un ans et demie, et mon contart ce termine dans trente ans. Alors maintenant je n'ai plus déspoir de revoir qui conque donc je me fait lilution de finir ma jours ici dans cette endroit détestable qui sens la haine et la méchanceté. Je fais que me dire que ma vie ces arréter il y a dix huit mois. Et aujourd'hui je régrette. Et voilà, les monsieurs avec leurs uniformes nous rappèlent et envoie un seconds groupe prendre l'aire comme je les pris avant eux

tenir dans les lieux publics face aux blancs, comment parler, comment répondre, dans le seul but de ne pas envenimer la situation et ne pas péjorer sa race. Il découvrit ainsi la haine, à travers la parole, mais aussi à travers les gestes, les regards. Il ne comprenait pas pourquoi cette peur de la différence, cette haine profonde et injustifiée. L’être humain est le même partout, pourquoi en traiter certains comme des animaux ? – Il chercha une logique, mais ne finira pas par la trouver. Il décida

finalement tué en se disant peut-être que s’aurait pu être un des quatre qui lui aurait pris son fils. La classe inférieurs, les pauvres sont les plus touchés pas la guerre et pourtant ce n’est pas eux qui la veulent ; « Les paysans n’ont guerre la haine patriotiques ; cela n’appartient qu’aux classes supérieures. » / « Les humbles, ceux qui paient le plus parce qu’ils sont pauvres et que toute charge nouvelle les accable, ce qu’on tue par masse, qui forment la vraie chaire à canon, parce qu’ils sont

nos lois imparfaites, entre toutes nos opinions insensées, entre toutes nos conditions si disproportionnées à nos yeux, et si égales devant toi ; que toutes ces petites nuances qui distinguent les atomes appelés hommes ne soient pas des signaux de haine et de persécution ; que ceux qui allument des cierges en plein midi pour te célébrer supportent ceux qui se contentent de la lumière de ton soleil ; que ceux qui couvrent leur robe d’une toile blanche pour dire qu’il faut t’aimer ne détestent pas ceux

réalise des apartés, à Charlotte comme à Mathurine, où il les flatte et les rassure sur le fait que le discours généraliste leur était bien adressé. Ainsi, cela lui permet de faire penser à chacune que le discours leur était adressé, tout en attisant la haine entre les deux jeunes femmes. Il faut remarquer que Dom Juan est un fin manipulateur, ce qui lui permet d’hypnotiser ses interlocutrices et semer la confusion dans leurs esprits. Il utilise des questions rhétoriques, lui permettant d’éviter

culpabilité chez Phèdre amplifie sur la souffrance de cette dernière, car son destin fait en sorte qu’elle restera toujours amoureuse d’Hippolyte quoi qu’elle fasse. L’auteur parvient à souligner l’effet psychologique qui peut causer une sorte de haine envers elle-même qui fait souffrir Phèdre davantage. En somme, malgré son amour passionnel pour Hippolyte, Phèdre est consciente de son destin et tente de lutter contre ses sentiments et son destin qui la font souffrir tant physiquement que psychologiquement

caractéristiques: Tout d'abord le tragique se rattache à la tragédie qui met en scène la terreur et la pitié ainsi qu'un personnage héroïque dont la mort est la seul issu à son destin. Dans ce roman, Mauriac a choisi pour héros Guilloux qui pour échappé à la haine de sa mère va se donner la mort. Dès les premières pages, l'enfant est victimes de maltraitance et c'est ainsi que tout au long de l'histoire, le Baron, père de Guillaume, se laisse affaiblir jusqu'à ne pas exister dans le roman, et laisse son fils

perçue comme puissante et guerrière, v.3 : métaphore, elle est dangereuse, destructrice, bestiale liée aux flammes, enfer. - Elle semble prête à agir, v.8 : complément circonstancielle de manière = promptitude de l’assaut. - L’amour est lié à la haine et la souffrance, v.12 : hypallage= elle est comme 1 obus qui sème le trépas autour d’elle. - Déclaration d’amour paradoxal, ambigüe et 1 vengeance, v.11&12 antithèse= elle l’a fait souffrir, elle l’a trompé. C’est 1 amour noir, cruelle et blessant