Haine

devoir politique et l'amour. Ils sont follement amoureux mais la loi Romaine leur interdit l'union, et Titus ne peut faillir à son devoir envers Rome. Dans la scène 5 de l'acte 4, on voit Bérénice désespérée partagée entre son amour pour Titus, la haine que lui inspire la loi Romaine et le choix de son amant. Comment ce passage reflète il le dilemme tragique qui tiraille Titus, le protagoniste, dans son affrontement avec Bérénice?Tout d’abord, nous verrons que Titus est un personnage typique des

transition mentale de la colère pour le calme, et de l’amour pour la haine. Au début, elle appelle Pyrrhus « cruel », « un parjure », « ingrat », « perfide » ; et l’appelle en vouvoiement à la place d’en tutoiement. Tous ces mots désagréables et le changement de l’appellation présente la colère d’Hermione. Et enfin, elle l’appelle en tutoiement de nouveau, mais en ton apathique. Je crois que c’est le transition de l’amour pour la haine, surtout la dernière phrase. En ce monment-là, l’idée de tuer son

Montpensier car le prince pense la posséder mais il est inquiet dès qu’un autre homme l’approche. Dans la suite du texte on fait de nouveau référence à la jalousie naturelle du prince qui se transforme en haine lorsqu’il s’aperçoit de la présence du Duc d’Anjou et du Duc de Guise : « la haine qu’il avait pour lui se joignant à sa jalousie naturelle » Puis les Ducs entre eux seront jaloux l’un de l’autre toujours par rapport à la princesse de Montpensier, surtout lorsque le Duc d’Anjou apprend que

fatal, je tremble, je frissonne », « Contre moi-même enfin j'osai me révolter », « crime », « terreur » -> hyperboles, elle se compare à une criminelle, sentiment de dégoût d'elle-même. Compassion : « D'un incurable amour remèdes impuissants ! », « Ô haine de Vénus ! », « Cruelle destinée ! » -> Phèdre se présente en victime pour qu'Oenone compatisse. b) Un amour malheureux Amour coup de foudre : « Je le vis, je rougis » - Pour Phèdre, l'amour est une maladie qui la fait souffrir : « blessure

tes erreurs et tes peurs je les effaces et chaque faux pas que tu feras je tomberai à ta place. Mon seul plaisir sera de t’offrir une vie idéale sans peine et sans mal. Que tous tes amours soient sûrs, tes amis sincères, pour toi un domaine où la haine est la seule étrangère. Chaque jour je t’aime davantage, aujourd’hui plus qu’hier et bien moins que demain. J’ai de la chance de t’avoir dans ma vie. Tu occupes et occuperas pour toujours une place très importante dans mon cœur. Tes joies font les

jardinier = fct° dramatique = transition entre les deux actes. -Le personnage, = abandonné le soir de son mariage . -lamento, = douleur, = message de confiance dans l’homme - la fiction =continue -tragique = Electre refuse d transformer la Haine en Amour.

contradictoire: « elle a déclaré qu'elle voulait se marier avec moi » l.29-30 => alors que le mariage repose sur un amour partagé, Meursault avoue qu'il ne l'aime pas mais elle veut quand même se marier= jeunesse/enthousiasme. =>amour mais aussi risque de haine: antithèse « aimait/dégouterait » « elle m'aimait sans doute à cause de cela mais [..] peut-être qu'un jour je la dégouterai pour les mêmes raisons » L.25-27 => jeune fille conventionnelle: simple, qui veut bâtir des projets: verbes « se demandait

voir Pyrrhus, que ce n'est pas avec elle qu'il trouvera l'amour. 7. « Votre amour contre nous allume trop de haine » (v.341) est une antithèse, car amour et haine sont des mots qui ont un sens contradictoire. Elle dénonce alors une situation inacceptable, puisque l'amour est supposé être un sentiment de positif, joyeux, alors qu'ici, c'est le contraire. Andromaque ressent de la haine, c'est-à-dire quelque chose de négatif. On comprend alors que pour Andromaque, l'amour que porte Pyrrhus pour elle

bagne. Durant ses dix-neuf années de bagne il s’était juré de se venger et par se fait il avait réalisé tout un parcours vers le Mal. C’était un objectif de vengeance et de haine qui lui plaisait. Ainsi, se tourner vers le Bien, c’est renoncer à toutes ces dix-neuf années de ressassement de rancune : « renoncer à cette haine dont les actions des autres hommes avaient rempli son âme pendant tant d’années et qui lui plaisait ». [...] [...] La métamorphose se fait de manière particulière. En effet

et dure contrainte, aimable tyrannie, Tous mes plaisirs sont morts, ou ma gloire ternie. L'un me rend malheureux, l'autre indigne du jour. ………………………………………………………. Je dois à ma maîtresse aussi bien qu'à mon père; J'attire en me vengeant sa haine et sa colère; J'attire ses mépris en ne me vengeant pas. À mon plus doux espoir l'un me rend infidèle, Et l'autre indigne d'elle. Rodrigue est conscient que l’honneur et l’amour sont irréconciliables et soit l’un ou soit l’autre doit être