Hamlet Monologue Etre Ou Ne Pas Etre

est le texte. Les « ressources » de l’auteur Le conflit est une « base » intéressante pour un dramaturge parce qu’il présente des cas de figures multiples : parfois il oppose plusieurs individus, parfois il est intérieur et déchire un être ; parfois il dresse un être contre un groupe ou une société, ou encore contre une puissance mystérieuse. Par ailleurs, les sources du conflit offrent une variété presque inépuisable. 1. Le conflit entre individus : jouer sur le nombre de personnages… Le corpus

l’ennui. Alors dans quel mesure en s’appuyant sur un questionnement métaphysique qui est souvent caractérisé par un profond ennui, Ionesco remet-il en cause ce qu’on aurait pu croire être les ‘principes de base’ du théâtre ? Comment le XXème siècle a su dépasser le psychologisé pour atteindre le métaphysique et quel peut être l’impact de ce nouveau théâtre sur le spectateur ? Pour éclairer cela nous allons nous intéresser dans une première partie au personnage et au théâtre psychologique, dans lequel

d’Yves Bonnefoy. a- L’auteur : William Shakespeare est un des plus grands dramaturges, poètes et acteurs anglais du XVIème siècle. Il est né le 23 avril 1564 à Stratford-upon-Avon et mort le 23 avril 1616 dans la même ville. Il a écrit des tragédies (Hamlet, Roméo et Juliette), des comédies (Beaucoup de bruit pour rien, Le songe d’une nuit d’été) et des pièces historiques (Richard III, Henri IV) ainsi que de nombreux poèmes. Il épouse Anne Hathaway en 1582 à l’âge de 18 ans. Ils eurent 4 enfants. Il

œuvre unique et intemporelle, il s'attache à décrire les jeux du pouvoir et les passions humaines, mêlant joie et douleur avec 'une poésie illimitée', selon les termes de Victor Hugo. Surtout connu pour ses tragédies : 'Roméo et Juliette' (1595), 'Hamlet' (1603), 'Le Roi Lear' (1604) ou 'Macbeth' (1606), Shakespeare déploie ses talents dans de nombreux registres comme la comédie (' Beaucoup de bruit pour rien', 'La Mégère apprivoisée'.. .) et le drame historique (' Richard III', 'Henri V', 'Henri

près de défaillir… Mais, en ce moment, je sentis un peu de fraîcheur, on venait de lever le rideau. Je me tournai instinctivement, cherchant de l’air à respirer… C’est alors que j’entendis une voix… oh !… qui vibra jusqu’au fond de mon cœur… Tout mon être tressaillit… Cette voix disait des vers mélodieux comme jamais je n’en avais entendu… des paroles d’amour comme je n’aurais jamais cru que des lèvres humaines pussent en prononcer… Mon âme tout entière passa dans mes yeux et dans mes oreilles… Je restai

e siècle Beaumarchais, n'a pu être présenté qu'en 1784. Cette comédie, qui est le deuxième volet d'une trilogie (Le Barbier de Séville, La Mère coupable), raconte l'histoire de Figaro, le valet du comte, amoureux de Suzanne, soubrette de la comtesse, qui l'aime en retour. Mais le comte veut courtiser Suzanne, celle-ci monte alors un plan avec la comtesse pour le piéger. Il y a alors un quiproquo, Figaro croit être trahi par Suzanne, d'où son célèbre monologue, acte V scène III : « O femme

fragile et susceptible, Lucien est blessé par les injonctions désobligeantes d’Olivier sur ses statues—« Non pas de statues, pas de statues, protesta distraitement Olivier… » (p. 16). La prétention à l’autorité est ainsi notée chez Olivier qui joue peut-être un acte. Voyant la consternation de Lucien, Olivier le réconforte. L’esthétique devient centrale à ce niveau, comme elle le sera à travers toute l’œuvre. II. L’éducation et la délinquance juvénile. a. Les

courtisan « perdu de débauches, criblés de dettes » et trahissant ses amis. Mais Lorenzo joue avec les masques : il désire s’assurer la confiance du Duc et y parvient puisque celui-ci le considère comme « un lendemain d’orgie ». Lorenzo ressemble à Hamlet de Shakespeare, il était beau, tranquille et vertueux » (III, 3) mais il devient petit à petit esclave du vice tout en machinant dans l’ombre. Marie Soderini rappelle ce spectre de son passé, de sa vie intègre : « Mais le spectre s’est assis près

interdite, disposé sur le mur de la chambre du héros dans le film de Bernard Queysanne, Un homme qui dort. A la droite de ce tableau, sur une tablette, est disposée une œuvre dont le titre s’avère être Aventures d’Arthur Gordon Pym, d’Edgar Allan Poe. Par certaines réminiscences textuelles, cette œuvre semble être contenue dans Un homme qui dort, particulièrement au chapitre neuf, où le héros sombre dans un océan noir, d’où jaillissentdes gerbes d’écume blanche. On se souvient, notamment que le dernier

Voltaire, Memnon ou la sagesse humaine, 1748 Memnon conçut un jour le projet insensé d'être parfaitement sage. Il n'y a guère d'hommes à qui cette folie n'ait quelquefois passé par la tête. Memnon se dit à lui-même : Pour être très sage, et par conséquent très heureux, il n'y a qu'à être sans passions ; et rien n'est plus aisé, comme on sait. Premièrement je n'aimerai jamais de femme ; car, en voyant une beauté parfaite, je me dirai à moi-même : Ces joues-là se rideront un jour ; ces beaux yeux seront