Harmonie imitative

perceptions sensorielles elles-mêmes comparables à ds correspondances entre les éléments de la nature (échos, confondent) Comme de longs échos qui de loin se confondent K D L K K D L K D O ON O ON ON Allitérations + assonances harmonie imitative: échos qui répètent l'idée des correspondances ténébreux, nuit, clarté, échos, sons interactions sensations auditives et visuelles correspondances horizontales Les parfums, les couleurs et les sons se répondent reprise

distinction« logos » (logique) , et « ôdé », langue du chant Définition de la poésie : Le poésie est l’art d’évoquer et de suggérer des sensations, des impressions, des émotions par un emploi particulier de la langue, utilisant les sonorités, les rythmes, les harmonies II. EVOLUTION DE LA CONCEPTION DE LA POESIE A) De la tradition à la modernité 1) XVI : La pléiade : poésie lyrique tournée vers l’humain (période humaniste) ; qui privilégie un retour au français 2) XVII : Le classicisme : retour aux conventions

(donc pas un « e » muet) avec une voyelle sonore au début du mot suivant (ex : il est au haut du mont) Paronomase : rapprochement de deux mots de sens différents mais de sonorités voisines (ex : la mer est amère) Harmonie imitative : la répétition d’un son imite le bruit évoqué Harmonie suggestive : les sons semblent suggérer un sentiment ou une sensation (à utiliser avec prudence !) VI. Les discordances entre le vers et la phrase Enjambement : la phrase ou la proposition commençant dans

sont une matière visuelle et Ponge y est d’autant plus sensible qu’il a travaillé dans l’imprimerie. Fonction allusive et imitative de la poésie Exemple : « le verre d’eau » dans Méthodes. Ponge constate que le V et le U miment l’objet désigné par les mots. C’est la glose du poète qui fait apparaître l’analogie. Le poème ne réside pas uniquement dans l’harmonie imitative mais aussi dans l’explicitation. Cette vision matérialiste fait voler en éclat les lois de Saussure sur l’arbitraire du signe

évoque quelque chose de certain, qui arrivera forcément un jour. Les six derniers vers sont alignés à droite, avec trois fois le mot "feuille" répété = crée même un bruit de froissement pareil à celui de ces feuilles justement. Cela crée une harmonie imitative. Rapidité sonore et rythmique comme les feuilles qui tombent à la fin de l’automne. Fuite du temps vers 22/23. Vers libres, assonance (1ère strophe), structure complètement libre et désorganisée. Saison instable, ambigüe qui tient de très

dédiée aux musiciens. Ponctuation très discrète. Rythme de la parole devient un souffle. Fluidité des phrases et du rythme. La musicalité joue sur les sonorités. Irrégularité des vers (12,26,6,10...). Ces jeux de sonorité rythme le poème. Harmonie imitative = qd un poème cherche à imiter un bruit. Ici elle est exagérée (on la retrouve également chez Racine). Evocation légère du rythme du train. Construction en chiasme (v.4 et 5). --> effet de prolongement et de rupture. Conclusion: C'est

le cadre de ce conte. Problématique. Plan  : 1- L’univers illusoire du château de TTT  2- Une galerie de marionnette  3- Conte et critique  L’univers illusoire du château de TTT : TTTè tonnerre de dieu, allitération en dentale è harmonie imitative de l’accent allemand. a) L’illusion du pouvoir -Accumulation qui sert d’hyperbole pour montrer que le baron est au centre du monde. -Un baron est un petit titre. b) L’illusion de la philosophie optimiste -L’optimisme est la philosophie

vers à un autre ensemble, ce qui crée des effets de sens.   2.2. L'allitération L'allitération est la répétition du même son-consonne. Son rôle essentiel est de rythmer le vers, de constituer une trame sonore du poème. Elle peut créer une harmonie imitative: elle évoque alors le bruit que ferait ce dont le poème parle. Elle peut aussi suggérer une impression: c'est l'harmonie suggestive. Elle peut enfin produire un effet humoristique. L'allitération sert d'abord à mettre en évidence une unité de

suffisantes ou riches). Elle utilise aussi les reprises de sons dans un ou plusieurs vers (allitérations et assonances), le jeu du refrain (comme dans la ballade ou le Pont Mirabeau d’Apollinaire) ou la correspondance entre le son et le sens avec les harmonies imitatives (exemple fameux : « Pour qui sont ces serpents… » Racine) ou les rimes sémantiques (automne/monotone). Poids des mots Portrait de Mallarmé par Édouard Manet. Le poète exploite toutes les ressources de la langue en valorisant aussi les

spectacle fascinant. On retrouve 20 ans plus tard chez Zola dans Thérèse Raquin, la scène de morgue avec la même attirance morbide.  RYTHME DES VERS 2ème strophe: position et odeur, vue d'ensemble au moment de la découverte. Allitération en [R] → harmonie immitative: lorsque le poète choisit des sons qui imitent le bruit qu'il est en train de décrire. Strophe 6,7&8 → strophes à part: beauté, oubli de la charogne.  Poème composé de 12 quatrains alternant alexandrins et octosyllabes avec des rimes