Harmonie imitative

bourgeois sévère. La jeune fille est associé à la petitesse : petit au sens mignon. Allitération en « t » (répétition d’une consonne : effet essentiellement rythmique) = imitation lorsqu’elle fait « trotter ses petites bottines » il s’agit d’une harmonie imitative. L’échange de regard : elle se retourne : il ne lui ait pas indifférent. La phrase n’est pas finie comme si l’auteur était troublé. Elle devient « l’Adorée » (v.28) : elle devient la muse de l’auteur : il lui a écrit des poèmes : « Vos sonnets

d'Apollinaire -> fluidité de l'eau - rimes féminines -> légèreté - distiques en vers impaires -> heptasyllabes (idée de Verlaine) - répétiitons des sonorités :allitérations en "l" représentant l'écoulement de l'eau -> harmonie imitative (sons correspondant à une réalité) - assonances "ou", "o", "eu" -> mélodie, écho d'un vers à l'autre "violente" : vie-ô-lente (v. 15 et 16) - anaphores v. 13 et 14, v. 20 et 21 mais sortout reprise par quatre fois du refrain B) Mouvement

effet derrière cette image paradisiaque, se trouve une embarcation qui essaye de se faire discrète « le navire glissant » (v.4) au dessus des vagues agité et des fonds marins mortels  « sur les gouffres amers » (v.4). Nous pouvons remarquer une harmonie imitative avec « gouffres » où la fin du mot peut faire penser au bruit des vagues qui se tombe les unes sur les autres. Il y a e plus des turbulences aquatiques, « la tempête » qui fait rage en fin de poème au vers 14 qui nous évoque encore ce paysage

comble de la persécution: une vision insoutenable pour lui provoquée par ses remords "A mes yeux Hermione l'embrasse" vers 1633 Il s'adresse aussi aux furies, les déesses de la vengeance qui le menacent: l'allitération en "s" vers 1638 est une harmonie imitative des serpents En outre, un champs lexical violent est employé : "fureurs" vers 1641, "me déchirer" vers 1643, "mon ceur à dévorer" vers 1644 Finalement, la récurrence de phrases exclamatives et interrogatives traduisent l'agitation d'Oreste

oracle). - Dans les deux premiers vers du poème on identifie des allitérations : en [f] : "insensé, furieux farouche, fantasque" => sifflement de la foule en [m] : "maussade, malplaisant, médit" => grondement de la foule => Identification d’une harmonie imitative. - Le choix des adjectifs insiste sur l’absence de socialité du poète. Ronsard n’est pas rejeté en tant qu’individu mais en tant qu’artiste. En effet on note une généralisation dans les propos de la Muse. 4°) Un récit qui retrace l’apprentissage

à « une nonchalance où nage une élégance de poulpe », à la douceur d'entrailles des monstres », « le soleil fier » , « le vif de la terre » : ces images célèbrent la puissance de l'imagination de l'esclave. Assonances et allitérations : harmonie imitative pour les esclaves : « fusant très haut une nonchalance où nage une élégance de poulpes », « douceur d'entrailles des monstres », « l'oiseau calao qui s'y claustre » / contre sonorités dures et cacophonie pour le maitre (« qui lengangue encore »)

le fleuve. On trouve le champs lexical de la promenade fluviale : « en barque », « la barque », « fleuve », « le bord ». L'absence de ponctuation crée une fluidité du rythme et les allitérations de sifflantes en [s],[z] et [f], créent une harmonie imitative renvoyant au glissement de la barque sur l'eau. Cette balade provoque un plaisir des sens : La vue est émerveillée par la beauté du paysage fluvial rhénan : « le joli mai » a une connotation méliorative et « sur le Rhin », « montagne », « les

contenu (Boire un verre) Le symbole pour la chose (Les lauriers, pour la gloire) L'écrivain pour son oeuvre (Lire un Zola) Assonance n. f : Répétition d'un même son voyelle dans un énoncé. L'assonance peut être utilisée pour produire une harmonie imitative. Ex: « Lève, Jérusalem, lève ta tête altière » (Racine)
Il s'agit ici d'une assonance en [è] Rem: on tient compte ici des sons, et non des lettres. Ainsi, on pourra trouver une assonance en [ou], [an], [on] etc A ne pas confondre avec l'allitération

sont longue enjambement vers 7 et 8 * Le rythme est également un élément majeur du poème. Enjambement du vers 15et16 effet de mise en évidence du « lourd veaux », la puissance étant au cœur du poème. De plus V.H §4 imite le son des vagues : harmonie imitative de plu la reprise sonore des « la » dans le 1er quatrain donne un écho au poème cela peut également évoquer le bruit cadencé de la mer. Ce rythme régulier peut être dramatique. La réalité de l’horreur * « La fenêtre enfin libre » limite

qu’une sinistre pièce de théâtre. + isotopie du théâtre : « mime », « comique » => l’oiseau/le poète est le centre d’un divertissement. * Le navire est associé au spleen par l’image des « gouffres » L’allitération en g, s et v est une harmonie imitative du navire voguant sur l’eau. => la foule et le théâtre social semblent être une origine du spleen dont est atteint Baudelaire. Chaque élément a une valeur symbolique expliquée dans le dernier quatrain. Les deux aspects de l’albatros