Harmonie imitative

hyperbole, interrogation oratoire, litote, paradoxe… 64 © Groupe Eyrolles ■ La préparation de vos écrits – images : comparaison, métaphore, métonymie, oxymore, personnification, synecdoque… – son : allitération, assonance, harmonie imitative, paronomase… ■ Procédés grammaticaux : – structures des phrases, – valeurs et emplois des temps verbaux. Tableau 3.4 – La richesse du texte Présentation Suggestions Partir du texte Le premier travail consiste à relever ce qui

d’âme, il est fait à Hermione dont le spectateur connaît immédiatement les réactions. � ÉTUDIER L’ÉCRITURE 14. « […] Filles d’EnFer... / Pour qui Sont ces Serpents qui SiFFlent Sur vos têtes ? » (v. 1637-1638). Ces allitérations créent une harmonie imitative, celle du sifflement des serpents. La vision gagne en force et par là-même aussi la souffrance d’Oreste. � ÉTUDIER UN THÈME La peinture de la folie 15. Racine propose un tableau très vraisemblable d’un état pathologique d’égarement. Les symptômes

| |Son propos est de montrer la grandeur de Dieu à travers les merveilles de la création. Usant abondamment de la métaphore, d'harmonies | |imitatives, de la répétition de syllabes évocatrices et de néologismes pour évoquer au mieux un objet, il est un maître du baroque | |littéraire.

sans gêne qui occupe une énorme place, on dira : «je ne vous dérange pas trop ?» - Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d’abord à peu près six mille hommes de chaque côté; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. (Voltaire, Candide)

sans gêne qui occupe une énorme place, on dira : «je ne vous dérange pas trop ?» - Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d’abord à peu près six mille hommes de chaque côté; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. (Voltaire, Candide)

comptables, par le tact et la pertinence des sollicitations, du progrès d’élèves plus timides ou réservés. Cet oral bien pensé autorise une reconstruction patiente du contenu de la fable, du rythme du récit, du travail sur le son (allitération, harmonie imitative). Deuxième accent majeur : le temps suffisant d’échange autour de la compréhension, hors de toute démarche prématurée de questionnaire qui figerait la lecture authentique du texte, permet aussi un travail ambitieux de lexique en contexte

tours [sont] fines comme les troncs des palmiers » : le minéral et les constructions des hommes (les tours) semblent se mêler à la nature, l’imiter (les troncs des palmiers), et former ainsi une ville onirique où l’homme et son environnement sont en harmonie (les « palais rouges ornés de feuillages, de lianes, de fleurs géantes » renforcent cette imbrication de l’humain et du naturel). La récurrence de l’expression « Il y a » introduit la mention des « grands lacs d’eau bleue comme le ciel, une eau si

stricte étiquette de la Cour et à une hiérarchie sociale nettement définie, correspond l'ordonnancement des idées et de l'expression, harmonieusement fondues. L'harmonie est le maître-mot qui sous-tend l'idéal classique: harmonie entre l'éclat du règne et celui des arts, harmonie d'une langue limpide au service d'une pensée lumineuse.   IV- Les « phares » de la littérature classique C'est dans le genre théâtral que se manifeste, dans son plus grand éclat, le génie classique. Molière fait de la

contraire à notre Constitution. Il a donc fallut qu’on modifie notre Constitution en 1992. Or la Constitution reste supérieure au traité car si on n’avait pas modifié notre Constitution le traité n’aurait pas été applicable. Il faut procéder une harmonie entre toute les normes. ->imprimer jusque là au 25/09 §2 : Les origines de l’Etat Deux thèses en présences A. L’Etat comme phénomène naturel Ici l’Etat est perçu comme l’aboutissement d’un phénomène naturel, l’Etat aurait une

vitale (souveraine) immatérielle - Dynamis - aimant la partie matérielle du corps humain (organisme), règne de façon absolue. Entre toutes les parties de l'organisme vivant, elle maintient dans leurs activités fonctionnelles et réactionnelles une harmonie qui force l'admiration. L'esprit doué de raison qui habite cet organisme peut ainsi librement se servir de cet instrument vivant et sain, pour atteindre au but élevé de son existence." Au paragraphe 12, il donne sa définition de la maladie :