Harmonie imitative

de l’extrait : retour au récit troublé. Citation de Virgile : contexte littéraire qui parle de mort. On apprend à la fin que Jérôme reconstruit le récit de la torture de Marcella qui a eu des témoins. Héroïsme de Marcella : Jeune femme sauvé. Harmonie imitative : hyperbase très importante. Chaos textuel qui correspond au chao psychologique de Jérôme. Il y a une poésie dans ce texte. Ambroise de Milan Fait partie des docteurs de l’Eglise. Leur particularité c’est qu’ils sont presque tous évêques. Du

traduit d'une part l'habitude, mais aussi l'action dans le passé.  Les deux quatrains basés sur l'alexandrin Nous remarquons bien que rien ne vient jusqu'ici troubler ce paradis exotique. C'est l'analyse des deux tercets qui vient perturber cette harmonie comme en témoigne le premier hémistiche du neuvième vers : « C'est là que j'ai vécu ». Baudelaire semble regretter ce temps révolu pendant lequel il baignait dans « les voluptés » (vers 9). Intéressant est aussi le début du second tercet. Le poète

chez Baudelaire. d) C’est donc une personne qui tranche sur l’ordinaire des personnes rencontrées dans les tableaux parisiens qui sont plus souvent des personnages laids ou déchus (vieillards, aveugles, prostituées). Elle tranche aussi par son harmonie sur la cacophonie de la rue. III. Le gros plan sur les yeux et les premières réactions du poète (vers 6-9) a) C’est maintenant l’instant où les deux êtres se croisent et où leurs regards se rencontrent. - Cet instant prend une durée importante

comme le dernier, cela montre l’angoisse vis a vis du temps qui passe et le regret des moments passés qui ne reviendront surement plus. *Ce mal être du temps présent, apparait surtout dans la fin du poème, on peut relever au vers 42 une harmonie imitative « j'entends le temps battant ma tempe" avec l’assonance en « an » et allitération en « t » les sonorités nous permette d’entendre ici le mal être du poète vis à vis du temps, il semble le ressentir. De plus les terme battant et la localisation

quatre vers et qui contient son portrait en mouvement. Le vers 2 est ponctué de façon à délimiter des groupes de longueur croissante et précède la régularité des vers 3 et 4. Dans le vers4, les quatre groupes de trois syllabes impriment rythmes et harmonies de la démarche. Quant au vers 5, il constitue du point de vue de la structure une sorte d'enjambement sur le deuxième quatrain et surtout élargit le portrait en apportant des éléments d'ordre moral. Ici, la beauté morale se joint à la grâce du corps

rimes riches, les assonances intérieures ^4, tous éléments dont le rôle harmonique est évident. Pourtant l'impression reste, à l'audition, d'une poésie essentiellement mélodique. Que l'on compare de ce recueil le « Crépuscule du soir mystique » à 1'« Harmonie du soir » des Fleurs du mal, deux pièces qui chantent l'une et l'autre la correspondance — baudelairienne — du souvenir avec le crépuscule : l'admiration que Verlaine témoigne à celui qui fut son « plus cher fanatisme » ne peut faire que son propre

recueil Charmes de Valéry ne signifie pas « vagues séductions » mais qu’il doit être ramené à son étymologie latine de carmen, le chant sacré, dont le sens s’est affadi en français contemporain. Ce jeu des rythmes, des sons, des images, ces harmonies imitatives, ce phénomène d’écho entre le sens et les sons qui le portent procurent un intense plaisir à celui qui y est sensible. Des vers comme ceux que Victor Hugo a placés dans Booz endormi : Un frais parfum sortait des touffes d’asphodèle ; Les

une note (le sol puis le do) par élimination progressive des notes du cluster. 198 MU02 Séquence 2 Une séquence harmonique douce et équilibrée permet aux deux instruments de jouer d’égal à égal pour fusionner dans l’accord final avec une harmonie construite à partir de sons arpégés tenus, déployés symétriquement en miroir. L’accord final entendu est fait de la superposition de quartes et de quintes avec deux tierces : La - Ré - Lab - Fa# - Do# - Sol - Si - Mib - Sib - Fa - Do - Mi - Les 12

mots qu'il fait rimer car la rime les met en valeur. En rapprochant les mots, il crée des relations de sens entre eux. La puissance de ces récurrences, allitérations, assonances et rimes, produit un effet poétique qu'on appelle une harmonie imitative. Ces harmonies constituent un procédé pour créer une ambiance. Il ne s'agit pas de donner un sens au son lui-même, mais d'établir des corrélations formelles qui deviennent significatives. Il faut prêter attention à tout ce qui restitue la qualité

modernité et d'Apollinaire -> fluidité de l'eau - rimes féminines -> légèreté - distiques en vers impaires -> heptasyllabes (idée de Verlaine) - répétiitons des sonorités :allitérations en "l" représentant l'écoulement de l'eau -> harmonie imitative (sons correspondant à une réalité) - assonances "ou", "o", "eu" -> mélodie, écho d'un vers à l'autre "violente" : vie-ô-lente (v. 15 et 16) - anaphores v. 13 et 14, v. 20 et 21 mais sortout reprise par quatre fois du refrain B) Mouvement