Harry Belafonte

sauf la Yougoslavie qui a été libérée par le Maréchal Tito et qui n’a pas eu besoin de l’aide de l’URSS. Ouest USA : 1ere puissance mondiale, sort enrichie de la guerre. Pays de la libre entreprise, de la concurrence du capitalisme libéral. Harry Truman applique la politique du « contrainement ». il faut endiguer l’expansion du communisme et sauver l’Europe du désespoir. Est URSS : ruinée par la guerre a choisit depuis octobre 1917 la voix du marxisme = léninisme communisme. Staline (mort

héros pour qu’il puisse aimer cette œuvre : « Monsieur de Clèves pense que son épouse est éprise du duc de Nemours ». Le lecteur ne s’identifie par forcément au personnage principal il peut ressembler à un personnage secondaire : tel Hermione dans Harry Potter de Rowling, pour une fille ou, un garçon qui peut être séduit par Hermione et va lire pour savoir les périples d’Hermione dans cette série. Les personnages du récit peuvent faire l’action, c'est-à-dire qu’ils sont des héros ou des demi-dieux

Soviétiques, au lieu de laisser se dérouler des élections libres, imposent des régimes communiste comme en Roumanie ou en Hongrie par exemple. L'expansionnisme soviétique est d'abord dénoncé par Winston Churchill lors de son discours de 1946 à Fulton. Puis Harry Truman, lors de son discours au congrès en mars 1947, durcit la position des Etats Unis envers les actes soviétiques. Il expose la doctrine Truman, qui a pour but l'endiguement ou le " containment " du communisme. De plus, un plan de reconstruction

la suprématie blanche. À son avis, la ségrégation pourrait « encourager des agressions [...] contre les droits admis des citoyens noirs », « inciter à la haine raciale » et « perpétuer un sentiment de méfiance entre races. »9 En 1948, le président Harry S. Truman ordonne la déségrégation dans l'armée américaine. La ségrégation raciale institutionnalisée a pris fin grâce au travail de militants pour les droits civiques comme Rosa Parks et Martin Luther King, qui ont lutté de la période allant de la

aout 1948. Il était un partisan de Staline, il a joué un grand rôle en URSS. Il est l’auteur de la Doctrine Jdanov. Pour lui, le monde était divisé en deux : les Etats-Unis, qui étaient les forces impérialistes et les URSS les pacifistes. 3. Harry TRUMAN Il est né le 8 mai 1884 dans le Missouri et mort au Kansas-City le 26 décembre1972. Il était le 33ème président des Etats-Unis de 1945 à 1953. Pendant ses mandats, il y a eu les bombardements de Hiroshima et Nagasaki, le début de la guerre

le Kominform, dont le but était la coordination des partis communistes en Europe. À l'occasion de cette création, il jeta les bases de la politique soviétique deGuerre froide : la doctrine Jdanov. Cette dernière, à l'instar de la doctrine du Containment de Harry S. Truman (la même année), voit la séparation du monde en deux camps. Pour Jdanov : « le camp impérialiste et antidémocratique, le camp anti-impérialiste et démocratique ». Dès la fin du conflit mondial, les différences d’idéologies des alliés sont

contre les droits admis des citoyens noirs », « inciter à la haine raciale » et « perpétuer un sentiment de méfiance entre races. »9 Afro-américain buvant à une fontaine réservée aux Noirs, vers la moitié du xxe siècle En 1948, le président Harry S. Truman ordonne la déségrégation dans l'armée américaine. La ségrégation raciale institutionnalisée a pris fin grâce au travail de militants pour les droits civiques comme Rosa Parks et Martin Luther King, qui ont lutté de la période allant de la

o Cette promotion, Harry Roselmack la doit autant à ses compétences qu'à sa couleur de peau. – Deze promotie, heeft Harry Roselmack te danken aan zijn vaardigheiden dan aan de kleur van zijn huid. o La chaîne TF1 est entrée, à sa façon, brutale mais efficace, dans l'ère de la discrimination positive. – TF1 kwam op zijn manier, brutale maar effectief in het tijdperk van positieve actie. o L’avènement de – de opkomst van o L’émission – programma o fut aussi la véritable entrée –

s'exécutent, ne laissant en Corée du Sud que quelques centaines de «conseillers». Les Soviétiques, quant à eux, réarment à la hâte les Nord-Coréens communistes. Vive réaction américaine Le jour même de l'attaque nord-coréenne, le président américain Harry Truman saisit l'Organisation des Nations Unies (ONU). La jeune instance internationale joue sa crédibilité sur ce conflit. Aussi le Conseil de sécurité ne se fait-il pas prier pour condamner l'agression et annoncer la mise en place d'une force internationale

soviétique dominait tout, désormais" (p.250). Il semble déterminé à combattre les soviétiques, ce que De Gaulle ne partage pas. Il part cependant avec une idée élogieuse de ce président "nous nous séparâmes en bons termes" (p.256). Sa description de Harry Truman vise à nous montrer que celui-ci est selon lui un meilleur président que Roosevelt "on se sentait loin des vues d'un vaste idéalisme que déroulait dans ce même bureau son illustre prédécesseur" (p.250).