Hatem Ben Arfa

Passe Dès les années 50, avant l’indépendance, la France a accueilli ceux qui étaient des ressortissants de ce que l’on appelait alors les colonies ou les territoires ou départements d’outremer. Ils étaient alors peu nombreux et s’appelaient Larbi Ben Barek (OM), Rachid Mekloufi (Saint-Etienne) ou Zacharie Noah (Sedan). Dans les années 70, après les indépendances, on retrouve en France des grands noms comme Salif Keita (Saint-Etienne puis l’OM), Laurent Pokou, attiré à Rennes par François Pinault

nationalement reconnue comme l’une des plus compétitives. L’OL rafle régulièrement les titres de champion dans les catégories de jeunes, et nous pouvons encore assister cette année à l’explosion du talent des deux nouvelles coqueluches de Gerland, Hatem Ben Arfa et Karim Benzema, tous deux internationaux Français à tout juste 20 ans. Le club s’appuie sur des infrastructures de qualité au sein du centre de formation, qui devrait être rejoint par un second grâce aux fonds débloqués par l’entrée en bourse

structure : Il existe des structures fédérales de types Pôles Espoirs pour les jeunes de 13 à 14 ans, il en existe environ 12 dans la France dont L’INF Clairefontaine où beaucoup de jeunes internationaux sont passés par là bas, je pense notamment à Hatem Ben Arfa, Abou Diaby, Jourdren, etc. L’avantage de ces pôles espoirs c’est qu’ils permettent aux jeunes de rester plus longtemps dans leur quotidien, dans leur environnement ce qui leur permet de vivre une adolescence normale et de pratiquer le football

malgré la Seconde Guerre mondiale, et la réquisition du Stade Vélodrome par les forces armées24. De retour au stade de l'Huveaune, Marseille termine deuxième du championnat de la zone Sud-Est 1939-1940, avec l'apparition pour un seul match d'Ahmed Ben Bella, futur président algérien25, et échoue en finale de la Coupe de France face au RC Paris (2-1)26. En 1941, l'OM est champion de France de la zone libre ; néanmoins, ce titre n'est pas comptabilisé dans le palmarès olympien. En 1942-1943, l'attaque