Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme

Navigation, rechercher Pour les articles homonymes, voir ONG. Une organisation non gouvernementale ou ONG est une organisation d'intérêt public qui ne relève ni de l'État ni d'une institution internationale[1]. Les ONG n'ont pas le statut de sujet de droit international. L'habitude est de réserver le terme aux personnes morales à but non lucratif financées par des fonds privés. Grâce à l'apport de la sociologie des organisations, les principaux critères définissant une ONG sont les suivants[1] : •

Haut-Commissariat des NatioNs uNies aux droits de l’Homme PRATIQUES DE BONNE GOUVERNANCE POUR LA PROTECTION DES DROITS DE L’HOMME NATIONS UNIES HAUT-COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L’HOMME PRATIQUES DE BONNE GOUVERNANCE POUR LA PROTECTION DES DROITS DE L’HOMME NATIONS UNIES New York et Genève, 2007 Note Les appellations employées dans la présente publication et la présentation des données qui y figurent n’impliquent de la part du Secrétariat de l’Organisation des

Le droit d’ingérence est il légitime ? (Arche de zoe, révolutions arabes, cas de la serbie, casques bleues ONU) L'ingérence, c'est un peu comme le principe de précaution Le droit d'ingérence, terme créé par le philosophe Jean-François Revel （francais）en 1979, est la reconnaissance du droit qu'auraient une ou plusieurs nations de violer la souveraineté nationale d'un autre État. En pratique, ce droit s'exerce dans le cadre d'un mandat accordé par une autorité supranationale (mandat qui peut cependant

groupes – de gauche comme de droite – opérant en marge de la loi, de pratiques criminelles, telles que l’enlèvement, la séquestration, le rançonnement, le viol, l’expropriation sans droit, voire l’assassinat ciblé ou collectif et, bien sûr, le narcotrafic à grande échelle ; persistance aussi, au sein de certains organes de l’Etat, de pratiques incompatibles avec la notion d’Etat de droit, telles que corruption et désinformation, atteintes répétées aux droits de l’homme à l’encontre d’individus ou

apparent. * En France, les propos discriminatoires constituent des délits et sont punis par la loi. Plusieurs articles du code pénal définissent la discrimination : * L'article 14 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales, portant sur l'interdiction de discrimination, ratifié par la France, s'applique également. Doc n°3 Titre : Articles du Code Pénal Article 225-1

vont être condamnées par la suite par des organisations des droits de l’homme y comprit Amnesty international qui condamnent la gestion de la guerre par le gouvernement. Des rapports font état de massacres par les troupes gouvernementales alimentant les rumeurs d’une alliance entre le MNLA et des musulmans salafiste extrémistes. Les rebelles réfutent catégoriquement ces allégations. -Le 17 février Le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) estime qu’environ 44000 réfugiés ont

UNIVERSITÉ DE DROIT, D’ÉCONOMIE ET DE SCIENCES Aix-Marseille III Faculté de Droit et de Science Politique – Laboratoire de Droit Humanitaire et de Gestion Humaine des Crises (D.HU.GES.CRI) Vera SIBER Mémoire : DESS Aide Humanitaire Internationale, Prévention – Urgence et Réhabilitation 2002/2003 LES FEMMES LA PAIX ET LA SECURITÉ Sous la direction de Mme la Professeur Marie-José DOMESTICI-MET SOMMAIRE Introduction I Identité Égalité Différence I.A. Discrimination I.B. Gender I.B.1

au lendemain des conflits : la SDN et l'ONU » [MB 2.6] Note : voir Livre p. 74-77 et 100-103 Sommaire Introduction.........................................................................................................1 1. La Société des Nations (SDN) : fondation, organisation et action de 1919 à 1946....................................................................................................................2 1.1. Naissance de la SDN..............................................

Margarita Bueso, la coordinatrice de l’UNIFEM (Nations Unies dans la Région Andine du Programme « Femmes, paix et sécurité » : « Comme dans tous les conflits, les femmes sont utilisées comme arme de guerre, à travers la violence sexuelle, pour provoquer le déplacement forcé et l’éclatement des familles. » Cependant, il est évident que la condition des femmes colombiennes a évolué au niveau de la Constitution. Il est question de garantir un minimum de droits aux femmes (éduction, santé, justice).

associé à la fois à la démocratie et à l’administration, à la transparence, la participation et la responsabilité’ (C. Brodagh, 1998). L’Assemblé Générale des Nations Unies l’évoque en juin 1997 dans les termes suivants : « La démocratie, le respect de tous les droits de l’homme, et de toutes les libertés fondamentales, y compris le droit au développement, la transparence et la responsabilité dans la gouvernance et l’administration de tous les secteurs de la société, et la participation effective