Hector Giraudoux

s’inspirent de sujets antiques. Ici, Racine s’inspire de l’Iliade pour mettre en scène Andromaque. L'argument de la pièce se résume en une phrase : Oreste aime Hermione, mais elle aime Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime encore le souvenir de son mari, Hector, tué pendant la guerre de Troie. Passage : dans un monologue, Andromaque doit faire son choix : épouser Pyrrhus, son pire ennemi et sauver son fils ou ne pas l’épouser, ce qui condamnerait Astyanax à la mort. Cette scène se situe au cœur de l’acions

ce qu’est ce cheval : une offrande à Minerve. Mais Lacoon est tué, lui et ses 2 fils par 2 serpents. Ils emmènent le monstre dans le Temple de Minerve. Les troyens fêtent la victoire, quand surgissent, du corps du cheval, des soldats. C’est grâce à Hector qui apparaît en songe à Enèe, qu’il pourra sauver sa famille. Les Grecs, arrivent grâce à Pyrrhus (le fils d’Achille) à ouvrir les portes du palais de Priam. Chapitre III : Le récit d’Enée : mort de Priam et fuite du héros

Pour l'apaiser, Agamemnon doit sacrifier sa fille Iphigénie (vierge royale) Agamemnon décide d'égorger son enfant 4. Grecs: Athéna, Héra, Poséidon, Achille, Ménélas, Agamemnon, Ulysse, Ajax Troyens: Aphrodite, Pâris, Arès, Apollon, Artémis, Priam, Hector Pendant 9 ans, le guerre continue... Défi entre Pâris et Ménélas (désirent la même femme) Aphrodite vient sauver Pâris 5. Querelle entre chefs grecs: Achille et Agamemnon Achille veut que l'esclave Chryséis soit rendu à son père (prêtre d'Apollon)

Hélène par la négociation. Peine perdue, les Troyens, subjugués par sa beauté, ne veulent pas la rendre. La guerre est inévitable. Le siège de la ville durera dix ans. L'Iliade raconte la dernière année de la guerre et le combat décisif entre Hector le Troyen et le héros Grec Achille. Les Grecs n'arrivent pas à prendre l'avantage. De plus Achille, le héros invincible, boude dans sa tente et refuse d'aller au combat parce que le chef de l'expédition lui a pris Briséis sa captive. Les Grecs et

Orest dit a pyrrus qu'il l'admire et quil veut astyanax. En effet hector a tué plein de monde et les grecs veulent se venger en tuant le fils de celui ci donc astyanax. Or pyrrhus : les grecs n'ont plus de droit sur astyanax, je lai eu en cadeau de guerre a troie avec andromaque, qu'ils cherchent une autre proie pour se venger de troie. Mais oreste met en garde pyrrhus car les grecs veulent pas se venger de troie mais de hector qui a trop tué et les grecs sont pres a venir jusqu'a epire pour ca

fidèle et une épouse exemplaire, en effet, elle ne l'a pas trahi, mais après réflexions, elle décide de sauver son fils qui est selon elle l'image d'Hector. Andromaque est confrontée à un dilemme, comme souvent dans les tragédies : sa fidélité envers Hector lui interdit d'épouser Pyrrhus pour sauver Astyanax, leur fils, elle doit l'épouser quand même Les dilemmes raciniens emmènent souvent les personnages à leur perte, sauf ici, la mort de Pyrrhus lui permet de se retrouver reine d'Epire en mémoire de

de la Grèce exiger de Pyrrhus qu'il lui livre Astyanax, le fils d’Hector et d'Andromaque. Ce fils doit mourir ; ce n'est encore qu'un enfant mais les Grecs redoutent qu'il ne veuille un jour venger sur eux la défaite de Troie et la mort de son père Hector. Oreste confie toutefois qu'il n'a accepté de mener cette ambassade en Épire que pour une seule raison : revoir Hermione, qu'il n'a jamais pu cesser d'aimer, malgré ses constants refus. Oreste la sait dédaignée par Pyrrhus auquel elle est pourtant

Pyrrhus ; c’est d’autant plus tragique que la plupart d’entre eux sont prononcés par lui-même. c- Hermione le double d’Andromaque V 1329 «  ………………………………………………………………………………………………………. » ce vers rappelle l’épisode de la victoire d’Achille sur Hector, au terme de laquelle il traîne le corps du troyen avec son char pour célébrer son triomphe. Andromaque était alors la veuve pleurant son mari décédé. Ici, le terme «  char » rappelle cet épisode , sauf que la femme pleurant l’homme perdu est Hermione

: L’aveuglement d’Andromaque, registre épique Dans la première tirade, on assiste à l’état d’aveuglement d’Andromaque. Princesse déchue de Troie, Andromaque ne se console pas de l’effondrement de sa patrie. Sa fidélité envers Hector se double d‘un patriotisme aussi douloureux qu’aigu ; et ses propres malheurs se confondent avec ceux de sa nation. Andromaque porte le deuil de son « peuple » pour qui la « nuit cruelle » qui vit la chute de Troie fut « une nuit éternelle » (v. 997-998)

Hector vient défendre son point de vue, suite à la discussion d’Andromaque et de son père au sujet de la guerre. HECTOR : Je vous ai entendu parler avec Andromaque. Elle vous a annoncé son point de vue mais vous n’êtes pas convaincu. PRIAM : Je ne suis pas complètement convaincu par les raisons pour laquelle Andromaque veut condamner la guerre. Car lors d’une guerre, il faut bien défendre le pays, défendre une cause,… HECTOR : C’est vrai que s’il n’y avait pas de défense, la patrie serait détruite