Hegel Esthétique Conscience Explication De Texte

3 porte sur La raison et le réel : la pratique (morale et politique). Le tome 4 comporte les œuvres étudiées : - les Méditations métaphysiques I et II de Descartes ; - le livre I du Contrat social de Rousseau ; - la conférence de Bergson : « La Conscience et la Vie », dans l’Énergie spirituelle Vous trouverez souvent, au début ou à la fin des cours, leçons ou études d’œuvre, le plan de la démarche adoptée par son auteur et, le cas échéant, un récapitulatif des indications bibliographiques majeures

discursive (= discours), qui procède par le raisonnement. C'est pourquoi dans cette perspective on peut reprocher à la connaissance intuitive de ne pas fournir ses raisons. L'évidence intuitive peut être trompeuse. PASCAL- L'ordre du coeur. B – Texte d'Aristote L'acuité du sens se mesure à la capacité de saisir avec précision les différences olfactives et aussi à la capacité de percevoir ses différences de loin. L'odorat à une position intermédiaire dans l'échelle des sens et cette position

_______________________________________________ 2 La suppression des temps mo rts (Kundera) _______________________________________________ 4 Quand l’art se libère des contraintes réalistes (Sarraute) _____________________________________ 4 La question du progrès (Hegel)________________________________________________________ 4 L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique (Benjamin) _______ Erreur ! Signet non défini. I. Comment définir l’art ? ____________________________________________________ 5

 PHILOSOPHIE- ESTHETIQUE Le Paradigme Classique (- 400)  Paradigme = Matrice disciplinaire, ligne de conduite. Architecture répond à des règles, des ordres harmonieux Protagoras : « L’homme est la mesure de toute chose ». L’homme donne son opinion, Doxa, et vu que les opinions sont changeantes et instables, l’homme, qui est la mesure de tout, est donc versatile.  Il n’y a pas de vraie mesure, de critères de vérité. Cet humanisme est donc un relativisme radical. Cette pensée

l'homologie structurale entre l'oeuvre de Pascal et la tragédie racinienne et à montrer qu'elle correspond à la vision du monde propre au jansénisme. Ce courant religieux d'ailleurs n'est pas considéré pour lui-même, c'est en tant qu'expression de la conscience possible d'une couche sociale particulière, la noblesse de robe, que le jansénisme est analysé. On ne discutera pas ici la pertinence, sur le plan de la recherche historique, des hypothèses de Goldmann. Plus simplement on se contentera d'aborder

c'est se poser des questions, les bonnes questions. Problématiser une question, c'est se poser des questions auxquelles il faut répondre afin de pouvoir conclure. La problématique est donc un doute organisé. (cf. le doute cartésien - cours sur la conscience). En tant que programme de traitement du sujet, la problématique fixe les grandes lignes du développement de la dissertation. Problématiser un sujet, c'est préparer le plan de progression de la réflexion. 6) Élaborer un plan L'organisation

il tire son origine du fait de se sentir petite créature dépendante, face à quelque chose de transcendant -hors de la vie humaine- et qui est d’une grandeur incommensurable.(Peut être y-a-t-il là un écho de la condition humaine et de sa prise de conscience - voir B. Pascal et les deux infinis- ). - Le sacré est à la fois effroi et respect (vénération), quelque chose qui vous saisit et vous fait frissonner. - Incarné dans un objet (pierre, arbre, etc), une structure du réel (temps, espace)

autre que scientifique ? On pourrait se demander ce qui sépare un texte scientifique d’un texte poétique, juridique, ou autres. En poésie, l’utilisation de rythmes, de rimes, la musicalité de la langue suffisent à définir le texte. A quoi reconnaît-on un texte scientifique ? A son soucis delà vérité. Outre que la science a souvent défendue des idées fausses, comme suggère l’idée même du progrès scientifique, un texte religieux ou philosophique prétend aussi enseigner la vérité. Un trait essentiel

l'homme, qui l'aurait créée dans le but de faire face à la complexité de la vie car en effet celle ci dépasse l'homme. La religion donnerait une explication aux questions que se pose continuellement l'être humain, elle enseigne la patience et la résignation. L'homme est le produit d'une culture religieuse. Nietzsche avait annoncé dans son célèbre texte du Gai Savoir « Dieu et mort et c'est nous qui l'avons tué ! ». Tous nos repères symboliques dépendaient de Dieu, le bien dépendait de ses commandements

La conscience et l’inconscient LA CONSCIENCE (et l’inconscient) INTRODUCTION : définitions 1. être conscient c’est être présent à soi et au monde ; être là, sentir, prendre acte, ( il y a le froid par exemple) être capable de réagir. C’est la conscience immédiate. Un système sensori-moteur et un système nerveux central en bon ordre suffisent pour être conscient en ce sens. Ne pas être conscient en ce sens là, c’est être endormi, ivre mort ou atteint d’une pathologie de la perception. Etre conscient