Hegel Esthétique Les Choses De La Nature

l’esprit : un plaisir désintéressé 2. L’art a des techniques et des règles spécifiques 3. L’objectivité des jugements esthétiques B. L’art nous informe sur le réel 1. Contre la distinction : monde sensible /monde intelligible 2. La Mimesis comme moyen de connaissance III. LE RÉEL EST CONSTRUIT PAR L’ART A. L’art : une perception étendue B. En quel sens peut-on dire que la nature imite l’art ? C. Le constructivisme et le cognitivisme de Nelson Goodman (1906-1998) 1. Construire des mondes :

"mouvement" vers ...). C'est ainsi que l'autre est condition de mon existence. La conscience donc permet une certaine extériorisation, jusqu'où ? A priori, elle ne permet pas d'acquérir de connaissance (sur soi) ou plus généralement sur l'essence des choses. Nous avons par habitude de croire spontanément que chacun des traits qui forment, ce que nous appelons communément, caractère ou personnalité, viennent de nous-mêmes ou voire qu'ils nous sont innés, que l'on est né avec (certains penseront qu'il

Platon ; Aristote : Philosopher -> c’est apprendre à mourir donc apprendre à vivre. Homme mortel sar le problème de la mort se pose qu’à eux. Epicune : La philo est une activité qui par des discours et raisonnement nous procure une vie heureuse. Hegel : La philo est la forme supérieure de l’esprit absolu Noualis : la philo est propre parler de nostalgie, inspiration à être partout chez soi. Beckson : la scientificité humaine du divin relative de l’absolue Marx : c’est contenté de penser le monde

qui les séparent. Même la nature est humanisée, à travers les lignes imaginaires que l'Homme trace sur la surface de la Terre et les noms qu'il donne aux fleuves, aux sommets... L'Homme aménage la nature pour en faire un monde, càd un espace habitable fait par l'Homme et pour l'Homme. Une forêt, une rizière, une ville: ces espaces sont le fruit de choix culturels, même lorsque ces choix consistent à limiter l'intervention humaine sur la nature. Cette modification de la nature est une construction de

que les critères de la validité, qu’il ne faut pas confondre avec la vérité. Une suite de propositions peut être valide, et l’on attend de tout discours scientifique qu’il le soit. Mais cela n’est pas tout. La démonstration, dans les sciences de la nature, doit également se fonder sur une confrontation avec le réel. Démontrer, dans les sciences exactes, c’est raisonner, mais c’est aussi fournir des preuves. La logique, si elle est nécessaire, n’est donc pas suffisante. Une démonstration, en outre,

lien entre moi et moi-même. Or, on a vu que nos réponses le situent plutôt entre moi & le monde. Il y a 3 traits de la cs : intuition, immédiateté, intériorité et ces 3 traits font l’unité entre la cs psycho et la cs morale. Textes : Descartes, Hegel & Kant, Pascal, Bergson. 1° Déf. de la cs par Descartes à propos de sa tentative de définition de l’activité de pensée : « Par le mot de pensée, j’entends tout ce qui se fait en nous de telle sorte que nous l’apercevons immédiatement par nous-mêmes ;

même temps que je perçois que je perçois, je m’entraperçois. Je me perçois comme sujet de cet objet ( état de conscience) même si je ne suis pas l’objet de ma conscience. La conscience réfléchie est donc en même temps que la pleine conscience des choses, la conscience de soi. En ce sens, ne pas être conscient, c’est être par exemple comme le somnambule : il perçoit mais ne se perçoit pas percevant et du coup n’a aucune mémoire de ces promenades nocturnes ( ni de compte à rendre) qu’il ne ramène

« art » est équivoque puisqu’il possède deux définitions. Au sens moderne il englobe les beaux-arts, en d’autre terme, tout ce qui suscite, par leur aspect, une appréciation esthétique. Une définition donc très spécifique, contrairement au sens ancien de l’art, beaucoup plus général. Ce dernier comprend toute modification de la nature par un savoir-faire humain et ayant pour finalité un résultat artificiel. Cependant, cette seconde définitions ne distingue pas l’art de la technique (ensemble des moyens

dans ces conditions, que satisfaire ses désirs c'est mettre fin à cette souffrance et, pour peu que nous désirions réellement un objet source de satisfaction, une source de plaisir. Or, si l'on en croit Kant, l'une des destinations à laquelle la nature a voué l'homme est le bonheur. On a donc l'impression que satisfaire ses désirs c'est répondre à cette destination, à condition bien sûr que le bonheur se limite à une somme de plaisirs. 2) Désir et condition humaine Il faut souligner que seul

Démuni de tout, il a dû par son labeur adapter la nature à ses besoins en se fabriquant outils, abris, vêture : dicté par la nécessité naturelle, le travail ne semble donc ne pouvoir nous promettre autre chose que la continuation de la simple survie, jamais assurée et rien moins que facile. Cependant, la nécessité où nous sommes de travailler s'épuise-t-elle dans ce fait et dans ce pur donné ? Certes, par son travail, l'homme cultive la nature ; il est douteux néanmoins qu'il ne s'agisse alors