Hegel Esthétique Les Choses De La Nature

mis en forme par un esprit créateur, ensemble auquel on attribue une beauté procurant une satisfaction désintéressée, et ce lorsqu'on le compare à un type de réalité étranger à la beauté et à l'art ? Vous êtes interrogés ici sur le problème de la nature de l'oeuvre d'art et sur ce qui fait sa spécificité. Ce sujet est tout à fait classique et il est traité normalement dans le cours sur l'art. Si l'analyse des termes de l'intitulé vous conduit à l'essentiel des caractéristiques (création unique, beauté

des concepts abstraits et tente de définir de grands principes généraux et de répondre aux questions fondamentales de la vie et de la mort, du sens de l'existence, des valeurs individuelles et sociales, de la nature du langage ou de la connaissance et du rapport que nous avons avec les choses elles-mêmes. En philosophie, on peut avoir de bons ou de moins bons concepts, de bons ou de moins bons arguments, mais on ne peut pas avoir de preuves irréfutables, car ce n'est pas une science formelle ou

donc à la fois la production technique et la création d’une œuvre belle: On va donc voir ce qui rapproche et ce qui distingue art et technique A. Rapprochement art/technique *s'opposent à la nature : les produits de la technique, comme les créations de l'art, s'opposent au production de la nature. Ce sont des productions humaines, ce qui suppose liberté et réflexion. Dans l'art et la technique, l'homme "a pensé à une fin" nous dit Kant, càd qu'il y a une idée, une représentation qui précède

apparente du soleil or ce n'est pas lui qui tourne mais la Terre. On peut aussi prendre l'exemple de la femme objet, elle regimbe sur le fait qu'on la prend que pour un corps et non un esprit. → Ça à pour conséquence la lutte des consciences analysé par Hegel dans « Phénoménologie de l'esprit ». Chaque conscience veut faire autrui un esclave car elle voit l'autre comme un corps. Chacun se pense comme au dessus des autres, comme le centre du monde. • Freud a étudié les influences du corps et de l'esprit

différente, qu'aucun ne ressemble à l'autre, et qu'il ne faut y voir ni scandale ni incohérence.Corrolaire (la singularité comme irréductibilité): l'unicité est ici à distinguer de la singularité qui caractérise l'élément ultime d'une espèce. Des choses singulières, en droit, peuvent être identiques, interchangeables. L'individu en revanche apparaît comme singulier et à la fois comme unique. Il ne semble pouvoir se confondre avec aucun autre. Cette unicité mène alors vers le problème de l'irréductibilité:

n’est pas. La différence spécifique pourrait être esthétique ou qualitative : l’art pourrait se définir par le beau. L’art est ce qui produirait de la beauté. Cependant ce critère est-il valable universellement ? Peut-on universellement s’entendre sur ce qui est beau pour s’entendre universellement sur ce qui relève de l’art ? L’universalité du goût fait manifestement difficulté selon l’opinion commune, pour qui tous les goûts sont dans la nature. Le goût, la beauté sont-ils une affaire complètement

femme ou d'un homme. On peut distinguer entre les produits de la nature qui sont toujours explicables par des causes et des effets, et les œuvres humaines qui relèvent d'une activité consciente et significative : « L'art se distingue de la nature, comme le faire (facere) se distingue de l'agir ou de l'effectuer en général (agere), et le produit ou la conséquence de l'art se distingue en tant qu’œuvre (opus) du produit de la nature en tant qu'effet (effectus) » (E. Kant, Critique de la faculté de

tolérer leur arrogance ni les faire périr car ils tenaient aux honneurs et aux offrandes qui leur étaient consacrées, Zeus résolut alors de les affaiblir en les coupant en deux… Ainsi, dit Aristophane, ce qui explique l’amour « c’est notre primitive nature, celle que je viens de dire, et le fait que nous étions d’une seule pièce : aussi est-ce de convoiter cette unité, de chercher à l’obtenir, qui est ce que l’on nomme amour » ( 192e ) – Thèse de l’unité perdue ). Cependant, le désir peut aussi être

faisant ainsi de la conscience une «  chose  » existant indépendamment du corps et repliée sur elle-même, Descartes ne manque-t-il pas la nature même de la conscience, comme ouverture sur le monde et sur soi ? C’est ce que Husserl essaie de montrer  : loin d’être une chose ou une substance, la conscience est une activité de projection vers les choses. Elle est toujours au-delà d’ellemême, qu’elle se projette vers le monde, vers ses souvenirs vers ou l’avenir, à chaque fois dans une relation

Pourtant, en faisant ainsi de la conscience une « chose » existant indépendamment du corps et repliée sur elle-même, Descartes ne manque-t-il pas la nature même de la conscience, comme ouverture sur le monde et sur soi ? C’est ce que Husserl essaie de montrer : loin d’être une chose ou une substance, la conscience est une activité de projection vers les choses. Elle est toujours au-delà d’ellemême, qu’elle se projette vers le monde, vers ses souvenirs vers ou l’avenir, à chaque fois dans une relation –