Helen Berr

Mont Saint Helens Le Mont Saint Helens est un volcan se situant aux Etats-Unis, dans l'Etat de Washington. En 1980, après plus d'un siècle de repos, le volcan du mont Saint Helens, fut l'éruption volcanique la plus importante jamais enregistrée aux Etats-Unis dans les 48 Etats continentaux hors Alaska. Cette éruption est de type Plinienne et se situe sur 5, sur l'indice d'explosivité volcanique. Elle laissa échappé des nuées ardentes

s'attends et à son départ et à des conquêtes féminines. Troisième axe : Un contraste moral Le portrait moral de Julien va encore accentuer le décalage que l'on trouve dans tout le texte. Julien ne travaille pas, il lit le mémorial de Sainte-Hélène puisque Julien est un bonapartiste et Stendhal aussi. Son père est analphabète et fait voler le livre pour lequel il n'a que du mépris (« fit voler... » ligne 15), geste assez violent, (« cette manie de la lecture lui était odieuse » ligne 10, 11)

deux personnes, d’abord un ancien chirurgien-major retiré qui lui a conté ses campagnes d’Italie, lui a appris des bribes d’histoire, de latin et de chirurgie, l’a bercé du grand nom de Napoléon, et lui a légué en mourant le Mémorial de Sainte-Hélène, avec sa croix de la Légion d’honneur ; puis le curé du lieu, le bon vieillard Chélan, qui a succédé au chirurgien, s’est inquiété de l’avenir du jeune homme, et a tâché de le rendre capable d’entrer au séminaire. Au fait, Julien croit plus

fils d'un charpentier, il se fait brutalisé par son père et ses frères. Il a pour modèle Napoléon Bonaparte, en effet il dort même avec un portrait de son héros sous sa couche et tout au long du roman il y fait allusion. Ainsi le Mémorial de Sainte-Hélène est le livre favori de Julien. Tout comme son modèle il a des ambitions et des rêves de gloire et d'ascension sociale démesurés. Au fil du roman, le lecteur découvre un personnage orgueilleux et hypocrite. En effet, lors de son séjour au séminaire

(Exemple : « Julien ne passait peut-être pas une heure de sa vie sans se dire que Bonaparte, lieutenant obscur et sans fortune, s’était fait le maitre du monde avec son épée ».) Julien lit et affectionne tout particulièrement Le Mémorial de Sainte-Hélène, qui est un livre relatant des ambitions de Napoléon. b) J.S. au cœur des inégalités sociales : Julien Sorel vient d’un milieu modeste : il est fils de charpentier. Il est méprisé par les siens qui le battent. Il n’aime donc pas le milieu dont il

Une des œuvres étudiées est le journal d’Hélène Berr, une jeune femme juive qui écrit son journal pendant la 2nd Guerre Mondiale alors qu’elle a entre 20 et 24 ans. Elle commence à l’écrire en avril 1942, et le termine en février 1944. On peut suivre son histoire durant cette période de guerre, presque au jour le jour, car on observe tout au long du journal qu’il y a des coupure plus ou moins longues dans le récit. Dans son œuvre, Hélène Berr nous fait part des ses sentiments, ses craintes, ses pensées

Shoah, Konrad Latte, un musicien juif. Peter Shneider, un auteur, l'avait interviewé et a écrit un livre, Encore une Heure de gagnée. Dans ce livre, Shneider explique la Shoah et la vie de Latte durant et après les années du nazisme. On a aussi Hélène Berr, une autre française juive, qui a elle aussi écrit un journal. Elle l'avait écrit pour ne pas oublier et ensuite pour pouvoir laisser une trace. Bef, tous ces témoignages ont pour but de laisser des traces de leur vie et de ce qu'ils ont vécu. Certains

Le Journal d'Hélène Berr est un journal, un témoignage, commencé en avril 1942 lorsqu'elle avait 21 ans. C'est une étudiante juive à la Sorbonne à Paris, passionnée de littérature qui parsème ses écrits de citations et de références. En 1944, elle est arrêtée, déportée à Drancy puis à Auschwitz le jour de ses 23 ans. Elle arrive en novembre au camp de Bergen-Belsen où elle mourra, quelques jours avant la libération du camp

identifier dans cette majorité « deux petites filles avenue de La Bourdonnais qui... » lui « ont montrée du doigt. » (l.7-8), un « contrôleur » qui lui a attribué une voiture bien précise qui est la « dernière voiture. » (l.9), Molinié un camarade d'Hélène Berr qui ne cessait de fuir le regard de son étoile : « son regard se détournait de mon étoile » (l.16-17) , et une amie de Vivi Lafon qui assumait pleinement son côté antisémite envers elle, avec son étoile : « « Je ne peux pas voir les gens avec ça »

Devoir d’Histoire sur les pratiques religieuses d’Helene Berr. 1°) Si nous ne savions pas dès le début que Hélène Berr était juive il faudrait attendre la page n° 28 pour le comprendre (1er Juin 1942 Hélène Berr découvre le port de l’étoile jaune*) 2°) En effet dans la suite du récit il y a très peu d’allusion aux pratiques juives nous en avons relevé qu’une (page 66) « Demain c’est kippour* » 3°) LA place centrale du récit : ➢ Son devoir de mémoire : Ecrire pour le futur.