Hélène

1 (11’20 à 14’30) Niveaux B1, B2 Présentation de l’extrait : - personnages : Monsieur Léon et Madame Hélène (les propriétaires de l'atelier), Mimi, Simone, Marie, Gisèle et Madame Laurence (les ouvrières). - situation : 1945. La scène présente un atelier de confection où des ouvrières travaillent et bavardent. C’est le premier jour de Simone à l’atelier. Monsieur Léon et Madame Hélène entrent pour annoncer que par manque de tissu, la journée de travail se terminera plus tôt. Visionner le

20 % des résistants et environ 15 % des déportés politiques. Elles sont généralement cantonnées à des rôles subalternes. Lucie Aubrac, résistante emblématique, n'a en fait jamais eu de rôle défini dans la hiérarchie du mouvement Libération-Sud. Hélène Viannay, encore plus diplômée que son mari Philippe Viannay, le fondateur de Défense de la France, n'écrit jamais un seul article pour le journal clandestin du même nom, pas plus que les autres compagnes des chefs de DF, alors qu'elles assistent à

Hélène (Gr. Ἑλένη; Lat. Helena) serait née d'un œuf conçu par Léda, la femme de Tyndare, et Zeus qui pour la séduire se transforma en cygne. Hélène était d'une grande beauté, égale à celle des déesses. Agée d'une douzaine d'années, Thésée l'enleva alors qu'elle dansait devant le temple d'Artémis. Il l'amena en Attique, il l'épousa avant de partir pour les Enfers et de cette union naquit fille nommée Iphigénie selon Stésichore. Hélène fut délivrée par ses frères Castor et Pollux qui la ramenèrent

femme ! (Se reprenant.) Enfin, je n'en sais rien, par courrier n'est-ce pas... Mais elle écrivait avec l'assurance tranquille de ces femmes à qui les hommes ne refusent rien... comment s'appelle-t-elle... déjà... Hélène... ERIK LARSEN. Hélène Metternach. ABEL ZNORKO. C'est cela ! Hélène Metternach ! Vous la connaissez ? ERIK LARSEN. Naturellement ! Nobrovsnik est si petit. ABEL ZNORKO. Comment va-t-elle? Je n'ai plus de nouvelles. Larsen se lève et dit avec un étonnement manifeste : ERIK LARSEN

de Bridget Jones côtoie une autocontrainte diffuse dans l’ensemble de la société, et non plus régulée par des institutions précises et définies, le corps féminin étant perpétuellement sous le regard d’autrui. BIBLIOGRAPHIE Corpus Fileding, Helen, Le journal de Bridget Jones, Paris, J’ai lu, 1996 Ouvrages de référence Bourdieu, Pierre, La domination masculine, Paris, Seuil , 2002 Pierre Bourdieu,  La violence symbolique  in De Manassein Michel, De l’égalité des sexes, Paris, Documents

Art, action publique et territoire De la coopération entre l'Âge de la Tortue et les pouvoirs publics Hélène Réveillard Mémoire de 4e année Séminaire Action Locale Sous la direction de Philippe Leroy 2009 - 2010 Remerciements Je tiens sincèrement à remercier toutes les personnes qui m'ont donné de leur temps et qui ont accepté de me rencontrer pour ce mémoire. Je remercie tout particulièrement P. Leroy pour son accompagnement dans ce travail de recherche. Merci aussi à B

guerre de Troie n’aura pas lieu, Cassandre ! CASSANDRE. — Je te tiens un pari, Andromaque. ANDROMAQUE. — Cet envoyé des Grecs a raison. On va bien le recevoir. On va bien lui envelopper sa petite Hélène, et on la lui rendra. CASSANDRE. — On va le recevoir grossièrement. On ne lui rendra pas Hélène. Et la guerre de Troie aura lieu. ANDROMAQUE. — Oui, si Hector n’était pas là !… Mais il arrive, Cassandre, il arrive ! Tu entends assez ses trompettes… En cette minute, il entre dans la ville, victorieux

I. Une représentation réaliste de la femme aimée A) La vieillesse et l’ombre de la mort Procédés : Le prénom Hélène n'apparaît pas. Il disparaît au profit de « vieille » (v.1 ) « une vieille »(v.11). C'est l'anonymat de la décrépitude : « assise »v.2 à « accroupie »v. 11.Les participes présents traduisent la lenteur de ses activités : « dévidant et filant » v. 2, gérondif«en vous émerveillant » + rythme irrégulier des vers du premier et deuxième quatrain par rapport au premier tercet (coupe à l'hémistiche)

Plan détaillé de l’analyse du sonnet de RONSARD (parties B et C) : Avec Un sonnet pour Hélène, poésie de 1578 écrit par Pierre de RONSARD, grand poète d’amour du XVI e siècle, et chef de la Pléiade. Le narrateur, ici Ronsard, est tombé sous le charme d’une très jolie jeune femme prénommée Hélène. Ronsard ne savant pas comment user de sa personne pour la séduire, il décide donc d’imaginer le futur de la jeune femme et de lui-même. A l’aide de ce texte nous analyserons donc le tableau réaliste

il y aura un résumé de l’œuvre, une étude des thèmes et des figures de styles appuyés par leur champ lexical et un court paragraphe sur la structure du poème. Ronsard rencontre Hélène et tombe subitement amoureux d’elle. Le deuxième thème secondaire est l’intensité qu’il y a dans le regard entre Ronsard et Hélène. L’auteur utilise des mots comme «poignant regard»(V.8) pour démontrer à quel point le lien qui les a unis pendant ces quelques secondes était puissant. Ensuite, il utilise des procédés