Hémorragie

vie normal. 2. Les transfusions sanguines. Une transfusion est nécessaire pour compenser un manque de sang ou de certains de ses composants. La transfusion a deux indications : soit aider le blessé ponctuellement au moment d’une hémorragie, soit soigner le malade à long terme quand son propre sang n’est plus fonctionnel. Chaque poche de sang prélevé sur un donneur est analysée pour éviter tout problème de transfusion. Le sang est composé de : * Plasma : liquide du sang assurant

blessure 4. Arrêter hémorragie 5. Pas nettoyer 6. Poser un pansement stérile ou propre 7. Couvrir la victime 8. Surveiller, l'ABCD si le choque physiologique 9. Garder la victime à jeun Plaie au thorax: installer le client en position demi-assise ou en position couchée sur le côté blessé Plaie avec un corps étranger: 1. laisser le corps étranger en place. ne pas enlever le corps étranger 2. dégager la plaie en coupant les vêtements. 3. Si hémorragie - placer les compresses

compression et la ligature des artères | 2 | L’hématurie | L’émission du sang par les voies urinaire | 3 | L’hémostatique | Un remède propre à arrêter les hémorragies | 4 | L’hémorragie | Elle est dite interne lorsque le sang s’épanche à l’intérieur des tissus | 5 | L’hémophile | Les malades chez lesquels la moindre plaie donne lieu à une hémorragie difficile à arrêter. | 6 | L’hémophilie | C’est une prédisposition | 7 | L’hématose | La transformation du sang veineux en sang artériel | 8 | L’hémoptysie

souvenir) + temps de perte de connaissance. * Signes de focalisations = déficits moteurs ou sensoriels. * Pupille symétrique ? * Omnibulation : qu’est qui s’est passé, qu’est qui s’est passé ? * Céphalée et vomissements. * Hémorragie visible au niveau de l’oreille = fracture du rocher. COURS Les signes de la détresse neurologique Conscient ? Serre les mains ou ouvre les yeux à la demande. Evaluer l’orientation de la victime et recherche d’une PCI (perte de

Organes traumatisés : Peau (plaies aigües) Os et appareil articuloligamentaire (fractures, luxations, entorses) Organes abdominaux et thoraciques (peut entraîner des défaillances organiques en fonction de la gravité) Hématome, Hémorragie extériorisée, Hémorragie interne. Lésions provoquées : Lésion, Contusion, Hématome, Plaie, Brûlure, Lésions ostéo-articulaires, Amputation. IV – Examen clinique Examens complémentaires Examen clinique : Douleur, Impotence fonctionnelles

Prevention Hygieno doet Les risques immédiats Risques Actions de surveillance et d’évaluation HEMATOME  Recherche d’une tuméfaction au niveau du site opératoire,  Recherche d’une douleur localisée,  Vérification de la perméabilité du drain. HEMORRAGIE  Vérification de l’état du pansement,  Evaluation des pertes sanguines : quantité et aspect dans le drainage,  Recherche des signes généraux évocateurs : tachycardie, hypotension, pâleur, sueurs…. DOULEUR  Observation de la patiente :

Surveillance Qualitative Couleurs, odeurs, aspects, dépôts, sang Bandelette urinaire PERTES DIGESTIVES Par voie haute Vomissements, hématémèses Par voie basse Diarrhées, mélénas, stomies Sonde naso-gastrique Selles Sonde rectale Prévention hémorragies extériorisées BILAN ENTREE / SORTIE Les entrées L’eau alimentaire ? 2.5 l Les boissons L’eau endogène ? 300 ml Total 2.8 l Les sorties Pertes insensibles Sueurs, pulmonaires, cutanée ? 800 ml Les fèces ? 100 ml Les urines Obligatoires ? 700

La sensibilité de l’échographie est fonction du contexte clinique. Elle ne doit en aucun cas retarder la prise en charge, ni faire rejeter le diagnostique. Diagnostics différentiels placenta praevia rupture utérine hémorragie de BENKISER hématome décidual marginal hémorragie d’origine cervicale douleurs abdominales d’étiologie différentes Complications Etat de choc Il est longtemps compensé et ne se complète qu’au moment de la délivrance. Le risque est majoré par les troubles de la

N’EST QU’UNE QUESTION DE RESPIRATION (INSUFFLER) si cela ne suffit pas, effectuez la pratique de la réanimation cardio-pulmonaire du bout de deux doigts et insuffler en prenant le nez et la bouche en même temps. LES HEMORRAGIES Ce qu’il faut faire : dans le cas d’une hémorragie externe, comprimez avec la main l’endroit qui saigne, allongez la victime, si l’on est seul avec la victime et que l’on doit donner l’alerte, mettre un pansement compressif. La plaie saigne avec un corps étranger, ne

donner lieu à une anémie :  Une carence en fer.  Une carence en vitamines.  Une maladie chronique ou une maladie de la moelle osseuse.  Une maladie génétique, qui entraîne par exemple une destruction trop rapide des globules rouges.  Une hémorragie, c’est-à-dire un écoulement de sang à l’extérieur des vaisseaux sanguins.  L’alcoolisme.  La consommation de certains médicaments. Par exemple, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et les anticoagulants peuvent causer des saignements