Hennissement

stupéfaite, se penche avec une lanterne à la fenêtre de sa maison pour regarder ce qui se passe dehors. La figure centrale du tableau est une jument horrifiée qui représente le peuple dont le corps est transpercé par une lance. Elle pousse un énorme hennissement et ses yeux sont écarquillés par la douleur. Sur son naseau, nous pouvons remarquer qu’il y a une tête de mort qui représente symboliquement la défaite et l’horreur. En bas, à gauche de l’œuvre, nous apercevons un homme gisant (statue brisée) avec

faire entendre par ma famille. Le lendemain je me promena dans des rues à proximité de chez moi et là que vois-je ? 2e CHAPITRE : J’arrivai à un portail où, au-dessus il y avait écrit « Centre équestre des flots d’argent » . J’entendis des hennissements, ma joie fut incontrôlable ! J’étais si heureuse de savoir que je pourrais peu- être caressé des chevaux et passer un peu de temps avec si on me donnerait l’autorisation. Mais il se fut tard et je dus rentrer chez moi. Sur le chemin du retour je

spécifique de “lieu éloigné des activités humaines”.  La suite du paragraphe est une longue énumération de cris et de noms d’animaux : cailles, cigognes, cavales, perruches, bisons, y vont de leurs “chant”, de leurs “cri[...]”, de leur “hennissement”, de leur “sifflement” et de leur “mugissement”. Ici c’est donc la nature qui occupe l’essentiel de l’espace sonore. Le deuxième paragraphe commence de façon antithétique par rapport à ce qui précède avec l’adjectif “muette”. 

allait mourir jusqu’à ce que les Yahoos fuissent soudainement à cause d’un cheval gris venant vers eux. Le cheval s’intéresse à Gulliver et tourne autour de lui jusqu’à ce qu’un autre cheval le rejoigne. L’auteur observe leur comportement, et leur hennissements l’un à l’autre semblent presque comme une langue. Gulliver entend le mot Yahoo plusieurs fois et le répète à la grande surprise des deux chevaux. Ils apprennent alors le mot à Gulliver Houyhnhnm, qu’il apprend plus tard comme étant le mot signifiant

externe puis on voit l’intérieur de la maison à travers les yeux d’Athos. Manteau de couleur sombre, escabeau, feu mourant, mains blanches, tête appuyées : Milady est décrite comme une personne déjà morte. Sourire sinistre: sourire menaçant Le hennissement du cheval met fin à l’observation et au silence de la scène. Le rythme des actions devient rapide. Spectre de la vengeance: rapidité Se retrouve face à d’Artagnan. P 785 Milady est terrifiée D’artagnan veut la tuer. Athos sait qu’ils ont

description très réalistes de ce que les personne présentent voient et ce qu’ils ressentent. Ainsi, nous percevons une description du drame qui s’écoule sous leurs yeux très impressionnant, les bêtes qui se font emporté, « le beuglement et hennissement des bêtes » ou encore «les vaches et les chevaux luttaient, marchaient, puis perdaient le pieds » il compare même les moutons à des choses déjà morte «Les moutons était charriés comme des feuilles mortes » ce qui montre la brutalité et la force

Paul-Napoléon Roinard J'ai jeté dans le noble feu Que je transporte et que j'adore De vives mains et même feu Ce Passé ces têtes de morts Flamme je fais ce que tu veux Le galop soudain des étoiles N'étant que ce qui deviendra Se mêle au hennissement mâle Des centaures dans leurs haras Et des grand'plaintes végétales Où sont ces têtes que j'avais Où est le Dieu de ma jeunesse L'amour est devenu mauvais Qu'au brasier les flammes renaissent Mon âme au soleil se dévêt Dans la plaine

grimaces (« Les dernières grimaces de moribonds » l.6) Antithèse : « cocasse » (=amusant) et « terrifiant » II-Représentation de l’homme et de son âme a) Déshumanisation Déshumanisation (l’homme est présenté comme un animal/objet) : « poupons », « hennissement », « anguille », « caisse de violon », « dans une niche à chien », « dans des garennes », « caisse à lapins », « gros paniers à faire couver les dindes ». + déshumanisation de la femme : « empaqueter » Il rencontre une none (« elle ») (personnage

plantations de cotonniers, de caféiers, de muscadiers, de girofliers, de poivriers rouges (p.99) « D’immenses étendues de terrain se dessinaient à perte de vue, des jungles où ne manquaient ni les serpents ni les tigres qu’épouvantaient les hennissements du train, et enfin des forêts, fendues par le tracé de la voie, encore hantées d’éléphants, qui, d’un œil pensif, regardaient passer le convoi échevelé » (p.99). Transport traditionnel indien : palkigharis à quatre roues, charrettes traînées par

l’impression de vivre l’œuvre, tout comme Bruce, on se sent transporté dans cette bataille. *Sensation accentuée par l’emploi de mots renvoyant aux sens : > Auditif :« j’entendais la clameur sourde » (l.10) « bruits métalliques » (l.12) hennissements » (l.13) > Olfactif : «je sentais l’odeur acre du sang, celle plus aigre des chevaux » (l.16) > Tactile : « palpable » (l.17) >>> Sensations étonnantes pour un tableau. Accentuent la réalité de la scène pour