Hennissement

| |Le galop soudain des étoiles | |N'étant que ce qui deviendra | |Se mêle au hennissement mâle | |Des centaures dans leurs haras | |Et des grand'plaintes végétales

machine et la tempête est animalisé : « il sembla qu'elle se mît à souffler d'un petit souffle court, ainsi qu'un cheval qui a peur », Emile Zola essaye de faire passer la Lison pour un cheval en comparant le souffle de la locomotive à vapeur en un hennissement de cheval. Puis « elle se cabrait » démontre une nouvelle comparaison avec le cheval. En l'occurrence, se cabrer est l'action de se dresser sur ses membres postérieurs, elle est souvent attribuer aux chevaux. Le récit met en œuvre la lutte désespérée

dans cette fable riche en parallèles avec l'histoire de l'URSS, les animaux ne sont pas les seuls à correspondre : les événements et la situation gouvernementale aussi. Par exemple dans cet extrait, on retrouve le champ lexical de la terreur : « hennissement d'épouvante », « fouet », « terrifiés », frayeur », ce qui retrace bien le modèle avec la peur et les menaces de mort. On retrouve aussi, une esquisse de ce qu'on pourrait interpréter comme un culte de la personnalité lorsque Napoléon arrive au

plans sont étudiés et dosés pour maintenir cette impression d’un milieu hybride où il est difficile de situer clairement ses sentiments. Outre tout ceci, ce long métrage regorge de topoï classiques du film d’épouvante, comme, par exemple, les hennissements de chevaux chaque fois que le nom de « Frau Blücher » est prononcé, le portrait du baron Victor von Frankenstein qui semble sourire de manière machiavélique, les hurlements lupins, l’omniprésence de l’orage et du feu, etc. Et surtout ce topos de

et apparaissait sur le seuil d'où il faisait, avec son regard, le tour de l'honorable société qui prenait le frais sous les tilleuls ou qui vaquait. S'il reconnaissait quelqu'un qui lui plaisait plus particulièrement il l'appelait d'un ou deux hennissements très mesurés, semblables à des roucoulements de colombe. Et, si celui-là, alors, levait les yeux et lui disait un mot gentil ( ce qui était toujours le cas), le cheval s'approchait de lui à pas aimables, très cocasses*, très volontairement cocasses

d’une ampoule d’un plafonnier symbolise l’espoir d’un retour a la paix, cette lumière met en valeur la violence de la guerre. Le cheval Transpercé par une lance, qui se tord de douleur, prêt à s’affaisser, la gueule ouverte, comme lâchant un hennissement perçant. La deuxième lumière du tableau vient de la lampe à pétrole tenue à bout de bras par une femme au visage fantomatique ce qui lui vaut le surnom de « porteuse de lumière ». Métaphore de la colombe, elle viendrait

figures : _ Le Cheval. Je vois un animal puissant, blessé, sans doute à mort, une lance transperce son flanc. Il tord complètement son encolure en arrière, la gueule ouverte sur ses dents et sa langue comme un poignard, je crois entendre un hennissement de douleur. Pour Picasso, il le dit : c’est le peuple, le peuple qu’on assassine. _ La Femme et l’Enfant Je vois une femme dont la tête est elle aussi rejetée en arrière, bouche grande ouverte elle aussi avec une langue pointue, sur ses

aspirations sont présentées comme de véritables clichés n'ayant plus aucune saveur. On peut citer des énumérations de clichés romantiques comme, La communion avec la nature : " du haut d'une montagne ", la référence aux " nids de cigognes ", au hennissement des " mulets ", la vie dans une maison de pêcheur au bord de la mer… L’expression de l'amour passionnel : l'emploi constant du " ils " montrant les amants comme liés, comme ne faisant plus qu'un " les bras enlacés ". L’abolition de toutes les

Zèbre Le zèbre pétulant aux ruades bizarres Me fait l'effet d'un âne ôté vivant d'un gril Quand le fer l'eut marqué d'ineffaçables barres Et qui se souviendrait de ce cuisant péril. Il a des soubresauts d'être fuyant la flamme Et des hennissements étranges de brûlé. Les bons anciens croyaient et de toute leur âme Qu'on ne le domptait pas. Quel beau rêve envolé ! Le zèbre - un oublié de la faune héraldique -, Le zèbre n'est pas plus indomptable que vous Et moi. Sous le harnais il blanchit

possible, et comme je me (demander) ……………….. quel serait pour moi, en pareil cas, le meilleur parti à prendre, nous (verser) ………………… au milieu d’un effroyable craquement. D’un bond, je (être) ………………..sur la route ; l’ombre (être) ………………..pleine de hennissements et de jurons, il (faire) ……………….. froid. Je (parler)………………..déjà d’enfourcher le cheval de mon domestique et de gagner ainsi Strasbourg, perspective qui, en cette saison ne me (sourire) ………………guère, lorsque le cocher s’(approcher)……………….de moi