Henri Bergson Lart

" Bergson, Les Deux sources de la morale et de la religion, chapitre IV, pages 302 et 303, la société naturelle et la guerre. On vous demande d'expliquer un texte, c'est à dire de le déplier, pour faire apparaître clairement son sens: mais le mot "sens" signifie, d'une part le mouvement du texte, de son point de départ vers son point d'arrivée, et aussi la signification des concepts utilisés par l'auteur ou des expressions comportant plusieurs termes. Par exemple dans ce texte de Bergson la nature

L’énergie spirituelle de Henri Bergson Bergson a tout d’abord été frappé de ce que dans les équations mathématiques de la mécanique, le temps ne dure pas, il n’est que le décompte de simultanéités. Ce temps est étrangement une pure abstraction, alors que nous vivons en réalité dans un écoulement perpétuel de temps concret. Nous éprouvons une durée dont la science ne parle pas. La science escamote donc le temps pour rendre le monde prévisible, pour rendre disponible tous les événements

Bergson a marqué l’importance de certains de ses « essais en conférences », en les rassemblant dans deux recueils : L’énergie spirituelle en 1919, La pensée et le mouvant en 1934. Il faut donc tout à la fois replacer ces écrits dans ses recueils (et dans l’ensemble de son œuvre) et les lire pour eux-mêmes. Dans La conscience et la vie (1911), il s’agit d’établir avec précision une analogie et des « recoupements » entre ces deux ordres, qui préservent la singularité de chacun d’eux, mais qui montrent

sont les expressions qui énoncent le manque de temps, sa disparition, une sorte d’exclamation qui montre que le temps est passé. S’il était un cadre vide comme la physique le donne à penser, alors il ne procurerait pas ce sentiment. On comprend que Bergson considère qu’il n’est pas dans sa réalité même, un milieu homogène, comme il est conçu en science (cf. Essai, p.80). Ou encore, il n’est pas comme Kant le soutient dans la Critique de la raison pure (1781, 1787) sur la base d’une conception newtonienne

publié en 1905, est un des plus beau ouvrage de Freud et l’un des plus convaincant. Sans doute bien des études avaient été publiées sur le comique et l’humour, mais elles sont trop souvent pesantes pour ne pas dire sinistre. Le philosophe français Henri Bergson, dans le livre, semble se contentait de l’exemple du monsieur qui glisse et tombe dans la rue. Est-ce si drôle ? et pourtant on ris ! La signification de l’ouvrage de Freud ne se limite pas à l’application de la psychanalyse a un domaine particulier

sujet s'affirme en s'opposant a tout ce qui n'est pas lui. Cependant, ce débat sur la question de savoir si la conscience est nécessairement morale ou non a-t-il réellement un sens, dans la mesure ou il est difficile de définir la conscience. Bergson dans son œuvre souligne cette difficulté dans la mesure où la conscience peut difficilement être séparé de la réalité concrète de notre existence. Il va donc caractériser la conscience plutôt que de la définir dans son intégralité et sa complexité

est le propre d'un être conscient. Disons donc, si vous voulez, que la conscience est un trait d'union entre ce qui a été et ce qui sera, un pont jeté entre le passé et l'avenir. » Qu’est ce que la conscience ? A cette question le philosophe H. Bergson répondait par une boutade : vous pensez bien que je ne vais pas définir une chose aussi concrète, aussi constamment présente à l’expérience de chacun de nous (…) en donnant de la conscience une définition qui serait moins claire qu’elle… Mais s’il

lorsqu'on exprime en riant son soulagement de ne pas être celui qui est raillé parce qu'infantile ou mal adapté, c'est ce qu'explique C.Mauron dans psychocritique du rire (document 3). Idée indirectement rattachable à celle de Bergson cité (Ici, on dit « cité » parce que Bergson n'est pas l'auteur, il est « cité » par l'un des auteurs) par le même auteur qui voyait dans le rire une forme de sanction à l'égard de l'inadaptation…Qui est corrigé d'ailleurs le rieur ou le comique ? selon un comique algérien

réalité objective sur laquelle l’homme n’a pas de prise, et ne peut appréhendé directement en lui-même le temps. Il vit avec comme une personne à laquelle il est lié subjectivement, puisqu’il évolue dans le temps et lui est soumis. Comme le montre Bergson il n’y a rien en commun entre le temps mesurable, milieu homogène dans lequel les choses évolue et le temps vécu. En effet, le temps s’allonge et s’accélère, pèse ou s’oublie et fonction des activités de la vie , et selon les moments. Par exemple

Bergson, La société comme autorité morale Commentaire composé semi-rédigé sur un extrait de La société comme autorité morale, de Bergson dans lequel il est question des devoirs sociaux qui lient l’homme aux autres. Le texte du commentaire « Le souvenir du fruit défendu [1] est ce qu’il y a de plus ancien dans la mémoire de chacun de nous [2], comme dans celle de l’humanité [3]. Nous nous en apercevrions si ce souvenir n’était recouvert par d’autres [4], auxquels nous préférons nous