Henri De Régnier

l’attention de Louis XIII pour le mettre en garde contre les ennemis du royaume. Prenant l’identité de Henri IV, il s’adresse à son fils et dénonce ce coyon Conchine et cette sorcière Galahi et l’engage à se venger des deux favoris. Le Maréchal d’Ancre sera assassiné en 1617 et sa femme exécutée la même année. Charmant exemplaire malgré un dos frotté dans lequel on a relié un portrait gravé de Henri IV. Paul PERNY. Dictionnaire français-latin-chinois de la langue mandarine parlée. Paris, Firmin

jeunesse par l’humaniste Lazare de Baïf, dont il fut le secrétaire. Puis Ronsard vécut à la Cour ; il écrivit notamment pour les rois Henri II (1547-1559 ; roi mort accidentellement lors d’un tournoi), François II (1559-1560 ; roi mort à 16 ans suite à une maladie), Charles IX (1560-1574 ; il offrit à Ronsard les titres de Poète et Aumônier du Roi) et Henri III (1574- 1589). Ronsard fut également protégé par Charles de Guise, dont il a fait la connaissance au collège, et Odet de Coligny, jusqu’à

philosophie et doit redoubler, préférant refaire son année au lycée public de Bordeaux9. Dans cet établissement il a notamment pour professeur, Marcel Drouin, beau-frère d'André Gide, qui lui fait découvrir les textes de Paul Claudel, Francis Jammes, Henri de Régnier, Arthur Rimbaud, Charles Baudelaire,Colette et Gide (notamment L'Immoraliste et Les Nourritures terrestres qui le marqueront), tous proscrits dans sa famille et chez les pères, finissant ainsi de constituer son corpus littéraire personnel10.

le symbolisme qui ont en commun l'éclatement de la forme poétique avec l'utilisation du vers libre et le refus du prosaïsme au bénéfice de la suggestion avec un goût pour le raffinement et l'irrationnel. On peut citer les noms de Jean Moréas, Henri de Régnier, Albert Samain,Georges Rodenbach. La fantaisie de Charles Cros et Jules Laforgue, n'est parfois pas si loin des chansons d'Aristide Bruant, lui-même lointain successeur de Béranger[réf. nécessaire]. -------------------------------------------------

d’un quai. Des portières s’ouvrent. Des porteurs courent sur le trottoir sous la lumière crue des globes électriques. La semelle au marchepied, je descends en face d’une pancarte où sont inscrites les lettres de ce nom magique : Venezia ! Henri de RÉGNIER, (1864-1936), La vie vénitienne, Mercure de France. L’Escale C’est d’abord un bouton de rade sur la mer Et qui s’ouvre en pétales, Rare fleur au jardin de l’horizon désert, Escale ! Je suis las de n’avoir pour compagnon de

Françoise Raynal - Poste 560 76 - francoise.raynal@education.gouv.fr Conseillers scientifiques et d’établissements Professeur Claude Meidinger : Coordonnateur des conseillers scientifiques - Poste 560 51 - claude.meidinger@education.gouv.fr Professeur Henri Meloni : Coordonnateur des conseillers d'établissements - Poste 565 43 - henri.meloni@education.gouv.fr > apportent l’expérience et l’expertise nécessaires afin de développer la dimension stratégique de la relation entre l’État et les universités

Fantinelli, puis Palumbo Fossati Le Palais Corner della Regina Le Palais Mocenigo à San Stae Le Palais Renier-Michiel Le Palais Dario, sur le Grand Canal, près de La Salute, abrita au début du XXe siècle la villégiature des écrivains français Henri de Regnier et Paul Bourget. Ce palais a une réputation inquiétante car nombre de ses propriétaires successifs y sont morts de causes non naturelles (Rawdon Brown ou Raoul Giardini entre autres). Le Palais Contarini del Bovolo Le Palais du couturier

MURRAY, à paraître (c. 6 : « Privileged vassals : the Peers of Flanders ») (nous remercions vivement l’auteur de nous avoir communiqué son texte). DU DONJON AU TRIBUNAL 15 dans la seconde moitié du XIe siècle. Les pares Flandrie (ou pares regni, pares terre) sont mentionnés pour la première fois dans le journal du chanoine Galbert de Bruges, qui évoque leurs faits et gestes durant les évènements de 1127-112817, mais E. Warlop estime avec de bons arguments qu’ils existaient déjà soixante plus

plus grands poètes récitent et défendent leurs œuvres. On lit du Magre. C’est en compagnie de Paul Fort, qu’il rencontre « l’éblouissant Apollinaire » dans la cave d’un café de la rue Saint-André des Arts. Maurice devient alors secrétaire du poète Henri Bataille avec lequel il entretient une profonde amitié. Mais voici qu’en 1906 apparaît un premier tournant dans sa vie avec la publication d’un nouveau recueil de poèmes : les Lèvres et le Secret. Maurice Magre vient de jeter son manteau d’apôtre

le symbolisme qui ont en commun l’éclatement de la forme poétique avec l’utilisation du vers libre et le refus du prosaïsme au bénéfice de la suggestion avec un goût pour le raffinement et l’irrationnel. On peut citer les noms de Jean Moréas, Henri de Régnier, Albert Samain, Georges Rodenbach… Notons aussi pour leur fantaisie Charles Cros et Jules Laforgue, qui ne sont parfois pas si loin des chansons d’Aristide Bruant, lui-même lointain successeur de Béranger. Curiosité : Un nombre important de