Henri De Régnier

des générations d'écrivains, critiques, historiens ne se priveront pas d'aller chercher dans les lettres de Balzac ou les anecdotes de Tallemant de quoi justifier la vulgate mise en place par Roederer. 31 Parmi les rares exceptions, Philippe Régnier, « Victor Cousin et l'histoire littéraire par les fem(...) 17Cette œuvre de résurrection par l'histoire des salons du xviie, ou d'un certain xviie siècle à travers les salons, fut poursuivie par Victor Cousin qui, d'ailleurs, ne cachait pas sa dette

contractuel à un ordre légal qui aboutit à l’avènement d’un Etat de droit promu par les révolutionnaires. Première partie : L’Etat médiéval du 11e au 14e siècle CHAPITE 1 : Seigneuries et royautés L’année 987 est l’année du changement dynastique = MUTATIO REGNI. Hugues Capet est élu à la royauté des francs et ouvre la dynastie des capétiens. A partir de l’an 1000 il devient radicalement différents des siècles passés. Mais si la situation est différente la royauté, elle, est extrêmement stable et se vérifie

Abadie, Emile Blémont, Viviane de Brocélyande, Judith Cladel, Sophus Claussen, Fernand Clerget, François Coppée, Jules Claretie, Henri Degron, Léon Dierx, Jacques des Gâchons, Stefan George, A.-F. Hérold, Gustave Kahn, Camille Lemonnier, Pierre Louys, S. P. Massoni, Louis Ménard, Dauphin Meunier, Nadar, Edmond Picard, Edmond Pilon, Y. Rambosson, Hugues Rebell, Henri de Régnier, Jean Richepin, Léon Riotor, Edouard Rod, Georges Rodenbach, Albert Saint-Paul, Aurélien Scholl, E. Signoret, Armand Silvestre

Société et littérature au 17ème siècle France "ruelles de Les" et "précieuses de Les" La cour de l'IV's de Henri a été considérée par des contemporains en tant que grossiers, manquer dans la sophistication d'Italianate de la cour du Valois rois ; il a également manqué d'une reine, ce qui avait traditionnellement été le point de réunion pour des auteurs et des poèts. Le goût littéraire de Henri a semblé en grande partie limité au roman chevaleresque Amadis de la Gaulle. La culture littéraire a été ainsi

qu'il leur appartenait de déchiffrer. Dès 1880, les mardis du salon littéraire de Stéphane Mallarmé consacrèrent ce climat spirituel, en présidant à l'initiation des nouveaux adeptes de la beauté. Les poètes Laurent Tailhade, Gustave Kahn, Henri de Régnier, Vielé-Griffin, les belges Verhaeren et Maeterlinck, mais aussi le jeune André Gide furent d'ardents symbolistes. Bien que la poésie et le roman soient leurs modes d'expression privilégiés, les symbolistes s'emparèrent progressivement de la

: « (…) ladite cour a déclaré et déclare ledit Ravaillac dument atteint et convaincu du crime de lèse-majesté divine et humaine, au premier chef, pour le très méchant, très abominable et très détestable parricide, commis en la personne du feu roi Henri IV de très bonne et très louable mémoire. « Pour réparation duquel l’a condamné et condamne faire amende honorable devant la principale porte de l’Eglise de Paris (…), de là conduit à la place de Grève et sur un échafaud qui y sera dressé, tenaillé

sans écho dans la critique officielle du XIXe siècle. Pour Sainte-Beuve, Malherbe reste un guide fidèle. Sainte-Beuve examine les œuvres moins pour ce qu'elles expriment que pour la façon dont elles l'expriment. Dans son Tableau historique, Mathurin Régnier, Théophile de Viau, Saint-Amant sont appelés « la queue de Ronsard », « les mauvais poètes du temps de Richelieu », et dans son article sur Les Grotesques, on lit ceci : « Je suis de ceux qui ont toujours reculé devant cette poésie Louis XIII et je

profond, pathétique et haut en couleurs que nous avons aujourd'hui parfois du mal à retrouver derrière les classements fades et normalisateurs de l'histoire littéraire. Rappelons cette solennelle et flatteuse intronisation : « Nous avons dit que Régnier n'était point un Juvénal ; il y en eut pourtant un au XVIe siècle, âpre, austère, inexorable, hérissé d'hyperboles, étincelant de beautés, rachetant une rudesse grossière par une sublime énergie, esprit vigoureux, admirable caractère, grand citoyen :

la critique moderne qui a employé le mot « baroque » pour caractériser la diversité et la richesse d’une poésie qui se cherche et s’invente dans les années 1600-1630. Quatre poètes illustrent bien tout ce que peut recouvrir cette notion : Mathurin Régnier (1573-1613), qui s’est distingué dans le genre satirique, Théophile de Viau (1590-1626), qui a poursuivi, entre autres, la tradition de l’ode, Malherbe, le plus âgé de tous, mais aussi le plus « moderne », qui, sans ignorer les tentations du baroque

http://www.alalettre.com/stendhal.php OUVRAGES: Flaubert. Madame Bovary. 1972, Hachette. Tieghem, Philippe Van. Le romantisme français. 1958, Presses universitaires de France. Bony, Jacques. Lire le romantisme. 1992, Dunod. Peyre, Henri. Qu´est-ce que le Romantisme? 1971, Presses universitaires de France. Clay, Jean. Le romantisme. 1980, Hachette Réalités. Stendhal. Le rouge et le noir chronique du XIX siècle. 1958, Garnier Frères. Verhaeren, Emile. Hugo et le Romantisme