Henri Giscard d'Estaing

du Kippour, en octobre 1973, en se plaçant contre Israël et donc contre les Etats Unis, par la tentative de mise en place d’une coopération avec les pays arabes. Il faut attendre 1974, avec la mort de Pompidou et l’arrivée au pouvoir de Valérie Giscard d’Esteing, pour que la politique extérieure française connaisse un véritable virage. En effet, VGE est le premier président de la Vè République, non gaulliste et favorable à l’ Europe. Dès lors, une large politique européenne est mise en place sous

tout le temps en lien avec l’histoire de celui-ci. I. Le RPR 1. Création du RPR Le RPR est né en 1976 sous l’impulsion de Jacques Chirac alors premier ministre sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing. A cette époque, le président et Jacques Chirac ne s’entendaient absolument car Giscard ne laissait aucune place à son premier ministre et court-circuitait même ses interactions avec les ministres de son gouvernement. C’est alors qu’en août 1976, après des années de conflit avec le président

national (parti politique de l'extrême droite) par Jean-Marie Lepen - 22 décembre 1972 : Mise en place de l'égalité de rémunération hommes-femmes pour un même travail - 2 avril 1974 : Mort de George Pompidou - 19 mai 1974 : Election de Valery Giscard d'Estaing face à François Mitterand - 5 juillet 1974 : Abaissement de l'âge de la majorité civile de 21 ans à 18 ans - 17 janvier 1975 : Adoption de la loi Veil concernant la légalisation de l'IVG - 7 juin 1979 : Premières élections au parlement européen

l'Europe est en effet une Union constituée de pays judéo-chrétiens, l'ouverture à un pays musulman remet en cause cela. De plus le poids démographique et les conséquences politiques de cette intégration inquiètent. Alors même que Valérie Giscard d'Estaing est connu pour son européanisme à toute épreuve, celui-ci a déclaré le 9 novembre 2003 que « la Turquie n'était pas en Europe », cette position peut surprendre eu égard à l'acceptation de sa candidature par le conseil européen d'Helsinki le 12

sceaux dans le gouvernement de Jacques Chaban-Delmas, elle est ainsi la première femme à accéder au poste de secrétaire général du Conseil supérieur de la magistrature. Centriste, elle est nommée, de 1974 à 1977 ministres de la santé par Valery Giscard d’Estaing, en 1975 elle  fait voter en dépit de l’hostilité d’une partie de l’opinion la loi autorisant l’interruption volontaire de grossesse dite « loi Veil. » • Du 29 Mars 1977 au 3 Avril 1978, elle est ministre de la santé et de la sécurité social

l'État et un chef du gouvernement (issu de la majorité parlementaire) politiquement antagonistes. Le terme de cohabitation est relativement nouveau dans l'histoire constitutionnelle française puisqu'en effet il est né en 1986. C'est Valéry Giscard d'Estaing qui un des premiers envisage la cohabitation , le concept est repris par Édouard Balladur qui lui donne un nom : cohabitation. Le terme est né en 1986 lorsque François Mitterrand (issu du parti socialiste) désigna Jacques Chirac (président

estime qu'il n'a plus besoin des Israéliens pour faire progresser la recherche. «Mais surtout, il veut assurer le caractère français de la bombe, recentrer l'outil de dissuasion sur le territoire national», Après lui, Georges Pompidou, Valéry Giscard d'Estaing puis Jacques Chirac mèneront une politique nucléaire beaucoup plus proliférante. Paris ira même jusqu'à fournir un réacteur nucléaire, celui d'Osirak, à l'Irak de Saddam Hussein. «Mais sous de Gaulle, la politique nucléaire de la France est vraiment

Conseil constitutionnel quand ils n'occupent pas de fonction incompatible avec le mandat de membre du Conseil, cas dans lequel ils ne peuvent pas siéger.  Vincent Auriol de 1959 à mai 1960 // René Coty jusqu’à son décès en 1962 // Valéry Giscard d’Estaing de juin 2004 à nos jours de façon intermittente // Jacques Chirac depuis mai 2007. Le président du conseil constitutionnel • Nommé par le Président de la République parmi les 9 membres, pour 9 ans (non renouvelable). Actuellement c’est Jean-Louis

l'article 49-3 renforce encore les possibilités d'arbitrage du gouvernement, qui engage sa responsabilité sur le vote d'un texte devant l'Assemblée Nationale : il a connu un retour en force notamment sous Raymond Barre (premier ministre de Valéry Giscard d'Estaing entre 1976 et 1981), ou encore sous Michel Rocard (premier ministre de Mitterrand entre 1988 et 1991) qui l'utilisa treize fois en trois ans. Concernant la discussion du budget, le Parlement est là aussi bâillonné, doublement bâillonné. En

collectivités locales aux évolutions de la société. En 1947, Michel Debré, ancien premier ministre et rédacteur de la Constitution de 1958, réclame la diminution des départements dans son pamphlet « La mort de l’Etat Républicain ». En 1975, c’est Valéry Giscard d’Estain, président de la République qui réclame leurs suppression en indiquant qu’un « jour il faudrait choisir entre la région et le département car il ne saurait y avoir entre l’Etat et la commune, deux collectivités intermédiaires ». Peu après