Henri Ier de Guise

copiste rend grâce à Dieu. A l'intérieur du texte, on inscrit des signes en rouge ou en bleu qui indiquent le début d'un paragraphe. La reliure comprenait 3 opérations : couture des pages entre elles, réunissaient ces cahiers entre 2 plaques de bois en guise de couvertures puis on les recouvrait. Ils existent plusieurs reliures : orfèvrerie pour les livres d'églises, des étoffes pour les livres précieux ou de cuir. Les fermoirs visent à fermer le livre : rubans de tissus ou métalliques avec éventuellement

pas une mais deux origines à la galanterie. La première remonte au XIIe siècle, du temps où la courtoisie s’est développée dans les cours telle que celles d’Aliénor d’Aquitaine, épouse successive du roi de France Louis VII, puis du roi d’Angleterre Henri II. Où encore, celles de Marie de Champagne, petite fille d’Aliénor d’Aquitaine et de Louis VII. À cette époque poète médiévaux, troubadours et trouvères qui écrivent pour des femmes de haut rang, vont apporter dans leurs chants un nouvel art d’aimer

grande nation gauloise, les Volques, prend ses quartiers dans la région. - Vers - 300 : l'une de leurs tribus, les Tectosages, s'établit à Toulouse. Bonnes terres, bonne position : ils s'enrichissent. - Ier siècle av. J.-C. : la romanisation fait mouche, important avec elle du vin italien. - Ier siècle apr. J.-C. : le vin n'est plus italien, mais de Gaillac et de Millau. Toutes les villes gauloises se sont romanisées : Cahors, Auch, Eauze, Albi... - IIIe siècle : Toulouse occupe la 3e place en Gaule

un pouvoir permanent qui ne connaît aucune vacance et qui sera susceptible de favoriser la grandeur et la permanence de l’Etat. Cela reste une théorie car dans la pratique, la monarchie française connaît de nombreux freins. Le roi ne peut agir à sa guise, s’il prend seul ses décisions, elles lui sont le plus souvent dictées par des considérations étrangères à sa volonté. Enfin, il faut savoir que la montée en puissance du pouvoir royal ne s’est pas faite au détriment des libertés mais au contraire

pape Léon X), Jules de Médicis (futur pape Clément VII), Catherine de Médicis (dauphine et duchesse de Bretagne de 1536 à 1547, reine de France de 1547 à 1559, mère des rois François II, Charles IX, Henri III, des reines Élisabeth - reine d'Espagne - et Marguerite, dite « la reine Margot »), Laurent Ier dit le Magnifique, Laurent II (duc d’Urbino), Julien de Médicis, etc[12]. I.2. Les Condottieres[13] A l'aube de la Renaissance, l'Italie est fractionnée en une multitude d'entités politiques

Francie au IXe siècle. La séparation des pouvoirs apparaît durant la période de la Révolution. On distingue aussi à cette période une séparation entre la justice et l'administration. PARTIE I: Les origines des institutions publiques françaises (Ier au Xe siècle) Le Royaume de France est chrétien. Il est l'héritier de la tradition germanique. CHAPITRE 1: LA GAULE DANS L'EMPIRE ROMAIN (3E SIECLE AVANT J.-C. - 5E SIECLE APRES J.-C.) Durant cette période, deux phénomènes vont marquer la

plutôt grivoises, aux détails parfois grossiers, voire scatologiques. La nouvelle au Moyen Âge va peu à peu remplacer les fabliaux, dont le plus célèbre est le Roman de Renart raconté oralement à l’origine. Marguerite de Navarre, sœur de Francois Ier, s’inspire d’ailleurs de Boccace pour écrire son Heptaméron, recueil qui devait contenir soixante-dix nouvelles à visée morale et qui connut un grand succès en 1559. Là encore, il s’agit de cinq hommes et cinq femmes, retenus dans un monastère pour

ressemblant beaucoup, l’empereur lui demanda si sa mère avait jamais travaillé au Palais. « Non. Mais mon père, oui » obtint-il en guise de réponse. Il eut la sagesse de le prendre avec le sourire. Une exquise torture Les tyrans, eux, ne voyaient pas d’un bon œil les plaisanteries faites à leurs dépens, même s’ils aimaient rire de leurs sujets. Sylla, le dictateur sanguinaire du Ier siècle avant J.-C., était ainsi un philogelos (« amoureux du rire ») bien connu ; et les blagues de potache faisaient partie

toute fécondité et de tout ordre. Pas d'autorité sans transcendance, pas d'ordre social sans morale, pas d'activité efficace sans l'aide de Dieu, bientôt, il n'y aura pas de bonheur sans le soleil. Plusieurs auteurs dont l'historien de la littérature Henri Busson ont mis en doute l'affirmation de Lucien Febvre (La religion de Rabelais) selon qui l'athéisme est impossible au début du XVIe siècle. Mais nous verrons qu'il est particulièrement difficile de sonder les reins et les cœurs. Il est évident que

INTRODUCTIONHISTOIRE DU DROIT ET DES INSTITUTIONSL’histoire du droit correspond à l’étude du droit et des institutionsintérêts : · Apprendre que le droit doit être contextualiser, parce qu’il est toujours l’expression des principes directeurs d’une époque et d’une culture. · Comprendre le droit public actuel, le droit français est l’héritier des expériences passées· Prendre de la hauteur sur le droit et avoir un esprit critiquePortalis : « jamais vous ne saurez le code civil si vous n’apprenez que