Hépatite virale

de risque) - SIDA maladie : le virus va détruire les défenses immunitaires de l’organisme, au bout d’un certain temps, plusieurs années, l’organisme qui ne peut plus se défendre va développer les maladies opportunistes, c’est le SIDA - CHARGE VIRALE : quantité de virus dans le sang, se mesure en copies / ml - LYMPHOCYTES CD4 : : variété de cellules sanguines qui possèdent à leur surface des récepteurs CD4 ( cible du virus HIV) sur lesquels le virus vient se fixer pour pénétrer dans cette cellule

inflammatoires, chroniques et fibrosantes) sont encore mal connus.   La transmission d’infections et de tumeurs pose également un problème central en matière de transplantation à partir d’un donneur en état de mort encéphalique et les infections virales sont fréquentes et particulièrement redoutables. Dans le cas de greffes d’organes, les risques infectieux sont mineurs et portent sur deux grandes classes de virus : les virus Herpès et les virus Papillome. Parmi les virus Herpès, le cytomégalovirus

lésions granulomateuses, on a des pseudo-tumeurs inflammatoires. qd elle est associée à une IA prolongée non granulomateuse, ele aboutit à une fibrose mutilante (ulcère gastique, cirrhose…). sinon c’est un infiltrat lymphocytaire et plasmocytaire (hepatite chronique). →epulis : tuméfaction gingivale localisée, de taille variable. aspect blanchatre qd elle est fibreuse. elle correspond à une reaction hyperplasique de nature inflammatoire. ●INFLAMMATION TUBERCULEUSE : -La reaction

ostéomyélites, appendicite… ○ Certaines infections ne s'accompagnent pas de polynucléose neutrophile : ce signe négatif a une bonne valeur d'orientation au cours de la fièvre typhoïde, de la brucellose et de la tuberculose. Les infections virales n'entraînent pas en général de polynucléose neutrophile en dehors d'une surinfection. IV.4 LES MYÉLÉMIES La myélémie est le passage dans le sang de formes immatures de la lignée granuleuse de la moelle : métamyélocytes, myélocytes et moins souvent

semaines qui suivent le piercing doivent être accompagnées de soins très rigoureux : ne pas le toucher avec des mains sales, le laver à l’eau et au savon. Il faut éviter le piercing de la langue en cas de caries non soignées. L’infection virale : les hépatites B, C et le HIV se transmettent notamment par voie sanguine. La transmission d’un virus peut arriver lorsqu’un instrument piquant ou tranchant n’a pas été convenablement stérilisé entre deux clients. Les aiguilles du pierceur doivent donc être

des enzymes présentes dans les cellules d'un grand nombre de tissus. Leur augmentation indique la présence de lésions notamment au niveau du foie, du coeur, des reins ou des muscles. Leur concentration s'élève par exemple lors d'une hépatite, que celle-ci soit virale, médicamenteuse ou toxique (alcool), lors de cirrhose ou après un infarctus du myocarde. On distingue deux types de transaminases : ASAT = Aspartate Amino Transférase = TGO ALAT = Alanine Amino Transférase = TGP Valeurs normales

parties des exogènes du cancers. Certains peuvent être provoqués par un virus comme le cancer du col de l'utérus provoqué par le HPV. Relation sexuelle : Les infections à papillomavirus (maladie virale sexuellement transmissible) favorisent l'apparition de cancers anogénitaux. Les virus des hépatites B et C exposent au risque du cancer du foie. L'infection par le virus d'immunodéficience humaine (V.I.H) favorise l'apparition de cancers, en particulier, certaines formes de sarcomes cutanés, cancer

en neutralisant, grâce aux anticorps, les agresseurs solubles dans le milieu extracellulaire, et en détruisant les cellules infectées par un virus ou les cellules étrangères à l'organisme, grâce aux lymphocytes T cytotoxiques. Suite à une agression virale ou bactérienne, la guérison survient spontanément en quelques jours et l'organisme bénéficie d'une immunité acquise à la suite de ce premier contact. Il garde ensuite la « mémoire immunitaire » de cette première rencontre. Ces propriétés sont utilisées

enregistre 30% de refus. Sur ces 30% de refus, il y en a 60% qui sont dus aux familles par ignorance de la volonté du défunt. Si la réponse est positive le laboratoire analyse le sang du donneur pour rechercher des maladies transmissibles (Sida,hépatites…), rechercher également des maladies contre-indiquant le don d’organe comme le cancer évolutif … Les organes du donneur sont alors prélevés, puis transférés dans les hopitaux où les receveurs attendent d’être greffés. La greffe en chiffre

contaminée, elle peut, à son tour, transmettre le virus. Au tout début de l’infection (la primo-infection) les risques de transmission du virus à d’autres personnes sont même particulièrement importants. Associé à son VIH, Mme J. a également une Hépatite C, qui a été traité jusqu'en 2001, mais stoppé pour syndrôme dépressif et cirrhose. Ce sont les principaux effets secondaires du traitement Interferon / Ribavirine qu'elle avait. Le mode de transmission du virus de l'hépatite C (VHC) est principalement