Heros Bourreau

Titre : Huis Clos Auteur : Jean Paul Sartre Date : 1943 Genre : Absurde Personnages : -Garcin : journaliste. Il a été fusillé en raison de sa fidélité au pacifisme. Il croit qu'il est un héros. Il se montre pourtant perfide -Inès : une ancienne employée des Postes, lesbienne . Elle a fait voler en éclat le couple de sa meilleure amie. Elle est morte asphyxiée par le gaz. -Estelle : femme d'un vieil homme riche. Elle a été la maîtresse d'un jeune homme et a commis le meurtre d'un

ce soit une faute ? »           De même Garcin se fait passer pour un héros sans reproche qui a été fusillé, selon lui, pour avoir vécu « selon ses principes ». Il cherche, lui aussi, à se déculpabiliser par des questions oratoires « Où est la faute ? »          Inès ne dit toujours rien quant à la raison pour laquelle elle se trouve en enfer.          Suite à ces faux récits, Inès use d’ironie en les appelant « Un Héros » et « la petite sainte ».   Ainsi les trois personnages cherchent-ils

sa mort.- Opposition singulier (Clindor) et pluriel (Afraste + bourreaux + spectateurs) = Clindor pense que c’est Adraste qui va guider la hache du bourreau (vers 1276).- Métaphore, Chiasme et périphrase (vers 1274 et 1276)Les effets scéniques dans la description: La construction est mise en scène par le présent, c’est une vision, les mots «bourreau, lieu, foule», l’anaphore de «je» («je vois, je frémis»), il est très perturbé («mon esprit se trouble, …s’égare»). Le procédé d’hypotypose, permet

quoi cet extrait fait de Rastignac un apprenti ? • Quelle vision du monde nous est proposée dans l’extrait ? Le Père Goriot est un roman d’apprentissage (ou formation ou d’éducation) c’est-à-dire ayant pour thème le cheminement évolutif d’un jeun héros = idéal de l’homme accompli. Il s’agit d’une tirade de Madame de Bauséant (B) qui livre la critique du monde dans laquelle elle vit. Monde des aristocrates très fermé dont il faut faire partie pour être craint et puissant. Rastignac (R) jeune homme

artiste engagé et une grande personnalité politique du fait de ses prises de partie et de sa façon de penser. Il est considéré comme le chef de file du mouvement romantique français. Victor Hugo eut l’idée de ce livre après être passé devant un bourreau graissant sa guillotine pour une exécution prévue le soir. En 1829, la France est en période dite de « la restauration », une monarchie gouvernée lors de la publication par Charles X.  « Le Dernier Jour d'un Condamné » est un roman à thèse, ce qui

et également celle du bourreau Justinien Pibrac, le tout enchevêtré dans une narration ne donnant pas l’impression de savoir où elle conduit. Même le dénouement m’a laissé sur ma (modeste) faim. Deuxièmement, le personnage de Charlemagne, protagoniste principal du roman, m’a été fort antipathique durant tout le récit. Pour commencer, il possède un mauvais caractère qui ne l’a pas rendu sympathique à mes yeux. Ensuite, sa propension à la vengeance en fait un anti-héros amoral fort peu charismatique

le 17 Septembre, il publie un appel à la levée en masse et à la resistance. Thème2 : Victor Hugo est fortement impressionné dés son enfance par la vision d'un condamné conduit à l'échafaud, puis à son adolescence, par les préparatifs du bourreau dressant la guillotine. Arguments : Le premier tort est à la nature le second à l'éducation: je cite « La nature a mal ébauché, l'éducation a mal retouché l'ébauche. » L'injustice : « les vrais coupables sont la misère et l'ignorance » L'inefficacité

regrette pas. GARCIN Je vous demande pardon : pour qui me prenezvous? INÈS Vous ? Vous êtes le bourreau. GARCIN, sursaute et puis se met à rire. C'est une méprise tout à fait amusante. Le 24 Huis clos bourreau, vraiment? Vous êtes entrée, vous m'avez regardé et vous avez pensé : c'est le bourreau. Quelle extravagance! Le garçon est ridicule, il aurait dû nous présenter l'un à l'autre. Le bourreau! Je suis Joseph Garcin, publiciste et homme de lettres. La vérité, c'est que nous sommes logés à

auprès du peuple, qui sont spectateurs de ces supplices publics. La violence populaire contre les inculpés se retourne contre les bourreaux et, au-delà, contre le pouvoir arbitraire du monarque. Des feuillets circulent dans la foule qui érigent en héros certains suppliciés considérés comme injustement condamnés. Tout au long du siècle des Lumières, philosophes, juristes et parlementaires, relayés par les cahiers de doléances à la veille de la Révolution, condamnent les supplices devenus intolérables

une galerie, attendaient les scènes que leur préparaient les coups du sort, les figures des acteurs, le mouvement de l’argent et celui des râteaux. Ces désœuvrés étaient là, silencieux, immobiles, attentifs comme l’est le peuple à la Grève quand le bourreau tranche une tête. Un grand homme sec, en habit râpé, tenait un registre d’une main, et de l’autre une épingle pour marquer les passes de la Rouge ou de la Noire. C’était un de ces Tantales modernes qui vivent en marge de toutes les jouissances de