Hippeis

et interdit l'esclavage pour dettes afin que les habitants de l'Attique restent des hommes libres. Il créa à côté de l'Aréopage un conseil de 400 membres, future Boulé, et classa les citoyens en quatre classes selon la fortune (pentacosiomedimnes, hippeïs, zeugytes, thètes dans l'ordre de richesse décroissant). Les riches se voyaient réservés les plus hautes charges. En 507, Clisthène est à l'origine d'un redécoupage du territoire et de la création de dix tribus pour ce qui est du découpage du peuple

quatre classes censitaires. D'après le nombre de mesures de blé, de vin et d'huile que le citoyen possède, il appartient à l'une des quatre « tribus » suivantes : les pentacosiomédimnes (qui possèdent plus de 500 médimnes de céréales) ; les hippeis (plus de 300 médimnes) ; les zeugites (plus de 200 médimnes) ; les thètes (moins de 200 médimnes). Les plus hautes magistratures ne sont accessibles qu'aux plus hautes classes ; les thètes n'eurent accès qu'à l'Ecclésia et aux tribunaux

demande l’opinion public pour que le peuple prenne parti dans leurs causes. C’est ainsi que les familles dirigeantes ne sont plus au service des Dieux, mais au service du peuple. C’est la prémisse de l’Etat social. Ces deux familles sont nommées « hippeis », ce sont des familles militaires et aristocratiques. Vernant les définies ainsi : « Le cavalier associe la valeur au combat, l’éclat de la naissance, la richesse foncière et la participation à la vie politique naissante ». « Dans le monde aristocratique

quatre classes censitaires. D'après le nombre de mesures de blé, de vin et d'huile que le citoyen possède, il appartient à l'une des quatre « tribus » suivantes :  les pentacosiomédimnes (qui possèdent plus de 500 médimnes de céréales) ;  les hippeis (plus de 300 médimnes) ;  les zeugites (plus de 200 médimnes) ;  les thètes (moins de 200 médimnes). Les plus hautes magistratures ne sont accessibles qu'aux plus hautes classes ; les thètes n'eurent accès qu'à l'Ecclésia et aux tribunaux. L'accès

Agésilas roi de Sparte. Xénophon est un historien Grec, originaire d’Athènes qui aurait vécu de -428 A.v J.C à -354 A.v J.C. Il est issus d'une famille aristocratique et à deux fils Gryllos et Diodore tout deux membres de la classe des chevalier (Hippeis) et dont on dit qu'ils auraient suivi l'Agôgé Spartiate. Xénophon est un disciple de Socrate. Il fait partie du cercle des jeunes aristocrates qui entourent Socrate, qu'il a rencontré étant enfant. Il se retrouve dans une position délicate en 404

séparation des sexes. C’est plutôt une forme d’initiation : l’éraste éduque son éromène, exerce une tutelle sur lui. Le cycle secondaire est le plus sélectif. Basé sur la compétition, il permet de distinguer les meilleurs qui deviennent d’abord des hippeis, des cavaliers (300 à Sparte) chargés de l’espionnage et de la garde du roi. Seulement les meilleurs d’entre eux accomplissent ensuite la cryptie. Ils passent alors un an hors de la cité et restent cachés. Ils vivent dans le plus complet dénuement

tire quatre classes censitaires. D'après le nombre de mesures de blé, de vin et d'huile que le citoyen possède, il appartient à l'une des quatre « tribus » suivantes : les pentacosiomédimnes (qui possèdent plus de 500 médimnes de céréales) ; les hippeis (plus de 300 médimnes) ; les zeugites (plus de 200 médimnes) ; les thètes (moins de 200 médimnes). Les plus hautes magistratures ne sont accessibles qu'aux plus hautes classes ; les thètes n'eurent accès qu'à l'Ecclésia et aux tribunaux. L'accès

quatre classes censitaires. D'après le nombre de mesures de blé, de vin et d'huile que le citoyen possède, le citoyen appartient à l'une des quatre « tribus » suivantes : les pentacosiomédimnes (qui possèdent plus de 500 médimnes de céréales), les hippeis (plus de 300 médimnes), les zeugites (plus de 200 médimnes) et les Thètes (moins de 200 médimnes). Les plus hautes magistratures ne sont accessibles qu'aux plus hautes classes, les Thètes n'eurent accès qu'à l'Ecclésia et aux tribunaux. L'accès aux

charges militaires existe en Grèce dès la période archaïque. À Athènes, depuis l’époque de Solon, existent quatre classes censitaires : pentacosiomédimnes, hippeis, zeugites et thètes. L’achat et l’entretien de chevaux étant coûteux, les cavaliers sont des citoyens riches appartenant soit à la classe des pentacosiomédimnes soit à celle des hippeis. Les hoplites (doc. 2, p. 37), citoyens affectés à l’infanterie lourde, peuvent appartenir aux deux premières classes qui n’auraient pas choisi la cavalerie

des neoi (les nouveaux), ces neoi formaient une sorte de bataillon parmi lesquelles les magistrats (hippagrètes) choisissaient les meilleurs 300 d'entre eux, qui formaient le corps des hippeis. Une autre sélection est faite au sein des 300 hippeis : entre 10 et 100 étaient choisit pour former le cryptoi. Choisi selon leur degré d'intelligence, capacité de ruse, de leur aptitude physique, ces hommes étaient utilisés