Histoire Du Pantheon Rome

Vocabulaire Histoire Antique Acropole: colline sacrée au centre de la ville, en Grèce Administrateur : homme chargé d'appliquer les décisions du gouvernement Administration : ensemble des personnes qui participent au gouvernement d'un pays Aéde : poète grec qui récite en chantant Affranchi : esclave à qui on a rendu sa liberté Agogée : système éducatif obligatoire de la cité Amphithéâtre : bâtiment de forme ovale où se déroulent les combats de gladiateurs. Le plus célèbre est le Colisée de

souvent être trouvées dans des bibliothèques, des archives… Ces sources constituent un témoignage de l’époque qu’il cherche à étudier. A partir de ces sources, l’historien devra trouver de nouvelles interprétations, et ainsi «  faire une nouvelle histoire » (qui est donc en perpétuelle évolution). Pour le médiéviste, la plupart de ces sources seront sous formes de manuscrits, recopiés non fidèlement par les moines copiste un premier travail sera donc de remonter à la source du manuscrit afin d’ajuster

fils que rien ne te soit inconnu », pour cela il doit étudier la médecine, la langue, l'astronomie, les mathématiques etc) et de développer en lui l'amour du beau et du vrai. La redécouverte des œuvres de l'Antiquité (ramenées vers Florence, Venise, Rome à la chute de l'empire byzantin en 1453 en tombant aux mains des Turcs) entraine des hommes curieux et plaçant l'homme au centre du monde, s'améliorant en s'instruisant, dans une société où c'est Dieu qui est au centre de tout. Désireux de diffuser

plupart des histoires mythologiques, elles tournent sur des héros que les dieux préféraient aux autres humains ou bien, ils leur nuisaient. Selon le bon vouloir des dieux, ces héros surpassaient ou ne purent pas surpasser plusieurs obstacles qui se dressaient très souvent sur leur chemin. Les mythes sont transmis de génération en génération, toutes les civilisations a ses propres croyances, même si la mythologie grecque, égyptienne et romaine ont été les plus importantes. Des histoires fabuleuses

l’écume’HISTOIRE DE L’ART : Aphrodite a un nombril, plutôt incongrue quand même. Dimension anthropomorphique de leur représentation. L’artiste a voulu aller au bout du réalisme, même si elle ne devrait pas en avoir. Cours 4 CHAP 2 : Le Panthéon gréco-romain panthéon = ts les dieux Panthéon différent de Parthénon = temple d’Athéna à Athènes. A. ZEUS I. les débuts de Zeus II. Les combats pour la souveraineté III. Zeus le + gd des dieux 1. Sa naissance. D’après Hésiode Gaïa (Terre-mère) + Ouranos (Ciel étoilé)

point de départ : Pierre Renouvin et Jean-Baptiste Duroselle L’historien Pierre Renouvin est à l’origine d’un grand tournant épistémologique : dès les années cinquante, il a exprimé la volonté de dépasser la notion d’ « Histoire diplomatique » pour la remplacer par celle d’« Histoire des relations internationales ». À ses yeux, l’histoire des relations entre diplomates, entre chancelleries, l’histoire des relations interétatiques sont insuffisantes : « horizon trop restreint », écrit-il. Dans la

la protection de son père, qui n’est autre que le maître des dieux, Zeus lui-même. Cerné par la mort, menacé dès sa glorieuse naissance par un univers hostile, confié aux caprices des eaux (comme encore le roi assyrien Sargon ou les fondateurs de Rome, Romulus et Rémus), l’enfant est sauvé par des pêcheurs (Persée), par des pâtres (Œdipe), par un bouvier (Cyrus), ou même nourri par des animaux secourables (Romulus et Rémus par une louve). Il va mener alors une existence obscure, bien différente

siècle jusqu’au classicisme du second XVIIe siècle, repose sur une distinction entre deux types d’arts : les arts libéraux et les arts mécaniques. Les arts libéraux sont au nombre de sept : grammaire, dialectique, rhétorique, arithmétique, géométrie, histoire, musique. C’est par ces arts que l’on maîtrise le langage, les structures numériques et sonores, le discours de la connaissance et celui de la conviction. Ces arts, ces techniques intellectuelles, s’opposent aux arts mécaniques qui requièrent l’usage

début de la représentation. Le « chant du bouc » serait donc l’expression de la plainte du bouc mené à l’autel sacrificiel. D’autre donne au « chant du bouc » la signification du rappel de la lutte du héros tragique qu’il sait perdue d’avance. Les histoires sont presque toujours tirées de la mythologie ou de cycles épiques (en particulier le cycle troyen) et sont donc familières des spectateurs. Les héros sont d’ascendance noble et/ou mythique, ce qui les différencie des héros de la comédie qui apparaît

traditionnelle était obligatoire jusqu’à 15 ans. On y apprennait deux matières : la gymnastique, pour développer le corps en vue d’une participation aux Jeux Olympiques et l’étude des textes d’Hésiode et d’Homère qui expliquaient quelque peux des histoires de guerres et de sport, pour ne citer que ceux-la. Dès que les Jeux ont été créé, plusieurs tactiques pour améliorer ses chances ont été utilisé pour de multiples raisons. On ne pratiquait plus le sport pour célébrer des hôtes ou pour fêter les dieux