Histoire Et Fiction Princesse De Cleves

| | |Etude analytique de Un long dimanche de fiançailles de S. Japrisot | |Problématique |Comment l’auteur mêle-t-il Histoire et fiction pour composer une intrigue et des personnages qui présentent sa vision de| | |la 1e guerre mondiale ? | |Objets d’étude

Histoire du roman | |Caractéristiques |Exemple | |Origines = |Roman = langue d’usage ≠ langue savante (latin) |Tristan et Iseult, Chrétien de | |moyen-âge |Romancer = traduire en langue romane |Troyes.

de Mlle de Scudéry (1607-1701) → écrit dans un esprit épique (épopée). → exemple : L’Iliade et L’Odyssée d'Homer. Personnages marqués par les héros antiques d'Homer et de Virgile ou par modèles italiens de Tasse. Mlle de Scudéry écrit Clélie, histoire romaine (1654-1661) → roman à clef qui change les mœurs antiques qui contient la « Carte du tendre » (carte géographique imaginaire dans laquelle on retrouve tracer sous forme de villages et chemins, les différentes étapes de la vie amoureuse selon

pas d’école.Le XVII· Mouvement : baroque (début du siècle), classicisme, préciosité (Molière s’en est moqué)· Genres : le théâtre et la poésie· Les auteurs sont des femmesLa princesse de Clèves (Madame de La Fayette)· Roman qui n’est pas considéré comme un· S’inscrit dans le classicisme· Doit se marier avec le prince de Clèves mais elle aime le Duc de Nemours· Elle est tourmentée et elle supplie à son mari de l’aimer malgré tout· Elle ne dit pas clairement qu’elle aime un autre homme (elle le dit

On peut se demander en quoi ce roman se différencie des romans historiques. Nous allons voir dans un premier temps que dans ce roman, l’histoire est utilisée comme un support. Nous poursuivrons en étudiant les thèmes intemporels du roman. 1/Histoire comme support : Le roman de Pascal Quinard utilise l’histoire comme support, avec des faits réels et des dates comme la mort de Louis XIII en 1643 « Madelaine était née l’année où le feu roi était mort » .Il utilise aussi des personnages réels

l’étude de mœurs ou de caractères, l’analyse de sentiments ou de passions, la représentation, objective ou subjective, du réel. Dans chaque roman il y a au moins un personnage, qui correspond à /est une personne imaginaire représentée dans une œuvre de fiction par l’écrivain. Dans la mesure où chaque individu est différent et que les œuvres littéraires ne sont pas forcément contemporaines au lecteur, importe-t-il d’attendre d’un personnage de roman qu’il soit proche du lecteur ? Dans un premier temps

du mot évolue et désigne plus spécifiquement un récit en vers écrit en français (souvent influencé par la mythologie). Ainsi jusqu’au XVII° le roman est un poème racontant une histoire de chevalerie (Ex : Les romans de Chrétien de Troyes comme Yvain et le chevalier au lion). Du Moyen-âge à la Renaissance, les textes de fiction offrent une représentation idéalisée du monde. Parallèlement le genre connaît une évolution avec le Don Quichotte (1605-1615) de l’espagnol Cervantès, qui refuse cette idéalisation

parados du roman étant qu'une fois écrite, l'oeuvre ait le pouvoir de créer l'illusion d'un monde parfois plus vrai que celui qui nous entoure. La part du lecteur L'illusion suppose la complicité du lecteur. Seul aux prises avec le texte des histoires, le lecteur leur imprime le rythme de sa rêverie et les ressasse à l'envie. À la différence de la poésie ou de la peinture, le roman ne se pratique guère qu'en fonction d'un public. Aussi bien la conception du réel de l'écrivain est-elle orientée

SUJET : La fonction du roman est-elle de représenter le monde tel qu’il est ? Dans un roman de Bradbury, Fahrenheit 451, la lecture a été interdite et tous les livres sont brûlés par les pompiers représentants de l’autorité en ce domaine. Par cette histoire, Bradbury cherche à nous faire comprendre l’importance des livres dans notre société. Mais pourquoi le roman est-il si important ? Quelle est sa fonction ? Est-elle de représenter le monde tel qu’il est ? Pour répondre à ces questions, nous allons

période, Chrétien de Troyes, a ainsi su, à travers ses romans (Le Conte du Graal, Le Chevalier à la charrette, Yvain ou Le Chevalier au lion, etc.): créer un genre narratif, enchaînant des épisodes suivis mais aussi entrelaçant différentes «histoires»; célébrer les exploits d'hommes valeureux et exceptionnels dans un temps légendaire; mettre en relief les éléments culturels et religieux qui parcourent toute cette période du XIIIe siècle; Remarque: ces trois aspects sont, précisément