Hmong

(clandestins et réguliers) est estimé à environ 40% de la population. La population guyanaise comporte 351500 habitants en 2010 Une mosaïque de communautés : La population guyanaise se compose de créoles, d’amérindiens, de bushe-nengue, d’européens, de hmongs , de libanais et d’immigrés de différentes nationalités(essentiellement originaires d’haïti ,du surinam et du brésil). Pour 2006 le taux de natalité est de 31.1 pour mille et le taux de mortalité est de 3.5 pour mille . l’accroissement naturel 2

la population est constituée de Viêts, connus sous le nom de Kinh. Le reste de la population (environ 20 %) est constitué d'une soixantaine d'ethnies ou de nationalités qui vivent et travaillent à la campagne : des Thaïs, des Khmers, des Muong, des Hmong, etc. Production et exportation : phosphates, charbon, terre rare, riz, poivre, café, noix de cajou, chromate, pétrole et gaz, bois, énergie hydroélectrique La France est le 14eme exportateur mondial au Vietnam et le 17eme client au rang mondial

créole, djouka plus connu sous le nom d’Okanasi ou autres dialectes, soit utilisée à l’écrit, c’est la langue française qui est utilisée. A Saint-Laurent du Maroni, on peut constater un mélange pluriethnique (les Bushinengués, Créoles, Haïtiens, Hmongs,…) pour communiquer avec leurs téléphones pour envoyer des messages « texto », ils ne peuvent pas forcément discuter en français entre eux, mais plus tôt dans leur langue maternelle ; et utiliseront le français pour communiquer avec les autres ethnies

la population guyanaise s’est diversifiée avec plusieurs vagues de migration. : traite des esclaves (1670-1848), l’expédition de Kourou (1763-1765), population carcérale des bagnes (1852-1938), les orpailleurs de la ruée vers l’or (1880-1930), les Hmongs réfugiés politiques laotiens (1977), les migrants de la guerre civile au Suriname (1986-1992)… La Guyane, territoire français et européen sur un continent en voie de développement, attire de nombreux ressortissants des pays avoisinants. C’est ainsi

aujourd'hui peuplé d'immigrants asiatiques qu'il méprise, et Walt ressasse ses haines, innombrables - à l'encontre de ses voisins, des ados Hmong, latinos et afro-américains "qui croient faire la loi" , de ses propres enfants, devenus pour lui des étrangers. Walt tue le temps comme il peut, en attendant le grand départ, jusqu'au jour où un ado Hmong du quartier tente de lui voler sa précieuse Ford Gran Torino... Walt tient comme à la prunelle de ses yeux à cette voiture fétiche,

recense des créoles à base lexicale française (créole martiniquais, créole guadeloupéen, créole guyanais et créole réunionnais), des créoles bushinengés (à base lexicale anglo-portugaise) de Guyane, des langues amérindiennes de Guyane ainsi que le hmong (parlé par les Laotiens).  En Nouvelle-Calédonie, on a recensé 28 langues kanakes (groupe mélanésien de la famille austronésienne). En Polynésie française, on a recensé environ sept langues polynésiennes. À Mayotte, on distingue le mahorais et le

ML VIBES Sicklen‐MC, JahSeen, Lomax‐MC  VibesVibes Duel de conteuses avec chants dit réveillés. Au programme  de cet échange très rythmé, plusieurs contes de guyane  puisés dans la traditon orale des cultures plurielles  (bushinengué, amérindiens, hmong, créole, chinois...) C'est  la tradition du conte qui est revue à la façon des Fé  conteues. les "Fé" conteuses Spectacle en création  visuel en création Conte /  Guyane De et avec : Marie‐Annie FÉLICITÉ et  France‐Lise FRANÇOIS DIT MARÉCHAUX

une connotation péjorative.   Amérindiens de Camopi Amérindiens de l’Oyapock   Petites Filles Hmong Carnaval Le Carnaval est l'un des événements majeurs de Guyane. Là-bas, le carnaval familial s’organise autour de la galette des rois ou des gâteaux plus locaux : c’est le « randé boutché » où on tire les rois durant toute la période carnavalesque

relativiser la portée de leurs contributions « modernisatrices » à l’aune des « longues durées » indigènes du politique, de leur appliquer un type distinct de questionnements. 100 On pourra se reporter sur ce point à l’étude des révoltes messianiques Hmong du dernier tiers du 19ème siècle et du premier tiers du 20ème siècle. Celles-ci, qui n’étaient en réalité que rarement à finalité anticoloniale, se sont le plus souvent énoncées dans le langage de la restauration d’un « mandat céleste », autrement

voyagistes ne manqueront d’ailleurs pas de lui vendre. De la même façon, le voyageur de 20 ans avec son sac à dos « Quechua » met un point d’honneur à se distinguer du troupeau. Il ne part pas en tour organisé mais après quelques jours dans les tribus Hmongs du nord de la Thaïlande, il se presse au rendez vous des « full moon » sur les plages de koh phangan. Enfin L’ouvrage de Jean-Didier Urbain n’est évidement pas le seul à tenter de déconstruire le préjugé touristique. Nous citerons à ce sujet les