Hollywood

sorcières de Hollywood. Chasse aux rouges et listes noires. Thomas Wieder est normalien et agrégé d'histoire, il enseigne à l'École normale supérieure de Cachan. Les sorcières d’Hollywood est son premier ouvrage. Il le publie en 2006. Cet ouvrage suit un plan chronologique bien précis puisqu’il évoque cette chasse aux rouges des années 1939 au années 1960. Dans sa relation entre histoire et cinéma, Thomas Wieder tente de retracer à travers un bon nombre d’exemples ce qui se passa à Hollywood durant

► Rien ne va plus, de Douglas Kennedy - France POCKET, 443 pages ► 3.5/5 ► Première partie: David Armitage essaie désespéremment de faire carrière en tant que scénariste à Hollywood depuis 10 ans. En attendant, c'est sa femme Lucy qui apporte le beurre et l'argent du beurre à la maison. Elle qui a voulu être actrice, travaille dans le telemarketing. Un beau jour, Alison, l'agent ultra-fidèle et sarcastique à souhait de David (j'adooooooore Alison!) lui fait part de la nouvelle. Roulement de

berceau de l’industrie cinématographique. A l’origine, Hollywood était un quartier de Los Angeles, et c’est à partir de 1915, qu’il devint le centre principal de la production cinématographique. Le panneau « HOLLYWOOD » est devenu le symbole de cette puissance, avec les

se mettre des bâtons dans les roues. La cruauté (à défaut de ne pas être star, les autres acteurs ne sont strictement rien), les producteurs tyranniques, la concurrence... comment faire valoir ses idées ? Devenir réalisateur reconnu et estimé à Hollywood ? « ...Du producteur qui n’hésite pas à répéter inlassablement son ambition de faire des recettes au mépris de la reconnaissance artistique à l’humiliation subie par ceux qui s’investissent trop personnellement dans des projets trop grands pour eux

autant d'argent à dépenser sont aussi (sinon surtout) dues au fait qu'ils n'offrent maintenant que des productions qui visent un public jeune.            En attendant, à tous ceux qui en ont assez de l'interminable crise d'adolescence que traverse Hollywood – et du lot de films prévisibles et faibles en contenu qu'elle provoque –, vous pouvez toujours vous rabattre sur les vieux classiques. Rien de tel qu'un bon porto et un vieux noir & blanc pour passer vos longues soirées d'automne...   |

de devenir comédienne. Un petit héritage qu’elle a fait à la mort de sa tante Ruth lui a permis de s’établir à Hollywood. Mulholland drive est en réalité un film sur l’amour et la haine et sur le deuil, mais aussi un hommage aux victimes d’Hollywood, une réflexion sur la puissance du cinéma de son influence sur la vie, et même ou plus largement sur “ l’usine à rêves ” qu’est Hollywood. Tout cela, à travers une histoire : l’histoire de Diane Selwyn et Camilla Rhodes, victimes d’Hollywood. Pour

essentiellement autour de deux marques Hollywood, du groupe Cadbury, et son slogan « fraîcheur de vivre » Freedent, du groupe Wrigley, leader en revendication sur la santé bucco dentaire I. Le chewing-gum: trois acteurs, trois voies de distributions, trois formats, des chewing-gums variés. Chaque producteur a adopté sa position et sa spécificité • Hollywood adopte le pôle plaisir (grand choix de parfums) • Le pôle hygiène représenté par Freedent, Airwaves et Hollywood sans sucre I. Le chewing-gum:

cette mouvance qui comptait bon nombre de jeunes à l’esprit critique et qui refusait les valeurs inculquées par leurs parents. Ils étaient à la recherche de quelque chose de nouveau. C) L’implosion d’Hollywood Au milieu et fin des années 60, Hollywood fonctionne comme une gérontacratie dirigée par de vieux producteurs spetuagénaires. Leur formule du film-divertissement qui se déroule dans un monde idéalisé ne marche plus, et leurs films aux dépenses fastueuses rapportent peu. En 1967, Dr. Dolittle

domaine de la culture, avec la demande de l’exception culturelle, aussi connu sous le terme ‘diversité culturelle’. La globalisation a eu une grande influence sur la distribution de la culture. L’Amérique est le plus grand exportant des films, à Hollywood sont produits ses films. Ça fait une menace pour des producteurs moins grands. Comment peut-on préserver leur propre culture dans un monde tellement globalisé et comment peut-on combattre un débordement de l’influence américaine ? La France a l’essayé

moyenne («  Middle Class »). Il est souligné aussi que cette stratégie fonctionne très bien partout dans le monde puisque le cinéma, comme les séries représentent une part de marché supérieur à 50% dans le monde entier. Ce texte explique que Hollywood est une industrie car il fonctionne comme une usine. En effet quand un film est terminé, les producteurs de films enchainent avec un suivant. Cette industrie vend du rêve partout dans le monde et concurrence les autres cultures car les films réalisés