Homais Portrait

pensées de celui-ci. £- Le portrait physique est un portrait dit « en acte » c'est-à-dire il est brossé en action grâce à différents procédés : verbes d’action, passé simple qui lui fait succéder les événements qui se passent pendant l’action. De plus nous avons un portrait physique avantageux avec des termes mélioratifs (exs : joli garçon, bien fait, yeux bleus,...). Pourtant ce portrait valorisant est contredit par l’attitude du personnage éponyme. £- Le portrait moral auquel est associé G.Duroy

LES EPOUX ARNOLFINI Jan Van Eyck 1434 Huile sur bois 82 par 60 cm National Gallery Londres L’Œuvre: les époux Arnolfini est un portrait commander par Giovanni Arnolfini un riche marchand italien. Ce tableau est une description de la vie de tous les jours des deux époux. L’Artiste: Van Eyck est un peintre flamand de la Renaissance. Né à Maaseik sa date de naissance exacte reste inconnue. Il était sous la protection du grand Duc, Philipe le Bon chez qui il était engagé comme peintre

l’interdiction de TARTUFFE. Molière écrit rapidement DOM JUAN pour renflouer les caisses et l’écriture en prose en est la preuve. La scène 2, acte I voit l’entrée en scène du héros dialoguant avec son valet. Dans le scène 1, Sganarelle a fait un portrait péjoratif de son maître mais face à lui, c’est avec timidité que le valet se risque à juger : « fort vilain d’arriver de tous côtés » en réponse à ses reproches, le libertin va se lancer dans un magistrale plaidoyer qui expose avec beaucoup d’éloquence

proportions pour des soucis esthétiques et artistiques) l'apparition de la notion de paysage et celle de décors riches et variés les genres du portrait et de la nature morte http://fr.wikipedia.org/wiki/Peinture_de_la_Renaissance représentation de bustes, statues équestres, nus allégories et mythologie permettent à l'iconographie profane de se développer, portraits intimistes, autoportraits, sujets religieux (Vierge, Christ …), paysages sont réalisés pour leur valeur intrinsèque, scènes historiques

l’expérience, tel est sans doute le trait dominant d’un personnage qui a bourlingué. Beaucoup de naturel dans la succession des traits avec ce « Il connaissait tout d’ailleurs », qui enchaîne sur un propos habituel à Vautrin, « Ca me connaît ». Ensuite, le portrait avance avec une vivacité spontanée, construit sur une énumération en cascade de substantifs pour marquer la multiplicité de ses informations : « les vaisseaux, la mer, la France, les affaires, les hommes, les évènements, les lois, les hôtels et les

mort survenue à la suite d'un cancer, le peintre, fidèle à lui-même, poursuit sa double carrière de portraitiste et de paysagiste. En quoi cette œuvre est représentative de son œuvre ? I) Art du portrait ou art du paysage : fusion de deux styles de représentation ? Il s’agit du portrait de Robert Andrews et de Frances Carter. Le tableau fut réalisé par Gainsborough peu de temps après leur mariage, en novembre 1748. Le couple est placé devant un très gros chêne, dans un décor très

B- L’art du portrait. Si les femmes se reconnaissent si bien dans les œuvres de Balzac, c’est sans doute parce qu’il peint des héroïnes proches de la réalité tant sur le plan moral que plastique. Le portrait, à cet égard, devient une donnée essentielle des écrits balzaciens. La peinture physique d’un personnage, dans le roman, est un des moyens qui permettent d’assurer sa présence au sein du récit. Balzac est passé maître dans l’art de la description de ses héros

Séance 2 les fonctions du portrait : Portrait du comte Dracula 1) Un verbe de perception permet d’introduire une description. Il signale le sens désiré entre la vue, l’ouïe, l’odorat, le toucher, le goût. Dans le récit, il s’agit du regard donc du verbe « voir ». 2) Le portrait sert à qualifier le personnage c'est-à-dire lui donner une identité physique, psychologique et morale. Il sert aussi à donner une impression. 3) Ce portrait devient inquiétant au moment où l’auteur

Ce portrait se trouve dans la première partie du roman, il prend place dans le cadre de la présentation des lieux et des personnages. Après avoir décrit la pension, le narrateur nous promène dans une véritable galerie où figure la propriétaire Mme Vauquer ainsi que les autres habitants de la pension. Le portrait de Vautrin sera évoqué juste avant celui de Goriot. Quand il présent un personnage, le narrateur créer un effet de réalité en imposant une description physionomique. Dans le cas de Vautrin

fin de l'été 1849, Courbet s'attaque à son premier tableau monumental. Il souhaite en faire son "exposé de principe" et exprime son ambition en intitulant l'œuvre Tableau de figures humaines, historique d'un enterrement à Ornans. Il s'inspire des portraits collectifs des gardes civiques hollandais du XVIIe, tandis que la somptuosité des noirs rappelle l'art espagnol. Les variations des valeurs, dans les verts sombres et les gris sourds, sert une certaine austérité des tons, la facture épaisse et robuste