Hommage féodal

HISTOIRE L'essentiel : Le régime féodal est fondé sur l'inégalité entre nobles et roturiers d'une part et sur la hiérarchisation en trois catégories de la noblesse d'autre part. Le seigneur et son vassal sont liés l'un à l'autre par contrat, scellé lors d'une cérémonie officielle, celle de l'hommage, dont toutes les étapes sont codifiées. Les deux seigneurs ont des obligations l'un envers l'autre : le suzerain est tenu de protéger son vassal et de lui apporter une source de revenu, le fief

comité féodal, créé le 12 août, dont il est la cheville ouvrière et le rapporteur. Le 8 février 1790, il présente un long rapport, dans lequel il appelle les députés à faire, non pas une simple loi, mais « un grand acte de vigueur et de puissance » visant à la destruction entière du régime féodal, à l’abolition des servitudes personnelles et à la suppression des justices seigneuriales, martelant à la tribune : «Il n’existe plus de fiefs : donc il ne peut plus y avoir lieu à la foi-hommage… Il n’existe

entre les fils du vassal, c’est ainsi que va apparaître la tradition de n’appeler à la succession que l’ainé. Ce fief deviendra de plus en plus transmissible au fil du temps moyennant une certaine somme d’argent. Les vassaux multiplieront ainsi les hommages pour obtenir plus de fiefs. Le but du contrat féodo-vassalique est la concession d’un fief, la cérémonie de cette concession engagera les deux cocontractants que sont le vassal et son suzerain à des obligations réciproques. Partie II: La naissance

application au 11ème et 12ème siècle. Mais elle va par la suite en 'élargissant sans cesse, tant a l'égard des églises que des simples particuliers. D'une part, le roi doit assurer la protection ses églises, protection qui est souvent tombée aux temps féodaux entre les mains des princes et des grands seigneurs. De nombreux diplômes royaux (lois) rappellent régulièrement, au 11ème et 12ème siècle, le devoir du roi de protéger l'ensemble du clergés, et tout spécialement les abbayes. Le roi est aussi chargé

manants de leur territoire, ils exerçaient ainsi l'autorité publique en étant désormais les détenteurs du ban, ce pouvoir émanant jadis du roi. Sous cet ordre, existaient aussi des chevaliers qui pouvaient se rattacher à une seigneurie et faire hommage à un Seigneur. Cela signifie qu'ils s'engagent auprès de celui-ci à le protéger et lui rendre honneur en echange de protection, de moyens de subsistance et même d'un fief (une terre pouvant aller d'un champs à une seigneurie entière) d'abord viager

royal (10e-11e siècles), on remarque tout de même un passage à une société intermédiaire entre celle de l’âge précédent où l’église avait tout absorbé et la future société de la renaissance. En France c’est une période intermédiaire entre les temps féodaux qui avaient été un temps de déclin de l’autorité royale, des structures politiques et les temps modernes qui devaient être caractérisés par une très forte autorité royale tendant à tout absorber et à devenir, au moins à partir du XVIIème siècle, ce

Hiérarchie ecclésiastique Clergé séculier ; clergé régulier A.3. Église puissante Minorités ; influence politique ; croisades B. Sociétés et cultures rurales B.1. Agriculture médiévale Cycle agraire ; défrichements B.2. Féodalité Hiérarchie féodale ; émiettement Histoire Thème 3 – Sociétés et cultures de l'Europe médiévale du XIe au XIIIe siècle, 8 à 9 h Question obligatoire. La chrétienté médiévale La question traite de la place fondamentale de la chrétienté dans l'Europe médiévale en prenant

que le Comte lui offre une dot en échange de ses faveurs. Le Comte essaie de l'éloigner et Marceline qui aime Figaro veut empêcher ce mariage. Figaro projette de lui tendre un piège tout en profitant de la dot, mais son mariage dépend selon le droit féodal de l'autorisation du comte. Le Comte fait des avances à Suzanne (Sc.8). Il est temps de réagir. Le Comte tombe dans un véritable traquenard . Figaro, Suzanne et la Comtesse conspirent pour l'obliger à remettre à Suzanne la toque virginale devant tous

ordre politique Dominique Barthélemy, ''L'an mil et la paix de Dieu. La France chrétienne et féodale (980-1060), Paris, 1999.* Dominique Barthélemy, ''La chevalerie. De la Germanie antique à la France du XIIe siècle'', Paris, 2007.* A. Debord, ''Aristocratie et pouvoir. Le rôle du château dans la France médiévale'', Paris 2000. H. Débax, ''La féodalité languedocienne'' (XI-XIIIe siècles). Serments, hommages et fiefs dans le Languedoc des Trencavel, Toulouse, 2003. Georges Duby, ''La société aux

et se jetant dans l'Elbe, à Melnik au nord de Prague, s'appelle bien Vltava. "Moldau" est son nom allemand. Smetana a lutté toute sa vie pour la reconnaissance de la culture, de sa langue. Continuer à utiliser le nom allemand serait un bien piètre hommage à cet artiste, héraut d'un peuple sous domination autrichienne. Il est donc préférable d'utiliser Vltava. Má vlast, un hymne aux pays tchèques Bedřich Smetana (1824-1884), auteur d'opéras patriotiques, chef d'orchestre et infatigable défenseur de