Hommage féodal

mais il n'est qu'un symbole de l'unité de ce royaume. La société féodale est constituée de différents seigneurs avec des vassaux. Il n'y a pas de rapports hiérarchiques entre les seigneurs. Progressivement les choses vont évoluer, les juristes de l'entourage du roi vont faire en sorte que le roi prenne la tête de cet ensemble. Le roi va parvenir à s'imposer comme souverain fieffeux. Le roi va se placer à la tête de la pyramide féodale. Le roi va commencer par essayer d'augmenter le nombre de ses vassaux

maintes victoires contre eux, accepte de négocier avec Marsile, le roi maure qui la tient encore. En effet ce dernier, craignant les Francs et conseillé par un chevalier du nom de Blancandrin, décide de faire croire à Charlemagne qu’il lui rendra hommage comme vassal et qu’il se fera chrétien lors de la fête de saint Michel du Péril à Aix. Lors d’un conseil royal, Roland rappelle les trahisons passées de Marsile, mais sur l’intervention de Ganelon, beau-père de Roland, l’offre de paix est acceptée

qu'un vain titre, la monarchie n'était plus qu'un fief, la France qu'une sorte d'Etat fédératif, et le domaine royal fut réduit à la ville de Laon et à son territoire, lorsque Hugues Capet parvint au trône, comme membre prépondérant de la hiérarchie féodale. Il fallut plusieurs siècles pour reconstituer la royauté en France. Les Capétiens, à l'origine seigneurs peu respectés de l'lle-de-France trouvèrent pour auxiliaires, dans leur lutte contre la féodalité, tous ceux qui avaient à souffrir de ce système

aristocratiques duent a la force des familles feodales. Il y a une tradition de lutte entre l'etat monarchique et la feodalité qui menera sur un etat contemporain. C'est une lutte entre deux visions qui existent encore sous differentes formes. Dans l'île de Sercq, île anglo-normande, il y avait jusqu'à peu de temps une structure institutionnelle du XVIe s. donnant droit au roi feodal Micheal de Maumot, vassal de la reine avec une assemblée de 40 seigneurs feodaux. Pendant la guerre de 1940, il y a eu des

à l’amélioration des voies de communication + dvlpt des foires et des marchés Dvlpt de la monnaie et du crédit (émission de leur propre monnaie + dvlpt des techniques de crédit) I- L’avénement de la bourgeoisie En contradiction ac la sté féodale : S’accommode assez mal de l’organisation éco de la seigneurie S’intègre difficilement ds cette organisation sociale tripartite Sté violente or besoin de paix pr le commerce Dépendance envers seigneurs or besoin de liberté pr leur activité commerciale

Le roi tient une place à part dans la société médiévale occidentale, en effet, la complexité de son pouvoir réside dans le fait qu’il est à la fois roi et seigneur. En sa personne de roi, il ne fait pas vraiment partie de la société féodale, alors qu’en tant que suzerain premier, il se trouve complètement inséré dans cette organisation de la société. Il semble important de préciser que les statuts de roi et de seigneur, pourtant bien distincts, ne sont pas si éloignés : les puissants

Les seigneurs se sont substitués au mallus. Les hommes de la poesté paye une taxe et doivent des corvées aux seigneurs. Chaque seigneur exerce alors de façon autonome sur son territoire. B. Les transformations du droit pendant la période féodale L’avènement des coutumes locales : avec le système de la féodalité évolue, le droit s’inscrit avant tout dans un territoire, mais désormais ce ne sont plus les ancienne loi écrite mais le coutume locale : on passe du principe de la territorialité

beaucoup au miracle capétien, qui permet à six générations de mâles d’accéder au trône. Cette permanence dynastique va permettre au roi de France au fil du temps d’accroître le domaine royal. Pour y parvenir, les capétiens vont utiliser des techniques féodales. Parmi ces techniques on trouve la commise, qui permet au roi de France d’incorporer son fief au domaine de la couronne lorsque le seigneur n’a pas respecter ses engagements. Autre technique : celle des alliances, par les mariages des rois successifs

Décret relatif à l’abolition des privilèges Art. 1er L’Assemblée nationale détruit entièrement le régime féodal. Elle décrète que, dans les droits et les devoirs tant féodaux que censuels, ceux qui tiennent à la main-morte réelle ou personnelle, et à la servitude personnelle, et ceux qui les représentent, sont abolis sans indemnité ; et tous les autres sont déclarés rachetables, et le prix et le mode de rachat seront fixés par l’Assemblée nationale. Ceux desdits droits qui ne sont points supprimés

qui donne son expression définitive à la loi fondamentale, inviolable, d’inaliénabilité du domaine de la Couronne et en précise les exceptions. La notion de propriété du royaume ayant disparu à l’avènement des Capétiens, le roi est, comme tous les féodaux, propriétaire de son domaine et pendant longtemps il en aliène librement des parcelles pour gratifier l’Eglise ou récompenser ses fidèles. Cette liberté paraissant inacceptable, le principe de l’inaliénabilité va être établi.Afin de commenter cet