Hommage Funéraire Pour Mon Frère

Justice. Antigone, héroïne éponyme de la pièce de théâtre, a commis un crime, qui par la loi de son oncle Créon, la rend coupable d’avoir accompli les prières funéraires pour son frère Polynice, précédemment meurtri par son autre frère Étéocle. Antigone a donc pris la décision de se soumettre aux lois divines, qui obligent que l’on rende hommage a un être humain, et plus précisément a un membre familiale. La scène qui nous intéresse se compose de la résistante du pouvoir, Antigone, et le pouvoir lui-même

son histoire : Pendant la guerre des Sept Chefs, Étéocle (le roi de Thèbes) et on frère Polynice s’entretuèrent. Ainsi, Créon, l’oncle de Polynice et d’Etéocle, devint le roi de Thèbes. Tout de suite, il fit une très belle sépulture à Étéocle et laissa Polynice exactement au même endroit où il était tombé mort ; Polynice était considéré comme un traître. Antigone n’accepte pas l’acte de Créon : Polynice était le frère d’Étéocle, le fils d’Œdipe. Alors, elle commence à couvrir le corps de Polynice

tragédie où Antigone, fille d’Œdipe, s’apprête à braver l’interdit du roi de Thèbes en accomplissant les rites funéraires destinés à son frère Polynice. Pour ce geste, elle risque la mort. Mais c’est le prix à payer pour ce qu’elle estime être son devoir envers l’amour qu’elle porte à son frère. Dans le passage à l’étude, Antigone a été capturée par Créon pour avoir rendu hommage à son propre frère en l’enterrant dignement alors que c’était formellement interdit par le roi lui-même. On nous y montre donc

» Entrée dans les ordres En 1931, il fait profession chez les capucins où il prononce ses vœux. Il renonce cette année-là à sa part du patrimoine familial, et donne tout ce qu’il possède à des œuvres caritatives. En religion, Henri Grouès devient frère Philippe. En 1932, il entre au cloître, au couvent de Crest où il passe sept années d'austérité religieuse. Le samedi 18 décembre 1937, il est ordonné diacre par Mgr Pic, évêque de Valence (Drôme) dans la chapelle du Grand Séminaire, 75 rue Montplaisir

réaliser les rites funéraires pour son frère Polynice malgré l’interdiction du roi Créon. En accomplissant ce dernier hommage à son frère, elle risque d’être condamnée à mort. Et effectivement, elle finit par mourir. Face à cette volonté et ce courage héroïque, les spectateurs vibrent avec Antigone et vivent avec elle ses conflits et ses valeurs. Ils sont d’accord avec ce qu’elle ressent et ils partagent les mêmes valeurs ; eux aussi seraient allés sacrifier leur vie pour rendre hommage à un parent proche

. Antigone : Créon a dit que tous ceux qui tenteront de rendre un hommage funéraire à mon frère sera puni de peine de mort. Et moi hémon je l'ai fait... Hémon : Ne t'inquiète pas Antigone je vais aller voir mon père il ne te tuera pas, tout est fini maintenant. Il l'a prend t'a dit mon père ? dans les bras. Antigone : Antigone le repousse. Non je refuse Hémon c'est mon destin comme c'était mon destin d'aller enterrer mon frère. Hémon : Mais pourquoi ? Antigone : et bien, s' il ne me tue pas de

mouvement avait été de moindre ampleur, et surtout, ils avaient été érigés une vingtaine d’années plus tard, sous l’égide du Souvenir français et non à l’initiative des communes elles-mêmes. Cette fois-ci, il s’agit d’une volonté locale de rendre hommage aux disparus, d’un mouvement initié par le bas puisque l’Etat ne participe que faiblement à leur financement : les communes acquièrent leur monument par souscriptions tandis que l’Etat leur attribue parfois des subventions très modiques. Mais il arrive

fille, errant dans les rues. Antigone, à la mort de son père, regagne le palais de Thèbes, Polynice vient, à la tête des armées d'Argos, ville ennemie de Thèbes, reprendre le trône à son frère Étéocle, qui refusait l'alternance prévue. Les deux hommes s'entretuent lors d'un combat. Créon, nouveau roi de Thèbes et frère de Jocaste, ordonne des funérailles solennelles pour Étéocle, mais interdit d'ensevelir son autre neveu, Polynice, considéré comme traître à la Cité. Seule Antigone s'oppose à cette décision

qui recrute Le secteur du funéraire est un des secteurs qui va le plus recruter dans les prochaines années. Compte tenu de la moyenne d'âge actuelle des salariés du secteur funéraire qui est de 55 ans, les recrutements ne pourront que s'intensifier. En effet, pour 525 000 décès/an ces dernières années, l’INSEE prévoit un accroissement exponentiel : le cap des 600 000 décès annuels devrait être franchi avant 2030 et celui des 700 000 en 2040. Le secteur du funéraire est donc un des rares secteurs

religieuses. - La veuve ne peut plus se remarier. 7 : La crémation : après son décès, le corps d’un hindou est brulé. Pour les femmes : les rites funéraires sont accomplis par le mari et le fils ainé. Pour les hommes : les rites funéraires sont accomplis par le fils ou le frère. 8 : 11 jours après le décès : une dernière cérémonie aura lieu en hommage au disparu et sera réitérée tous les ans. 9 : Les pèlerinages : un pèlerinage dans un lieu saint fait partie des projets de tout hindou, pauvre ou