Homme Et Femme Contemplant La Lune Friedrich Cache

FRIEDRICH, Un homme et une femme contemplant la Lune, 1818, huile sur toile, 34x44cm, Nationalgalerie, Berlin. « Clos ton oeil physique, afin de voir d'abord ton tableau avec l'oeil de l'esprit. Ensuite, fait monter au jour ce que tu as vu dans ta nuit ». INTRODUCTION Le Romantisme est une réaction à la révolution industrielle du XIXe siècle. Une révolution accélérée dans laquelle les artistes, les intellectuels cherchent à déceler un sens et à faire émerger un sens utopique au monde.

« le serpent qui danse » écrit par Baudelaire (1821-1867) et paru dans le recueil « Les Fleurs Du Mal » (1857). La tentation est forte, « le corps » de la femme est désiré. Le plaisir nouveau du sexe opposé fait parti de l’amour. La femme, ici, est comparée à un serpent : comme un animal tentateur et maléfique. Une sorte de complexité de la femme est exprimée car elle est tentatrice mais refuse toute approche. « Prière » est un poème écrit pas René-François Sully-Prudhomme (1839-1907), montre

Il fait la connaissance de sa future compagne, Suzanne Deschevaux-Dumesnil. Mais il a aussi dans le même temps une liaison avec Peggy Guggenheim, qui vient ouvrir une galerie en Europe. Leur liaison dure un an. Finalement il reste avec Suzanne, une femme de forte personnalité, musicienne, réfléchie, calme et attentive, qui est bien plus respectueuse que Peggy de sa liberté. Il l’épousera 23 ans plus tard. La guerre est déclarée, il devient alors un membre actif de la Résistance dans laquelle il

après-midi d'octobre 1830, un jeune inconnu pénètre dans une maison de jeu, située dans les jardins du Palais Royal, à Paris. Le jeune homme vient jouer sa dernière pièce d'or. Il perd et décide d’en finir avec la vie. Il longe la Seine. Se noyer en plein jour le rebute. Il préfère attendre la nuit pour rendre son suicide plus mystérieux. Il admire une jeune femme, riche et belle, qui disparaît dans son superbe équipage. Il souhaite conserver « cette dernière image du luxe et de l'élégance ». L'inconnu

après-midi d'octobre 1830, un jeune inconnu pénètre dans une maison de jeu, située dans les jardins du Palais Royal, à Paris. Le jeune homme vient jouer sa dernière pièce d'or. Il perd et décide d’en finir avec la vie. Il longe la Seine. Se noyer en plein jour le rebute. Il préfère attendre la nuit pour rendre son suicide plus mystérieux. Il admire une jeune femme, riche et belle, qui disparaît dans son superbe équipage. Il souhaite conserver « cette dernière image du luxe et de l'élégance ».

après-midi d'octobre 1830, un jeune inconnu pénètre dans une maison de jeu, située dans les jardins du Palais Royal, à Paris. Le jeune homme vient jouer sa dernière pièce d'or. Il perd et décide d’en finir avec la vie. Il longe la Seine. Se noyer en plein jour le rebute. Il préfère attendre la nuit pour rendre son suicide plus mystérieux. Il admire une jeune femme, riche et belle, qui disparaît dans son superbe équipage. Il souhaite conserver « cette dernière image du luxe et de l'élégance ».

Voyageur contemplant la mer de nuages'' semble aussi partager. J'aime me retrouver au milieu d'une nature belle et verte, à respirer un air frais, à me sentir seul au milieu des arbres et de l'air ; j'aime davantage quand la nuit m'accompagne, puisqu'elle m'offre le spectacle de l'infini et du Le voyageur au-dessus de la rêve lointain avec ses étoiles trop peu nombreuses à vue d'œil. La mer de nuages - Caspar David seule solitude que je ne veux plus subir, c'est celle du cœur. Friedrich – – – –

la douleur, mais pas seulement : l’auteur du poème, fait une comparaison entre l’homme et la mer. Pour lui, l’homme est tel la mer, il est profond, et « nul n’a mesuré l’abime », c'est-à-dire que personne ne connaît tous les méandres de l’âme d’un homme. La mer est sans âge, et l’homme jeune envie « les blessures » du plus âgé, c'est-à-dire son expérience qui elles aussi sont sans âge. Il y a donc une mise sur le même plan de l’homme et de la mer. Tout comme de Musset, Charles Baudelaire va dans L’homme

L’Enfer. L’insistance de la nuit dans le roman retrouve encore une caractéristique infernale par excellence, l’obscurité. La nuit de Beckett est ici une nuit sans lumières, toute en ténèbres profondes : « Qu’on ne vienne pas me parler de la lune, il n’y a pas de lune dans ma nuit, et si cela m’arrive de parler des étoiles c’est par mégarde. » Nuit d’éveil où l’écoute règne. Le récit s’y déroule à la première personne et le héros ou plutôt l’anti-héros avance dans un monde dénoué de sens « dans un éboulement

programme par cette notion. Pourtant, cette évidence ne manque pas de soulever plusieurs questions qu'il est nécessaire de traiter. D'abord, il s'agit de savoir quelle est précisément cette vérité que recherche le philosophe et, pour ainsi dire, tout homme. Également, de déterminer les conditions d'accès à cette vérité, le chemin vers elle. Et enfin et surtout, il faut comprendre pourquoi le philosophe souhaite tant l'atteindre et s'interroger sur la pertinence de ce projet. Cette dernière question