Homo sapiens

celui-ci les soumet à une pression constante et sélective du fait de ses caractères physiques et de sa structure organisée. q Espèces et écosystèmes La place de l’homme L’espèce se définit par la reproduction sexuée: les individus d’une même espèce Homo sapiens, c’est-à-dire l’homme, est une espèce vivante qui fait partie intése ressemblent souvent, mâles et grante d’écosystèmes et qui en tant femelles s’accouplent, ils sont interféque telle entre dans une série d’interacconds et donnent naissance à une

bibliographie, glossaire, index des sites principaux Djindjian (François), Koslowski (Janusz), Otte (Marcel), Le Paléolithique supérieur en Europe, Paris, Armand Colin, collection « U », 1999, 474 pages, illustrations, bibliographie Bosinski (Gerhard), Homo sapiens : l’histoire des chasseurs du Paléolithique supérieur en Europe (40 000 - 10 000 av. J.-C.), Paris, Errance, 1990, 281 pages, illustrations, index des sites, index onomastique Leroi-Gourhan (André), Delluc (Brigitte et Gilles), Préhistoire de

Inde, etc...). Mais beaucoup de produits toxiques se retrouvent dans les aliments, dans les médicament et tout autour de nous sans le savoir. Toutes ces méthodes et produits sont tel bon pour l’humain ? Tout ces produits sont-il nocifs pour les homo sapiens ? Seul l’avenir nous le dira ainsi que les personnes compétentes dans ces domaine là.

Dieu. * moyen : Ce qui sert à la réalisation d'une fin: "La fin justifie les moyens." * connaître : Savoir, être informé de. * homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des homini­dés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la

Introduction : L’homme est le plus évolué des êtres vivants, il appartient à l’espèce des « homo sapiens » ce qui veut dire : « homme sage ». Le besoin est ce qui est nécessaire à l’existence, à la conservation et au développement d’un être vivant. Nous pouvons nous poser la question suivante : de quoi l’homme a-t-il besoin pour vivre ? Etant doué de raison et de langage, l’homme est, selon la célèbre formule d’Aristote, « un animal politique » qui vit en groupe. Or ce besoin de vivre en société

événements mentionnés doivent maintenant être mis en relation avec un troisième fait majeur : ni la société, ni l’école n’ont eu le temps d’anticiper, de réfléchir, ni d’introduire des stratégies nouvelles adaptées aux conditions nouvelles d’ un homo sapiens qui n’a pas connu de tels bouleversements depuis les millénaires de son arrivée sur la Terre ! Voici maintenant le script inspiré des attaques silencieuses et décisives qui furent portées à l’Ecole dans son origine et sa nature : c’est l’équivalent

ont démontré que la notion de race est tout à fait dérisoire. En fait, il y a bien eu deux races humaines mais la deuxième, l’homme de Neandertal, ayant disparue il y a 35 mille ans, il n’y a de nos jours qu’une seule race humaine, la race Homo Sapiens Sapiens. De plus, l’histoire a montré que ce qui caractérise les civilisations et leur évolution ce sont les échanges culturels. Cependant, on constate que le racisme perdure dans les faits. Celui-ci ne s’exprime plus de manière ouverte car

pas d’activité particulière, c’est qu’il doit réfléchir aux usages qu’il doit en faire. L’homme est supérieurement intelligent, justement car il sait fabriquer et utiliser des outils divers : Bergson caractérisera ainsi l’homme non pas de homo-sapiens, mais de homo-faber. Bergson n’est pas le seul à croire que le travail humanise l’homme, Emmanuel Mounier a écrit que « Tout travail travaille à faire un homme en même temps qu’une chose. » Partant du principe qu’en travaillant l’homme accomplit sa

l'espèce humaine. Au sein des primates, les singes forment un infra-ordre monophylétique, si l'on y inclut le genre Homo, nommé Simiiformes et qui se divise entre les singes du « Nouveau Monde » (Amérique centrale et méridionale) et ceux de l'« Ancien Monde » (Afrique et Asie tropicales). Ces derniers comprennent les hominoïdes, également appelés « grands singes », dont fait partie Homo sapiens et ses ancêtres les plus proches. Même s'il ne fait plus de doute aujourd'hui que « l'Homme est un singe comme

afin de trouver des racines. Il confectionne des bâtons pour affronter les prédateurs et chasser. Avec ces facultés fascinantes, la lignée humaine est née et va conquérir le monde. Ses premiers représentants sont les australopithèques, suivis des homo. Les australopithèques ont joué un rôle non négligeable dans l'évolution. Ils ressemblent à de grands singes. Leur taille varie entre 1,10 m et 1,30 m. Le volume du cerveau est de même contenance que celui d'un chimpanzé. La face est "prognathe",