Hôpital militaire

et les barbelés. Un soldat allemand vient le chercher mais rapidement, un soldat gallois arrive aussi. Le destin de Joey va être tiré à pile ou face. C'est le gallois qui gagne et il emporte le cheval vers sa tranchée. Alors on emmène Joey dans un hôpital vétérinaire. Là, il est confié à un jeune soldat qui doit le décrasser. Joey l'a reconnu à sa voix mais le jeune soldat mettra du temps à reconnaître le cheval de son enfance. Le jeune soldat, c'est Albert. Malgré la joie des retrouvailles, la santé

personnel médical sur le front est ainsi composé d’infirmières militaires. Ce sont d’ailleurs parfois les seules femmes que côtoient les soldats partis combattre, et ce souvent pendant plusieurs mois. Excepté leur travail habituel, elles tiennent quelquefois compagnie et réconfortent les soldats, loin de chez eux et découragés. Les infirmières ne sont pas cependant présente uniquement sur le front : elles s’occupent des blessés dans les hôpitaux de guerre et les maisons de convalescence. Certaines

importantes, comme en 2008. C’est une guerre que l’on pourrait presque oublier. D’ailleurs, à ne voir que les images que l’on veut bien nous montrer, l’Afghanistan n’est présent dans notre quotidien que très épisodiquement, et sous la forme d’un hôpital que l’on inaugure un jour en présence de personnalités du monde des arts et du spectacle, d’une ferme modèle ou d’une école un autre jour. Qui croirait que dans cette guerre se jouent des équilibres internationaux ? Le retour de la France au sein

Leur contribution s'est avérée essentielle pour contrer les menaces extérieures ou favoriser les succès militaires. Les femmes ont toujours travaillé de manière à assurer la prospérité ou, du moins, le maintien de l'économie au pays. Durant la Première Guerre mondiale puis la Deuxième Guerre mondiale, elles produisent et mettent en conserve des aliments, lèvent des fonds pour financer les hôpitaux, les ambulances, les foyers et les avions, et offrent bénévolement leurs services tant à l'intérieur qu'à

rues entretenues sommairement, établi des communications, devenues rapidement insuffisantes, entre la ville haute et la ville basse construite dans une sorte de cirque peu étendu bordant le port ». La ville de Joffre : une ville faite pour les militaires Aussi, l'Annuaire du Gouvernement Général de 1900 constate-t-il : «Le développement d'Antsirane, conséquence de la création d'un point d'appui de la flotte à Diego Suarez, a rendu indispensable l'amélioration des communications, la construction

Accumulation de participe passé (ils sont soulignés) , déchires, défoncés, dispersés sont liés par l’allitération en « d » Lieu dévasté, paysage violenté par la guerre (« troncs d’arbres coupés », « mamelons écrêtés ») Lexique réaliste (vocabulaire militaire « guérite », « charpie », « amadou ») « Le corps d'un cheval effondré par un obus avait servi de guérite à ce soldat : il y vécut en rongeant sa loge de chair ; les viandes putréfiées des morts à la portée de sa main lui tenaient lieu de charpie

rend compte qu’il n’y a ni bons ni mauvais camps, simplement des soldats venus défendre leurs patrie. E narrateur est Paul Baumer, héro du roman, la narration se fait donc a la 1e personne avec un statut interne. Exemple : « notre instruction militaire durera dix semaines » (p218) « Je n’ai encore jamais entendu crier des chevaux et je puis a peine le croire » (p50) L’histoire se déroule durant la première guerre mondiale, principalement pendant la guerre de position. P.147

d’information sur les enseignements et les professions, Lognes – 77437 Marne la vallée Cedex 2 Publication de l’ONISEP réalisée avec la collaboration du Bureau Information Communication de la Sous Direction Recrutement de la Direction du personnel militaire de l’armée de terre Copyright : septembre 2005 Code ISSN : 1772-2063 Directeur de la publication : Hervé de Monts de Savasse Directeur adjoint : Benoît Bouyx Directrice éditoriale : Pascale Gélébart Coordinatrice éditoriale : Annick Ghys

des centres de soins et de rééducation pour les soldats gravement blessés. Les civils y ont aussi eu accès par la suite. Ces instituts ont été mis en place dès le début de la guerre, par exemple le Grand Palais à Paris qui a été converti en hôpital militaire dès 1914. L’on y soignait justement les grands blessés telles que les « gueules cassées », ces soldats qui ont été défigurés à cause de l’explosion d’un obus par exemple. Il y en a eu énormément durant la Première Guerre mondiale car c’était

réputation de « boucher » et de « broyeur de Noirs » Dès les premières heures, l’offensive apparaît comme un échec sanglant. Les pertes sont immenses et à cet échec militaire s’ajoute un désastre sanitaire : tous les blessés et éclopés qui piétinent dans la boue n’atteindront pas toujours les postes de secours et encore moins les hôpitaux d’évacuation. Nivelle, qui était alors porteur des espoirs de toute la nation avait rassemblé plus d’un million d’hommes pour cette immense opération qui se transforma