Hordes

largeur. - Timgad : arc de triomphe et ruines romaines. L'Arc et les ruines romaines de Timgad (Algérie). Les arcs de l'Afrique romaine. Quoique le sol de l'Afrique du Nord ait subi, depuis la domination romaine, les ravages de plusieurs hordes de conquérants, Vandales, Byzantins et Arabes, Turcs et même colons européens modernes, la partie orientale du Maghreb, c.-à-d. l'Est de l'Algérie et la Tunisie, sont encore riches en anciens monuments romains et possèdent plusieurs arcs généralement

savait également que des femmes comme sa mère se targuaient de préoccupations humanitaires tout en vérifiant chaque jour à dix reprises le système de sécurité de la maison. Maman dissimulait mal sa terreur et son dégoût lorsqu'elle évoquait les « hordes des laissés- pour-compte, ces pauvres gosses abandonnés, déconnectés, qui n'ont rien de mieux à faire que piller, violer et s'injecter du poison dans les veines ». Emna avait interrogé ses condisciples et obtenu des réponses qui la confortaient

son espèce grâce à des expériences et des découvertes : la chasse, le feu, la cuisine, la danse, la musique, les arts, l'Amour, etc... Hélas pour lui, toutes les découvertes ne sont pas bonnes à faire et quand il s'agit de cohabiter avec d'autres hordes et de s'armer... Aïe. Honnêtement, tout ça c'est sympa, comment ne pas sourire face aux multiples anachronismes utilisés par l'auteur dans ce but ? Mais, pour ma part, l'extase n'aura pas dépassé le stade du sourire et n'aura jamais atteint ceux du

informations qu'il a récoltées pour les interpréter et en déduire que le Tiercé est un phénomène de masse majeur, comme le prouve son succès, qui ne vise pas l'excellence, comme le montrent les caractéristiques mêmes du jeu et des gains, mobilise des anti-hordes que ne motive aucun chef, aucune passion verticale ou horizontale, comme le montrent les origines sociales des joueurs, où ceux-ci sont libres d'entrer et sortir et parfaitement différents les uns des autres, souhaitant exercer un simulacre des procédures

Doriens[1]. Le pluriel du mot « Athènes », d'après Thucydide[2], est une trace des anciens villages qui fusionnent pour fonder la cité. Le site est choisi pour la forteresse naturelle que représente l'Acropole ; les habitants peuvent résister aux hordes de pillards qui menacent la région, augmentant avec les années sa fortification. À partir de 510 av. J.-C., cette fonction défensive est abandonnée, le lieu étant consacré aux cultes et notamment celui d'Athéna, déesse protectrice d'Athènes. Des remparts

Compostelle, comblée de miracles détrônant l’antique Iria Flavia, voyait affluer la foule des puissants et des humbles. Saint Jacques lui-même, le “fils du Tonnerre” comme l’avais appelé Jésus, monté sur un cheval immaculé, fondait du haut du ciel sur les hordes sarrasines qui fuyaient épouvantées, à Clavijo en Castille en 844. 2-BÉNÉDICTION DES PÉLERINS Les pèlerins : “Avec humilité et soumission nous demandons de daigner bénir ces besaces et bâtons” Le prêtre : “Reçois cette besace en signe de

tant d'autres ! IV] Des faits presque divers La montée du racisme Prenons un cas concret qui a suscité par divers medias, par exemple l'exemple du quotidien Le Monde sur la montée de ce racisme dans les stades de football : Les hordes barbares de « hooligans » shootés à l’alcool et à la haine seraient donc de purs extraterrestres étrangers au football : « Anglais, Allemands ou autres, le football ne les suscite pas. Il les abrite parfois avec une complaisance coupable. Il leur

ne connaissait que les exercices corporels et les jeux de l'intelligence. C'était aussi le temps où l'on marchait et respirait dans un peuple d'Aristote, de Phidias, d'Aristophane ; c'était le temps où une poignée de braves écrasait à Marathon les hordes de l'Asie qu'Alexandre allait bientôt conquérir. Les philosophes de l'antiquité enseignaient le mépris du travail, cette dégradation de l'homme libre ; les poètes chantaient la paresse, ce présent des Dieux :   O Melibœe, Deus nobis hœc otia fecit

distingue deux types de violence dans les jeux: la violence symbolique et la violence narcissique. Cette dernière est répétitive et sans signification particulière, elle est facteur de dépendance à cause justement de son uniformité. Un joueur face à des hordes d'ennemis tous semblables n'essaient pas de tuer un adversaire en tant que tel mais un maximum d'ennemis dont seul le nombre importe, qui plus est encouragé par le jeu. Certains joueurs, rappelons-le, jouent pour vivre par procuration et la violence

cette idéologie du travail qui a conduit à réclamer un droit au travail, c’est-àdire à l’asservissement au capital que Lafargue se réclame d’un droit à la paresse et lui aussi voit aussi dans les machines les nouveaux esclaves qui remplaceront les hordes d’ouvriers. « Le rêve d’Aristote [voir plus haut] est notre réalité. Nos machines au souffle 8 de feu, aux membres d’acier, infatigables, à la fécondité merveilleuse, inépuisable, accomplissent docilement d’elles-mêmes leur travail sacré ; et