Hosni Moubarak

Etats-Unis et a repris le travail ce mois-ci, va raconter l'horreur qu'elle a vécu dans la prochaine édition de l'émission '60 minutes' dimanche. Elle se trouvait sur la place Tahrir, centre de la contestation qui a conduit à la chute du régime de Hosni Moubarak, en train de préparer un sujet, lorsque l'ambiance autour d'elle a subitement changé, rapporte le NYT. 'Il y a eu un moment où tout a commencé à aller mal', se souvient-elle. Les collègues égyptiens qui accompagnaient l'équipe de tournage ont

présidentielle égyptienne a tourné à l'affrontement entre l'ancien chef des services secrets de Hosni Moubarak, Omar Souleimane, qui veut "sauver le pays du chaos", et les Frères musulmans, qui l'accusent de vouloir "voler la révolution". Alors que le premier tour de l'élection présidentielle égyptienne se tient dans six semaines, l'affrontement entre l'ancien chef des services secrets de Hosni Moubarak, Omar Souleimane, et les Frères musulmans fait monter la tension d'un cran dans le pays. Pour Khairat

Abdullah Azzam est assassiné dans un attentat, Al Qaida est alors majoritairement dirigé par des membres du djihad islamique égyptien tels que Al-Zawahiri, ce dernier prône le renversement des dirigeants arabes non-islamiques, en particulier celui de Hosni Moubarak en Egypte, c’est durant la même année qu’Oussama ben Laden prend le contrôle du groupe. Ce groupe sunnite fondamentaliste, qui considère que les gouvernements occidentaux (Etats-Unis en particulier) interfèrent dans les affaires intérieures des

rassemblement bien plus gigantesque que tous ceux qu’il avait vécus précédemment. Des dizaines de milliers de personnes, des plus petits aux plus grands, de tous sexes et de toutes croyances se massaient là pour hurler leur colère. Des « Moubarak doit partir ! » et des « Dehors Hosni ! » fusaient à travers l’air lourd de reproches. « À mort le dictateur ! » criait aussi la foule, dardant ses poings vengeurs en direction des soldats chargés de garder le quartier général du despote. Celui-ci s’y terrait comme

mobilisations des Égyptiens en vue de la chute du régime. 11 février : Le président Hosni Moubarak, au pouvoir depuis 1981, quitte le pouvoir. 19 mars : Référendum sur la constitution égyptienne, avec 77% des voix en faveur des amendements proposés (limitation du nombre et de la durée du mandat présidentiel, assouplissement des conditions de candidatures électorales). 3 août : Ouverture du procès de Hosni Moubarak, rapidement ajourné et reporté au 15 août. L’ancien président égyptien est accusé du

gouvernorat. L’Egypte : Organisées avec l’aide de Facebook et de Twitter, les premières manifestations commencent le 25 janvier 2011. Les participants sont jeunes, voire très jeunes. Sur les pancartes, les slogans sont déjà sans ambigüité : « Game over Moubarak ». C’est le point de départ des grandes manifestations dont celle de la place Tahrir. La Lybie : Cette révolution est la seule à avoir survécu, puis triomphé grâce à l’intervention de puissances occidentales, essentiellement la France et la Grande-Bretagne

allant même jusqu’au suicide. Je me suis souvent demandée pourquoi les Egyptiens n’exprimaient-ils pas leur mécontentement face à toutes ces injustices ? La réponse fut très rapide. C’est surtout la présence du fort gouvernement autoritaire de Hosni Moubarak qui tenait toutes les révoltes contre le régime d’une main de fer. Durant les 30 années d’exercice de son pouvoir, l’ancien président a donné de nombreux pouvoirs aux policiers et aux services secrets égyptiens, notamment avec l’introduction des

mis en place sont présentes, surtout sur internet. Ces manifestations massives ont pris de l’ampleur et les forces de l’ordre ont du intervenir. Ces manifestations réclamaient la démission du président en place. Après la démission du président Hosni Moubarak c’est le Conseil suprême des forces armées qui a pris le pouvoir. Mais les réformes annoncées ne prenant pas forme, de nouvelles manifestations ont eu lieu durant l’été, le peuple obtenant ainsi des élections législatives dans un premier temps

a été un argument très populaire évoqué dans le sillage des efforts révolutionnaires en Iran, en Moldavie et en Géorgie. Une véritable onde de choc traverse la zone depuis le début des manifestations en Tunisie, et pour l'instant, Ben Ali, et Hosni Moubarak ont été entraîné dans ce tourbillon de révoltes populaires, tandis que de nombreux autres régimes sont remis en question. Or, il ne s'agit pas de savoir si la révolu­ tion a été causée par Facebook. La technologie ne saurait être la cause d'une

Ce jour-là, le nombre total de manifestants étaient estimé à plus de 20 000 personnes. L'objectif premier des manifestants était d'obtenir la fin de l'état policier et la démocratie, qui passait d'abord par le départ du président égyptien,Hosni Moubarak, au pouvoir depuis le 14 Octobre 1981 et une répartition plus juste des richesses. La place Tharir : Les manifestations ont eu lieu un peu partout en Égypte ; environ 15000 personnes sont allées vers la place Tahrir à partir de plusieurs