Hosni Moubarak

Février 2011 : Hosni Moubarak quitte le pouvoir après dix-huit jours de manifestations. Le vice-président égyptien, Omar Souleiman, a annoncé que Hosni Moubarak, président de l'Egypte depuis 30 ans, a transmis le pouvoir à l'armée. 3 mars 2011 : Essam Charaf, ancien professeur et ingénieur, qui avait participé aux manifestations contre Hosni Moubarak sur la place Tahrir, est nommé Premier ministre par le Conseil suprême des forces armées au pouvoir depuis la chute du président H. Moubarak. Essam Charaf

de cette structure légère de 20 membres ? Exclusivement techniques, répond la Commission de Bruxelles, qui entend tout diriger. Politique, affirme-t-on à Paris et dans les capitales de la rive sud. Le Maroc, la Tunisie et l’Egypte (le président Hosni Moubarak partage la co-présidence avec Sarkozy pour deux ans) sont les plus grands défenseurs d’une Union pour la Méditerranée politiquement autonome. Deuxième difficulté. Les projets et leur financement. Six ambitieux projets sont prévus : dépollution

le golfe Persique est un champ important de rivalité entre les grandes puissances. • 5- Le golfe Persique est le théâtre d’une importante diversité ethnique et confessionnelle, et de certains conflits territoriaux. • 1- La chute du régime de Hosni Moubarak, en Egypte, a fait croire que l’Egypte ne serait plus capable de jouer un rôle stratégique majeur, au sein du monde arabe, notamment, en ce qui concerne la convergence, qui existait, depuis longtemps, entre l’Egypte et les petits Etats arabes

pays, elle n'a pas duré longtemps : du 25 janvier 2011 au 11 février 2011. Deuxième pays à être touché par l'effervescence arabe, la révolution égyptienne suit celle de la Tunisie, profitant de la période de campagne présidentielle du fils d'Hosni Moubarak qui devait succéder à son père, prévue à ce moment là. Toutes deux sont les réactions faces aux abus des forces de police allant de violences policières à la torture), à la corruption, à l'état d'urgence permanent et à ses procédures expéditives

institution organisée et soudée, elle ne pouvait pas se permettre de sacrifier le système égyptien et de gérer une situation imprévisible et chaotique. Elle a préféré sacrifier le régime représenté par l’ancien président Hosni Moubarak pour pouvoir sauvegarder son rôle et ses prérogatives. Moubarak lui même est issu de cette armée, mais sa gestion du pays en fin de règne et aussi le fait qu’il se soit entouré d’hommes d’affaires sans scrupules ont poussé l’armée à ne pas le soutenir. Les militaires ne sont

d’état Hosni Moubarak ;(1981 - 11 février 2011) ; debut des protéstations :25 janvier 2011 :Manifestations massives et renouvelées dans les grandes villes, la répression du régime de Moubarak aurait fait 840 morts.Le 29 janvier, de nouveaux premier ministre et vice-président entre en fonction, le 30 janvier, la police, qui avait réprimé brutalement les manifestations, est remplacée par l'armée qui reste neutre et assure la sécurité des manifestants.Le 11 février, démission d'Hosni Moubarak et transmission

la police, pourtant promise. Un syndicat du secteur reconnaît des bavures. Le ministre de la Gouvernance constate, lui, que la corruption, loin d'être freinée, s'est démocratisée. Egypte : En février 2011, la démission du président Hosni Moubarak est accueillie dans la joie par les manifestants. Mais plus de deux ans après la révolution, l’Égypte tarde à retrouver la paix sociale. Essoufflé par une longue transition politique et ralenti par une situation économique difficile, le pays qui

jours Page 8 : L’après Moubarak Page 9 : Sources Pourquoi avons-nous choisi ce sujet ? Nous avons choisi ce sujet car l’actualité de l’Egypte nous interressait beaucoup et parce que nous voulions comprendre et faire comprendre à tout le monde ce qu’il se passait là-bas et les raisons pour lesquelles cela avait débuté. L'époque actuelle : Hosni Moubarak Après la mort de Sadate, son adjoint Hosni Moubarak accède au pouvoir. Comme ses 2 prédécesseurs, Moubarak sort des rangs de l'armée

une mine d'or capable de rivaliser avec les Pyramides de Gizeh. Cet énorme rond-point engorgé du centre du Caire est devenu mondialement célèbre depuis que des centaines de milliers de personnes l'ont occupé pour exiger le départ du président Hosni Moubarak, acculé à la démission le 11 février après avoir passé près de 30 ans au pouvoir. Est-ce de la curiosité ou du voyeurisme ? Se contenter de visiter des sites

dictateurs et l’instauration d’une démocratie, les manifestants exigent un partage des richesses qui leur assure de meilleures conditions de vie, des emplois, et la dignité. Alors que la révolution egyptienne provoque le départ du président Hosni Moubarak et une transition démocratique, les autres mouvements n'ont pas les mêmes conséquences : en Lybie par exemple, les évenements prennent une ampleure de guerre civile entre les forces fidèles au régime du colonel Khadafi et les insurgés, soutenus