Hospices de Beaune

Formation Diplôme : Chef de Rang (mention TB) à l’INFATH Bac G1 Langue : Anglais courant (nombreux séjours en G-B et aux USA) Par ailleurs Je joue du hautbois et je participe à des raids automobiles. Permis B, Véhicule. 24 Bruno MARTIN 19, rue des Hospices 21000 DIJON Tél : 03 03 01 01 01 Né le 31 août 1950 AMBULANCIER 10 années d’expérience professionnelle C.C.A. COMPETENCES PROFESSIONNELLES • Traitement des urgences et des détresses • Information et assistance aux personnes transportées • Formalités

  de   25%   comparé   aux   7   dernières   années   (2006-­‐2013) V  –  Evolutions  du  secteur       Le   15   novembre   2013   lors   de   la   vente   des   Hospices   de   Beaune,   deux   études   contradictoires  sur  l'évolution  du  marché  mondial  du  vin  ont  été  publiées.     La   première,   celle   de   la   Banque   Américaine   Morgan

jour à Lyon en 540, à Arles en 542 et à Paris en 651. Et les initiatives se multiplient un peu partout. Tous ces lieux accueillent, côte à côte, pauvres, malades, vieillards, orphelins ; parfois aussi naissent les institutions plus spécialisées : hospices, orphelinats, léproseries, etc. Mais qui s’occupait de tous ces infortunés ? Nous manquons d’informations mais il semble bien qu’il n’existait pas encore à l’époque d’ordres spécialisés dans le soin aux malades. Le plus souvent, les soins sont

évêque, accompagné par personnel nbreux : chanoines). On trouve aussi membres des monastères. Apparaissent les ordres mendiants. - Dans villes capitales provinciales ou nationales : Eglise présente à travers institutions de bienfaisance (hospices (Beaune), tables des pauvres). Enseignement sous autorité de l’écolâtre, perso qui dépend de l’évêque. Empreinte de l’Eglise à propos du temps : heures rythmées par prières, messes sonnées. Ce temps ecclésiastique est dominant dans villes/campagnes

Brigitte FARDELLA ____________________________________ 4  Compte rendu de la journée de formation du 3 octobre 2009 « L’accompagnement : un engagement collectif » « Passer du Je au Nous » Participants : ASP 71, JALMALV Auxerre, JALMALV Beaune, JALMALV Le Creusot, JALMALV Dijon. Animation : * Marie-Odile de Vaugrigneuse : vice-présidente de la fédération JALMALV, présidente de JALMALV ParisIle-de-France, membre du CABA, * Marie Martin, secrétaire de la fédération JALMALV, vice-présidente

SDAT : UN POSITIONNEMENT DIFFERENT ? 1/ Des principes qui traversent le siècle La Société Dijonnaise de l'Assistance par le Travail est fondée au début du 20ème siècle par les époux GRANGIER, bienfaiteurs de la Ville et des Hospices de DIJON. Association loi de 1901, la SDAT a été créée, le 13 mars 1903, avec pour but « de faciliter aux malheureux sans travail, valides et encore en état de travailler, la recherche d'une place, et de leur éviter de se livrer à la mendicité

Compostelle et abrite, dès le milieu du XIè, les reliques de sainte Madeleine ; l’abbaye de Fontenay, l’une des plus célèbres abbayes cisterciennes du monde, est fondée en 1118 par saint Bernard, ; chef d’oeuvre de l’art flamand bourguignon, les Hospices de Beaune sont, eux, fondés au XVè. La Franche-Comté : Besançon. Comprend les départements du Doubs, du Jura, de la Haute-Saône et du Territoire de Belfort. Industrie du bois (scieries), lait. Industrie automobile (usines Peugeot à Sochaux et Montbéliard)

apparente (en carène de vaisseau renversée). L’une des extrémités est convertie en chapelle afin que de tous les lits on puisse voir l’autel. Les fenêtres sont placées en hauteur de façon à bien aérer la salle sans gêner les malades. Exemple Les Hospices de Beaune. Q Groupe Eyrolles L’architecture civile Le château fort (pl. X,20 à 24) Il est construit en pierre. Il est entouré d’une enceinte couronnée d’un chemin de ronde (hourds en bois puis mâchicoulis de pierre) bordé de créneaux et de merlons

importants, qu'ils soient honorifiques, judiciaires ou fiscaux. Les fonctions du clergé sont nombreuses. Il y a bien sûr le service du culte, mais aussi la tenue de l’état civil depuis le XVIème siècle, la responsabilité de l’assistance (hôpitaux, hospices) et l’enseignement (à tous les niveaux). Pour remplir ces missions, l’Eglise dispose d’un important patrimoine foncier et prélève un impôt appelé la dîme (impôt en nature composé du 10ème des récoltes). Enfin, les prêtres perçoivent des fidèles le

: _ _ _ _ _ _ _ _ : nom donné à la muraille faisant le tour de l’abbaye, qui la ceint. (p.11) 7 : _ _ _ _ _ _ _ _ : voyage entrepris par les chrétiens pour christianiser d’autres peuples.p20 (p.23) 8 : _ _ _ _ _ _ _ _ : hôpital religieux. Ceux de Beaune sont restés très célèbres. 9 : _ _ _ _ _ _ : office religieux de la fin de l’après-midi (18h à 18h30) (p.39) 10 : _ _ _ _ _ : misérable, mendiant, coquin, fripon, de guit, « coquin » en néerl. anc. 11 : _ _ _ _ _ _ : monastère dirigé par un abbé.