Hu Jintao

annoncé jeudi lors de la visite du président chinois Hu Jintao en France. Le Français Total et le groupe énergétique chinois China Power Investment Corporation (CPI), l'un des cinq premiers groupes énergétiques chinois, "ont annoncé leur intention de construire en Chine une usine de transformation du charbon en produits pétrochimiques", indique Total dans un communiqué. "A l'occasion de la visite d'Etat à Paris du président chinois Hu Jintao, les deux groupes ont signé aujourd'hui une lettre d'intention

fin d’année : L’Ouest de la Chine 2010-2011 Présentation d’un conflit : L’Ouest de la Chine Brève présentation de la Chine: La Chine, ou République populaire de Chine de son nom officiel, est un état communiste à parti unique dirigé par Hu Jintao. Sa capitale est Pékin. La Chine s’étend sur 9,6 millions de km² et est l’état le plus peuplé avec ses 1,5 milliard d’habitants. Sa langue officielle est le mandarin. La Chine se définit comme une république multiethnique avec ses 56 « nationalités »

stimuler les échanges bilatéraux entre les deux pays. Ces relations ont été développé avec le temps également les visites de l’ancien président chinois Jiang Zeming (1999) au Maroc, de SM le Roi Mohammed VI en Chine en 2002 et du président chinois Hu Jintao au Royaume en 2006. « Sur le plan diplomatique, la coopération bilatérale a été fructueuse dans tous les domaines. Les échanges de visite de haut niveau se sont multipliés. Du côté chinois, le Président du Comité permanent de l’Assemblée populaire

aussi question, et ce malgré l’opposition virulente de nombreux pays, d’augmenter les moyens mis à disposition du FMI. Sujet cher à la présidence française, la question de la réforme du système monétaire semble avoir avancé. Le président chinois Hu Jintao s’est engagé à « accroître la flexibilité des taux de change, notamment en accompagnant les mesures monétaires d’une augmentation du volume des importations chinoises et d’une stimulation de la demande intérieure. Echec des négociations : la sempiternelle

entrepris ont été couronnés par l'adhésion de la Chine (et de Taïwan) à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) le 1er janvier 2002, lui donnant les outils nécessaires à la croissance économique spectaculaire qu'on lui connait aujourd'hui. En 2008, Hu Jintao célèbre trente ans de réformes qui ont fait de la Chine une puissance qui compte de plus en plus dans le monde. Constatation : Le taux moyen de croissance annuel a été de 9,8 %, soit plus de trois fois la moyenne mondiale, ce qui a eu pour conséquence

institutions internationales. Ainsi en 2001 la RPC entre à l’OMC et les années qui suivent confirment cette orientation. La Chine participe aujourd’hui à de nombreux forums internationaux dont l’APEC, l’ASEM, l’ASEAN +3, l'OCS 2. Le gouvernement Hu Jintao-Wen Jiabao entame le développement d’une diplomatie et d’une stratégie de politique étrangère qui comprend désormais les domaines économiques, politiques et culturels. La RPC affiche aujourd’hui une adhésion aux principes humanitaires occidentaux

d’ici 2050 par rapport à 1990 et la mise en place d’une Organisation Mondiale de l’Environnement dès 2012. Un accord que Barack Obama a qualifié « d’irréaliste », le président américain est le principal frein de cet accord avec le président chinois Hu Jintao. Pour réussir dans leur projet, les présidents Sarkozy et Lula vont sans tarder multiplier les contacts pour rallier un maximum de partenaires. Le programme très chargé débutera dès jeudi soir à Bruxelles par un entretien avec Angela Merkel et le

annoncé par la société textile, à la suite d'une réaction indignée du Vatican, n'a pas suffi à calmer la fureur du Vatican. Dans un communiqué, la Maison Blanche a aussi réagi aux photomontages montrant Barack Obama embrassant les présidents chinois Hu Jintao et vénézuélien Hugo Chavez. Selon Oliviero Toscani, les États-Unis et le Vatican «ont raison». «Il est normal que les gens se fâchent quand ils se sentent offensés», a-t-il ajouté. La campagne publicitaire contre la haine dans le monde que Benetton

politique n'est vraiment suivie qu'en ville où il plus facile de contrôler les familles. De 1980 à 1987, Hu Yaobang, secrétaire général du parti communiste, mène une politique plus ouverte envers les intellectuels et les Tibétains. Mais cette "libéralisation" engendre des manifestations et Hu Yaobang est écarté du pouvoir. Les Tibétains sont durement repris en mains par Hu Jintao. Pour déplorer la mort de Hu Yaobang, en 1989, les étudiants de Beijing manifestent sur la place Tian'anmen de Beijing. Ils sont

cause tibétaine, avec d’importantes arrières pensées. Les dirigeants chinois sont furieux de l’accueil réservé par George Bush au dalaï lama, le leader bouddhiste tibétain exilé, coïncidant avec le Congrès du PCC, qui doit reconduire le président Hu Jintao dans ses fonctions pour un deuxième mandat. A leurs yeux, c’est une provocation destinée à leur gâcher la fête. Une offensive concertée des Occidentaux en faveur du Tibet ? C’est la première fois que le leader spirituel -et politique- des Tibétains